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sur 71 notes
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Miséricorde, c'est enfin fini…

Si le tome 2 constituait une nette amélioration par rapport au tome 1, ce tome 3, en revanche, en concentre les pires défauts : plat, terriblement long à décoller (il faut attendre les 100-150 dernières pages pour avoir quelque chose d'intéressant), ajoutant un personnage loufoque à l'obsession de l'auteure pour le thé dans le registre « je casse complètement la moindre scène potentiellement intéressante ou significative », doté d'une fin prévisible et basée sur un énorme Deus ex Machina, ce livre n'est en rien la « brillante » conclusion vantée par l'éditeur.

J'ajoute que sur la forme, outre les choix de traduction très particuliers qui ne changent pas, une relecture je-m'en-foutiste fait que la lecture de ce roman tient plus du calvaire que d'autre chose.

Vous trouverez la version complète de cette critique sur mon blog.
Lien : https://lecultedapophis.word..
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En Résumé :J'ai passé un sympathique moment de lecture avec le troisième et dernier tome de ce cycle. Les intrigues misent en place gagnent en profondeur et légèrement en intensité et l'ensemble des réponses soulevées trouvent une fin intéressante, même si de nombreux point restent ouverts. L'auteur considère ainsi que le voyage a plus d'importance et qu'il est impossible d'offrir toutes les réponses, laissant le lecteur se faire son propre avis, ce qui pourrait en déranger certains. L'univers mis en place continu à se développer, à se densifier et même s'il ne révolutionne en rien le genre il s'avère solide et surtout met en avant l'humain. Car oui la grande force du récit vient ainsi de ses personnages, de leurs diversités, chacun d'entre eux s'avérant unique dans ses envies, ses évolutions, ses doutes, offrant ainsi une vraie profondeur à chaque protagoniste. Je regretterai juste peut-être certaines évolutions de relations trop analytiques et un peu longue mais franchement rien de gênant. Les questions soulevés par l'auteur se révèlent intéressante, tournant principalement sur l'identité, la notion de personne. Je noterai par contre aussi certaines facilités ou simplicités ainsi quelques répétitions, mais pour moi le principal soucis vient du travail d'édition et de la traduction. En effet elle rend la lecture hachée et il m'est difficile de conseiller ce livre, alors que je l'ai trouvé très sympathique, sauf si vous le lisez en VO.


Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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'ai hésité longuement entre 3 et 4 étoiles, la couverture me plaît et le thème IA aussi, alors j'ai tranché pour 4 étoiles.

Pour une critique plus complète avec des petits extraits ou exemple, visitez là sur mon blog.

Brecq est l'hôte ancillaire du Justice de Toren, le vaisseau de guerre détruit par la Maître du Radch, il y a vingt ans. Dans la Justice de l'Ancillaire, il/elle déclencha une guerre civile au sein de l'Empire entre les deux factions d'Anaandeer Mianaaï, littéralement.

Dans L'Épée de l'Ancillaire, Brecq/Justice de Toren fut envoyé par une Anaander dans le système Athoek afin de le protéger de l'autre Mianaaï. le conflit s'est étendu et provoque la plus grande confusion dans l'Empire. La station et la planète sous la protection de Brecq s'engagent dans des frictions partisanes. Les tensions sont à leur comble quand le Justice de Toren, capitaine de flotte est victime d'une tentative de meurtre.

L'action de la Miséricorde de l'Ancillaire commence la semaine suivant le sauvetage de Brecq, la fin apparente du conflit sur la station d'Athoek et l'arrestation de complices sur la planète ainsi que les révélations de la nature IA du capitaine de flotte devant son équipage humain.

Commençons par les choses fâcheuses…

Non seulement nous avons un style de narration peu courant, une explication des comportements basiques des protagonistes au cas où nous n'aurions pas compris et une traduction pour le moins acrobatique.

