Grosse, grosse, GROSSE déception. J'avais adoré
le rasoir d'Ockham et je me promettais une nouvelle fête de lecture avec le mystère
Fulcanelli ... je m'y suis ennuyée comme jamais dans un thriller (même si le dernier quart du livre sauve un peu celui-ci).
Le mystère
Fulcanelli m'a fait l'effet d'un livre écrit sur la commande d'un éditeur, parce qu'il faut surfer sur la vague d'un récent succès ou au contraire parce que l'auteur n'a rien publié depuis longtemps.
Un livre bourratif, remplit d'informations sur une théorie ésotérique et son supposé fondateur, qui, au lieu d'éclairer l'intrigue, donnent surtout l'impression que l'auteur a cherché à remplir des pages.
De plus, la romance du héros avec une "héroïne" déjà apparue dans le précédent livre est gnangnan et peu crédible.
Une lecture parfaitement indigeste qui a douché mon enthousiasme né de la découverte d'
Henri Loevenbruck à travers le livre lu en premier, et qui me fait hésiter à lire au plus tôt, comme je me l'étais promis, sa suite,
Les cathédrales du vide.
Un page-turner à nouveau, mais dans le sens où je n'ai cessé de sauter des pages pour essayer d'arriver au plus tôt à la fin du livre...