" Spash"? C'est le coup de cymbale selon Lulu. Vous comprendrez bientôt.
Quoi dire des "Indécis"?
Qu'ils sont trois, deux garçons et une fille, qu'ils aiment la musique et qu'ils tenteraient bien le concours de jeunes talents du lycée " le Tremplin".
Ils nous feront sourire par leur enthousiasme, par le naturel de leur démarche et puis qui sait, nombre de bons groupes de rocks ont commencé à jouer dans leur garage ( notez les Beatles!).
Sauf que bon, Alice est très bonne à la basse, Lucien " Lulu" s'améliore à la batterie mais que le jeu de guitare de Camille reste encore en chantier.
Il va falloir être bon et s'accorder. Leur nom de groupe est-il un bon présage?
Et puis, revenons à nos moutons, il y a l'année de Première, le Bac de Français et les parents.
Vont-ils obtenir des résultats satisfaisants sur tous les plans?
La BD ne se prendra pas au sérieux mais développera bien son sujet.
Le ton de la BD sera drôle, l'ambiance cool et on voit venir ce qui peut diviser le groupe: la légèreté de Camille qui ne prendra rien au sérieux ou bien les secrets.
Le scénario jalonnera toutes les étapes pour se faire un nom au lycée, entre les entraînements et les moyens de se faire connaître avant le jour J.
Il va y avoir de la concurrence.
Le titre a même prévu de vrais morceaux de musique en QR Code.
C'est frais, pétillant, sympa, on a bien aimé.
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Graphiquement, les tribulations de Lulu, Camille, Alice et Kim sont superbement illustrées. Antoine Losty nous offre une partition semi-réaliste efficace, qui reflète assurément une certaine modernité sous le couvert d’une colorisation impeccable. Ses personnages ne manquent absolument pas d’attrait, grâce à leurs frimousses attachantes et à leur expressivité fort bien travaillée. Tout comme les nombreux-arrière-plan qui englobent ceux-ci se révèlent particulièrement dans leur richesse.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Ainsi commença la légende des indécis... Trois âmes unies par le doute qui allaient peut-être changer la face du monde. Éventuellement, mais c'est pas sûr.
LA CHRONIQUE THOMAS RAYMOND - SPLASH