Mes reproches les plus mordants quant aux textes d'Ann Leckie s'axaient sur un rythme fluctuant et sur le choix de traduction. Dans La Miséricorde de l'Ancillaire, la prose vient compléter le podium. le lecteur devra se familiariser avec une multitude de phrases sans sujet ni verbe, à la musique hachée. Nous avons parfois la sensation de lignes de programme informatique s'affichant sur un écran — ce qui est judicieux quand un protagoniste lit les interventions d'une IA, mais dont je doute du bien-fondé pour les autres occurrences. Les dialogues entre personnages manquent cruellement de fluidité, souvent entre deux phrases, l'auteur nous renseigne sur les motivations, les émotions, l'historique des liens entre les intervenants ou l'histoire du Radch. Nous parvenons à perdre le fil du dialogue tant le délayage est important (et les échanges « percutants » – ironie).

La traduction, elle, n'a pas varié d'un iota. La lecture est toujours aussi pénible avant de s'habituer à ces fautes d'accords et de genre volontaires. le cerveau identifie des erreurs à la pelle, mais elles n'en sont pas.

En revanche, j'ai noté une amélioration au niveau du rythme — à moins que je m'y sois familiarisée après deux romans. Il est certes assez langoureux sur le premier tiers, puis s'accélère progressivement. Il y a même des scènes d'action ! Mais, ce n'est pas une réelle surprise, car nous étions restés auparavant avec tant de trames et d'éléments à conclure.

J'éviterai de faire durer le suspens : Ann Leckie ne répond pas à tout, et quand cela est le cas, pas forcément de la façon la plus idoine. Cependant, j'ai bien apprécié nombres de ses propositions et ouvertures. A ce point, j'hésite à dévoiler non pas l'importance et le contenu des révélations finales, mais à lister celles qui connaissent un épilogue.

Première chose, il n'y a pas à mon sens de Deus Ex Machina. Les conclusions aux événements se sont construites tout au long du récit et même des livres précédents. Rien n'est réglé définitivement au niveau du Radch (nous nous en doutions, vu l'étendue de l'Empire et la complexité de Annaander Mianaaï) ni des Presgers, Ann Leckie laisse de nombreuses ouvertures pour de futurs romans et nouvelles.

La Miséricorde de l'Ancillaire — à l'image de la trilogie du Radch — s'articule de manière originale, car c'est sans doute dans ce tome où le développement de l'Empire est le plus soigné et recherché. Ainsi, les Presgers apparaissent-ils plus puissants, redoutables et exotiques. L'ambassadeur Zéiat se présente comme leur interface, son attitude surprenante et amusante renseigne le lecteur à la fois sur la supériorité des aliens et sur les différences civilisationnelles. Ce personnage attachant, tout de blanc vêtu, n'a rien d'humain et s'apparente fortement au Paidhi de Cherryh, du cycle The Foreigner. Son arrivée en début de roman permet d'inclure une dose d'humour absente jusqu'alors dans la trilogie.

Le mystère autour de la porte Fantôme est levé plutôt habilement. le sort des personnages s'articule avec plus ou moins de bonheur (ou de facilité dans le cas de Queter…). J'avais beaucoup d'attentes suite à la révélation de la nature de Brecq devant son équipage, et d'autres êtres humains ou non. Ann Leckie sans être originale ne m'a pas déçue. le roman possède une dimension plus intimiste que les tomes précédents, et explore enfin la psychée de l'IA Justice de Toren et des IA en général. Les interactions sont enfin satisfaisantes à ce niveau. de nombreux parallèles avec Banks sont naturels et évidents, tant Leckie semble s'être inspirée de l'auteur britannique.

La découverte d'un dernier protagoniste en début de roman, un ancillaire (qui accompagne un peu trop commodément Brecq) donne lieu à de scènes savoureuses avec Zéiat. Il permet également d'élargir la complexité des IA qui possèdent une bonne dose d'humour caustique.

