Les portes de l'enfer ne s'étaient toujours pas refermées.
Page 446, Édition J'ai Lu
Toute sa vie, la faucheuse, sans doute, danserait avec lui, jusqu'au dernier tango.
Page 61, Édition J'ai Lu
Il avait dans le regard cette lueur triste et grave, cette sapience silencieuse, cette assurance sombre, celles des gens qui connaissent sur la vie et sur la mort ces choses crues que la plupart des hommes n'ont pas envie de connaître. La douleur, la violence et la finitude.
Pages 15-16, Édition J'ai Lu
La véritable politique vise bien plus le long terme que vous ne semblez le croire. Voltaire disait que l'on juge les hommes politiques comme le parterre juge un opéra : sans savoir la musique.
- Oh... Il manque simplement une femme dans ta vie, mon garçon. T'as pas une amoureuse ?
Marc sourit.
- Non.
- Eh bien voilà. C'est ça qu'il te manque. L'intelligence d'une femme pour te guider.
Au collège, je n'ai pas d'amis. Avoir un ami, c'est accepter de s'aimer soi-même. Je n'ai pas cette prétention.
En grandissant, au milieu des tumultes, la lecture ne m'a jamais quitté. J'ai toujours chéri les livres comme la plus grande richesse que les hommes puissent m'offrir. Je n'ai jamais possédé d'autre trésor que celui de ces milliers de vies, de pensées, de paysages à portée de main, offerts à chaque ligne à celui qui les lit, pour le prix d'une bouchée de secondes.
On dit que la lecture est un plaisir solitaire, mais celui qui ne lit pas et bien plus seul encore. Il lui manque le monde entier.
Ne pas pouvoir se regarder en face, c’est être empêché de constater qu’on est vivant.