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Citations sur Yeruldelgger, tome 2 : Les temps sauvages (127)

… il ne fallait rien attendre des hommes, comme l’avait dit Voltaire, mais simplement leur faire tout le bien dont nous étions capables.
(Albin Michel, p. 53-54)
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À la fin des années quatre-vingt, dans le cadre de la coopération fraternelle entre les peuples pour un avenir radieux et de la planification du pillage systématique des ressources naturelles des petits pays frères, les Soviétiques avaient construit cette ville russe en territoire mongol. Interdite aux Mongols. La ville ne servait d’atelier, de dortoir et de réfectoire qu’aux techniciens et cadres russes de la grande mine d’uranium à ciel ouvert de Dornod, le second plus grand gisement du pays. (page 328)
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- Tu sais, les citadins et les étrangers nous prennent pour des sorciers. Toutes ces histoires de chamanes, ces pouvoirs surnaturels, ce lien avec les esprits… Tout ça n'est que foutaise. Tu sais quelle est notre seule force ? C'est celle de prendre le temps d'être là, dans la steppe, immobiles. Il suffit d'écouter et de regarder pour avoir l'air d'un sage.
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Krasnokamensk devait ses jours de gloire à la colonie pénitentiaire YaG 14/10 où Poutine s’était efforcé, depuis octobre 2005, de briser la résistance de l’oligarque Mikhaïl Khodorkovski. Mais dans le même temps où elle était devenue connue de la terre entière, la ville s’était isolée du reste du monde, histoire de décourager militants, avocats et journalistes. (page 207)
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- Restez là pendant que j'apprends son boulot à votre chef, peut être que vos cerveaux atrophiés en tireront une petite leçon.
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L'armée c'est le secret, plus la hiérarchie, plus l'obéissance.
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Deux hommes coururent jusqu’aux voitures pour rapporter des sangles et la civière. Mais à peine le corps nu hissé hors de l’eau, Zarza les arrêta.

- Ah, là, client, dit-il à l’adresse du gradé, il va falloir y retourner.
- Et pourquoi ça ?
- Ce cadavre-là n’est pas le bon.
- Ah oui ? Et comment vous savez ça ?
- Peut-être parce que celui-là a des couilles ? suggéra Zarza.

(Betty, une femme disparue était recherchée dans la zone)
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- Ma femme, ça fait longtemps qu'elle a pris son paquetage elle aussi.
- Elle s'est tirée ?
- Oui, une balle dans la tête après la mort de notre fils.
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- Tu sais comment on arrête un incendie dans la taïga ? En brulant une partie de la taïga loin devant la ligne de feu. Feu contre feu.
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Et puis, quelques minutes à peine après son envol, le Fokker déchira de ses hélices vrombissantes le voile épais qui étouffait la ville et jaillit dans le bleu lumineux du ciel. Oulan-Bator n’était rien en regard de la Mongolie tout entière. Juste une petite métropole prétentieuse encaissée dans une petite vallée fermée qui gardait sur elle ses fumées. Et tout autour, la Mongolie. La vraie Mongolie qu’il aimait. (page 77)
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