Pour conclure, la forme m'est toujours aussi pénible surtout à l'entame du roman. Ceci dit, le fond prend de l'envergure, malgré une absence d'originalité. La filiation avec les auteurs Banks, Reynolds… est apparente sans qu'il s'agisse d'un outrageux plagiat. Enfin, la trame, le rythme, les révélations apportent leurs lots de satisfactions. Nous ne disposons pas d'un chef d'oeuvre comme pourrait le laisser entendre le déferlement de prix, mais d'un honorable cycle (en construction) de SF.
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Pour une critique plus complète avec des petits extraits ou exemple, visitez là sur mon blog.

Brecq est l’hôte ancillaire du Justice de Toren, le vaisseau de guerre détruit par la Maître du Radch, il y a vingt ans. Dans la Justice de l’Ancillaire, il/elle déclencha une guerre civile au sein de l’Empire entre les deux factions d’Anaandeer Mianaaï, littéralement.

Dans L’Épée de l’Ancillaire, Brecq/Justice de Toren fut envoyé par une Anaander dans le système Athoek afin de le protéger de l’autre Mianaaï. Le conflit s’est étendu et provoque la plus grande confusion dans l’Empire. La station et la planète sous la protection de Brecq s’engagent dans des frictions partisanes. Les tensions sont à leur comble quand le Justice de Toren, capitaine de flotte est victime d’une tentative de meurtre.

L’action de La Miséricorde de l’Ancillaire commence la semaine suivant le sauvetage de Brecq, la fin apparente du conflit sur la station d’Athoek et l’arrestation de complices sur la planète ainsi que les révélations de la nature IA du capitaine de flotte devant son équipage humain.

Commençons par les choses fâcheuses…

Non seulement nous avons un style de narration peu courant, une explication des comportements basiques des protagonistes au cas où nous n’aurions pas compris et une traduction pour le moins acrobatique.

Mes reproches les plus mordants quant aux textes d’Ann Leckie s’axaient sur un rythme fluctuant et sur le choix de traduction. Dans La Miséricorde de l’Ancillaire, la prose vient compléter le podium. Le lecteur devra se familiariser avec une multitude de phrases sans sujet ni verbe, à la musique hachée. Nous avons parfois la sensation de lignes de programme informatique s’affichant sur un écran — ce qui est judicieux quand un protagoniste lit les interventions d’une IA, mais dont je doute du bien-fondé pour les autres occurrences. Les dialogues entre personnages manquent cruellement de fluidité, souvent entre deux phrases, l’auteur nous renseigne sur les motivations, les émotions, l’historique des liens entre les intervenants ou l’histoire du Radch. Nous parvenons à perdre le fil du dialogue tant le délayage est important (et les échanges « percutants » – ironie).

La traduction, elle, n’a pas varié d’un iota. La lecture est toujours aussi pénible avant de s’habituer à ces fautes d’accords et de genre volontaires. Le cerveau identifie des erreurs à la pelle, mais elles n’en sont pas.

En revanche, j’ai noté une amélioration au niveau du rythme — à moins que je m’y sois familiarisée après deux romans. Il est certes assez langoureux sur le premier tiers, puis s’accélère progressivement. Il y a même des scènes d’action ! Mais, ce n’est pas une réelle surprise, car nous étions restés auparavant avec tant de trames et d’éléments à conclure.

J’éviterai de faire durer le suspens : Ann Leckie ne répond pas à tout, et quand cela est le cas, pas forcément de la façon la plus idoine. Cependant, j’ai bien apprécié nombres de ses propositions et ouvertures. A ce point, j’hésite à dévoiler non pas l’importance et le contenu des révélations finales, mais à lister celles qui connaissent un épilogue.

Première chose, il n’y a pas à mon sens de Deus Ex Machina. Les conclusions aux événements se sont construites tout au long du récit et même des livres précédents. Rien n’est réglé définitivement au niveau du Radch (nous nous en doutions, vu l’étendue de l’Empire et la complexité de Annaander Mianaaï) ni des Presgers, Ann Leckie laisse de nombreuses ouvertures pour de futurs romans et nouvelles.

