C'est à peine lisible. Un brouillon, un premier jet livré d'urgence pour honorer une avance? C'est la première fois dans ma vie de lecteur que je lis un livre bourré de fautes de français, de phrases ininteligibles, de raisonnements poussifs (ríen compris à ses observations sur la gentillesse par exemple). Souvenirs en vrac, sans le moindre souci de cohérence avec un mot en guise de fil conducteur : archive. On pourrait faire un jeu de devinettes avec ce livre : qui ou que désignent les pronoms personnels? Casse tête gramatical et syntaxique. La pauvreté des anecdotes laisse sur sa faim l'admirateur de duras et
Claude Simon, de becket et de Marie N diaye. Pourquoi une telle médiocrité?