Une première partie nous explique à quel point le système capitaliste est devenu une religion à part entière. du déjà lu.
Puis l'auteur fait l'exégète de l'encyclique caritas in veritate de Benoît XVI encyclique social qui ne vas pas assez loin selon lui.
Ensuite c'est l'encyclique laudato si dont l'auteur fait l'éloge et adhère à pratiquement tout ce qui est dit.
Pour finir
Serge Latouche se demande si la décroissance est une religion. Question à laquelle il ne répond pas clairement, comme l'ensemble de cet essai qui est assez abscons, difficile à suivre multipliant les digressions. Il faut bien s'accrocher pour arriver à suivre, ce dont je n'ai pas réussi à faire malgré le format court. Plaisir de lecture absent.