La Miséricorde de l’Ancillaire — à l’image de la trilogie du Radch — s’articule de manière originale, car c’est sans doute dans ce tome où le développement de l’Empire est le plus soigné et recherché. Ainsi, les Presgers apparaissent-ils plus puissants, redoutables et exotiques. L’ambassadeur Zéiat se présente comme leur interface, son attitude surprenante et amusante renseigne le lecteur à la fois sur la supériorité des aliens et sur les différences civilisationnelles. Ce personnage attachant, tout de blanc vêtu, n’a rien d’humain et s’apparente fortement au Paidhi de Cherryh, du cycle The Foreigner. Son arrivée en début de roman permet d’inclure une dose d’humour absente jusqu’alors dans la trilogie.

Le mystère autour de la porte Fantôme est levé plutôt habilement. Le sort des personnages s’articule avec plus ou moins de bonheur (ou de facilité dans le cas de Queter…). J’avais beaucoup d’attentes suite à la révélation de la nature de Brecq devant son équipage, et d’autres êtres humains ou non. Ann Leckie sans être originale ne m’a pas déçue. Le roman possède une dimension plus intimiste que les tomes précédents, et explore enfin la psychée de l’IA Justice de Toren et des IA en général. Les interactions sont enfin satisfaisantes à ce niveau. De nombreux parallèles avec Banks sont naturels et évidents, tant Leckie semble s’être inspirée de l’auteur britannique.

La découverte d’un dernier protagoniste en début de roman, un ancillaire (qui accompagne un peu trop commodément Brecq) donne lieu à de scènes savoureuses avec Zéiat. Il permet également d’élargir la complexité des IA qui possèdent une bonne dose d’humour caustique.

Pour conclure, la forme m’est toujours aussi pénible surtout à l’entame du roman. Ceci dit, le fond prend de l’envergure, malgré une absence d’originalité. La filiation avec les auteurs Banks, Reynolds… est apparente sans qu’il s’agisse d’un outrageux plagiat. Enfin, la trame, le rythme, les révélations apportent leurs lots de satisfactions. Nous ne disposons pas d’un chef d’œuvre comme pourrait le laisser entendre le déferlement de prix, mais d’un honorable cycle (en construction) de SF.
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Et voilà une trilogie de terminée. Ça a commencé très fort avec le premier tome mais j'avoue que mon intérêt a un peu vacillé pendant la lecture des deux tomes suivants.

S'il se passe plus de choses dans ce dernier tome par rapport au deuxième, il n'en reste pas moins que le rythme est toujours assez inégal. Certaines parties sont passionnantes bien sûr, mais d'autres ont vite fait de paraître un peu longuettes.

En toute objectivité, je pense que c'est en grande partie dû à ma volonté d'enchaîner les trois tomes sans interruption. Bien que les romans soient assez courts, ça reste quand même une lecture assez dense qui ne se prête pas tellement au binge reading. Peut-être que ça a un peu entaché mon impression globale.

Au-delà des histoires de rythme, j'ai beaucoup été embêté par le fait que les enjeux paraissaient énormes dans le premier tome, que la fin du second tome annonçait des menaces supplémentaires, mais qu'au final on a l'impression pendant la lecture que le scope de l'intrigue s'est vraiment réduit pendant la trilogie et qu'on n'aura pas de vraie résolution…

Et puis viennent les deux derniers chapitres. Et par une pirouette assez magistrale (d'après moi), l'autrice parvient à proposer une résolution inventive qui m'a énormément plu. Est-ce qu'absolument tout est résolu ? Loin de là. Est-ce que la fin est quand même satisfaisante ? Absolument !

La série se finit sur une situation qui laisse entendre qu'il y a encore énormément de choses à faire et à découvrir dans cet univers, et ça donne vraiment envie !

Bon et quelques infos plus générales en vrac : j'aime toujours autant les personnages, les traducteurs sont des personnages géniaux (sans contexte c'est bizarre mais peu importe), mais je n'en peux plus d'entendre parler de thé toutes les trois pages ! Sinon les thématiques sont toujours aussi intéressantes puisqu'on parle toujours de colonisation, on parle de privilège et même un peu d'addiction.

