Est-ce donc toi le doux monstre au seuil de l'empire ?
Où-est ton orgueil, où ta rage de femme ?
Tu corromps tout élan d'homme par le feu de ton âtre.
Qu'as-tu fait du secret du temple ?
Où sont les offrandes aux morts,
Les larmes du soleil : l'Or ?
Tu abrèges l'office sur la pierre d'autel.
Tu prodigues des caresses, tu distribues des bontés
Qu'as-tu fait de tes cruautés ? De tes rites sanglants ?