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EAN : 9782268026046
385 pages
Les Editions du Rocher (14/05/1997)
5/5   1 notes
Résumé :
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120. Considérer tous les autres supérieurs à soi

Le Rabbi de Bershid avait l’habitude de dire : « Quand l’homme meurt, on lui demande : ‘’Est-ce que tu as étudié la Thora ? Est-ce que tu as fait des bonnes œuvres ? Est-ce que deux fois par jour tu as professé le Royaume de Dieu ? Est-ce que tu as traité ton prochain comme ton roi et avec humilité et douceur ? »

Puis il ajoutait : « Nous devons surtout insister sur les derniers mots : ‘’avec douceur’’.

Il ne faut pas accepter ton prochain comme supérieur à toi par devoir, mais parce que tu es vraiment convaincu qu’il t’es supérieur et que tu n’es que poussière et terre. »

121. Le Rabbi de Vork disait : « L’homme vraiment humble est incapable de garder de la rancœur. Si on l’interrompt au milieu d’un travail important, il ne s’impatiente pas.

Il pense toujours que les autres sont plus importants que lui.

Il ressemble au bûcheron du roi. Comment pourrait-il se fâcher avec le roi, si celui-ci l’interrompt dans son travail ?

Hillel est l’exemple d’un homme humble. On raconte dans le Talmud comment certains, à le voir imperturbable, firent un pari.

Ils le tourmentèrent de toutes les manières possibles, allant jusqu’à l’empêcher d’observer le sabbat, mais Hiller garda son calme, parce qu’il considérait les autres comme supérieurs à lui. »

122. Se consumer pour les autres

Le Rabbi de Guér disait : « Nous voyons que la chandelle, la mèche et l’huile dégagent de la lumière en se consumant.

De la même manière l’homme qui se consume pour les autres émet une lumière spirituelle. » (pp. 60-61)
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36. Rabbi Bounam disait : « Des enfants nous pouvons apprendre trois choses.

Premièrement : un enfant est toujours heureux d’être vivant.

Deuxièmement : un enfant est toujours actif.

Troisièmement : un enfant pleure pour tout chose qu’il désire.

De la même manière nous devrions servir le Seigneur d’un cœur joyeux ; nous devrions toujours être plein de zèle pour exécuter ses commandements ; nous devrions implorer le Seigneur en pleurant, pour qu’il exauce nos requêtes. » (p. 27)
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22. Rabbi David de Lelov répondait à quelques-uns de ses disciples qui l’appelaient tzaddik : « Je ne suis pas encore digne qu’on m’appelle juste, parce que je continue à préférer mes enfants aux autres hommes. »

Et à ce sujet le Rabbi de Gastinin disait aussi : « Mon révéré maître, le Rabbi de Kotzk, se donnait de la peine pour m’inspirer un amour envers l’humanité tel que je puisse aimer mes ennemis comme mes amis les plus chers. » (p. 21)
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