Au final, cette série n'est vraiment pas un coup de coeur pour moi mais il y a trop de choses intéressantes dedans pour passer complètement à côté je pense. Je ne recommande simplement pas forcément d'essayer de lire la série d'une traite, ça peut être un brin contre-productif.
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Ce troisième et dernier tome de la série Imperial Radch tient toutes ses promesses. (A présent que la version française est sortie je précise l'avoir lu en VO, ce qui a semble-t-il un impact certain.)
Ancillary Sword a mis en place au fil des tomes précédents beaucoup d'éléments qui ici sont utilisés dans toute leur ampleur et leur potentiel. Ann Leckie mène sa barque -pardon son vaisseau- d'une plume de maître et tout en gardant le point de vue si spécifique et potentiellement désincarné de Breq, met en place un roman haletant et au final très satisfaisant.
Ancillary Mercy offre de beaux moments de bravoure (la manière dont la Station prend les choses en mains est absolument jouissive), mais également des résolutions émotionnelles satisfaisantes à toutes les relations tissée autour de Breq, avec ses lieutenants et son équipage humains, mais également de belles évolutions de personnages : toutes les intelligences artificielles auxquelles est confronté Breq -dont certaines que nous n'avions pas encore rencontrées- ont leur personnalité et leur rôle à jouer, on fait la rencontre d'intrigants nouveaux protagonistes ou on en redécouvre d'anciens, et Seivarden est a mon grand plaisir plus présente et nettement mieux exploitée que dans le tome précédent. Breq elle-même évolue beaucoup, a des prises de conscience et des moments de vulnérabilité qui entrent parfaitement dans son arc... Et enfin, peut être le plus important, l'aspect scénaristique et le dénouement ne déçoivent pas. Ancillary Mercy est dense en retournements de situation et le dénouement final -que je tairai ici- est à la fois si parfaitement évident au vu des trois romans qu'il en parait presque trop facile, et malgré tout parfaitement surprenant, ce qui est à mon sens une excellente combinaison.

La série des Ancillary est décidément une très belle oeuvre de SF, intelligente et efficace, que je relierai probablement un de ces jours avec plaisir.
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isbn:9782290111413
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Je viens de finir la trilogie des "Chroniques du Radch". J'ai créé mon compte Babélio afin d'écrire mon avis sur cette trilogie.
Je précise que je lis régulièrement de la science-fiction et que j'ai lu les Chroniques de Radch car elles étaient classées comme telle et qu'elles ont emporté quelques prestigieux prix littéraires. La note sur babélio (3.5/5) n'est pas fabuleuse mais reste à priori correcte.

Quelle déception !
J'apprécie d'être emmené dans un univers différent du notre en lisant de la SF mais alors là j'attendais juste de savoir quand l'histoire commencerait. J'ai trouvé le livre long, pauvre en idées, très répétitif. Il ne se passe rien. 3 tomes pour arriver à une fin qui n'en est pas une selon moi.

Des originalités (le mélange des genres féminins/masculins) qui n'apportent rien selon moi. Des personnages auxquels on ne s'attache pas. Quelques questions soulevées intéressantes mais si peu traitées (personnalisation d'un IA, motivations des non-humains, origines du Radch).

Je vous déconseille de lire cette trilogie, c'est selon moi une perte de temps.
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je me suis régalé à le lire. le meilleur des 3 tomes : humour & action. Les 3 tomes ont une tonalité différente. J'ai beaucoup aimé le 1er tome bien qu'il faut dire que sa lecture a été un peu difficile au départ. Mais après quand on est habitué au style littéraire de l'auteur, on se régale avec cette saga de l'ancillaire. Je suis un peu triste d'avoir terminé ce dernier tome, il faut que je me trouve un nouveau livre à lire qui soit à la hauteur de cette saga, ca va être difficile. Je pense que vais re-re-re-lire les aventures de Miles Vorkosigan :-)
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J'ai adoré cette saga. les cent premières pages sont un peu indigestes, mais passé cette épreuve.. C'est parti mon kiki! Un peu déçue de la fin, mais bon, j'étais certainement triste de quitter ce monde.
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