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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
René Manzor m'ayant converti avec son thriller biblique « Apocryphe », j'avais forcément la foi en entamant ce polar plus classique qui nous emmène dans les tréfonds de la folie…

« A Vif » débute par la découverte du corps d'une jeune fille de treize ans, brûlée sur un bûcher. Un meurtre horrible qui rappelle ceux perpétrés quelques années plus tôt… et malheureusement toujours irrésolus. Chargée de mener l'enquête, la capitaine Julie Fraysse consulte Novak Marrec, son prédécesseur qui n'a jamais su découvrir l'identité du mystérieux « Immoleur » de ce petit village de Gévaugnac. le hic est que celui-ci n'est pas vraiment sorti indemne de cette ancienne affaire et qu'il séjourne dorénavant dans un hôpital psychiatrique, atteint de troubles obsessionnels délirants.

Ce qui accroche immédiatement le lecteur, ce sont les personnages particulièrement travaillés de Réne Manzor. Il y a tout d'abord ce couple d'enquêteurs atypique, constitué d'une mère de deux enfants qui tente tant bien que mal de conjuguer vie personnelle et vie professionnelle, et d'un homme hanté par les images du passé et naviguant constamment entre réalité et délires. Si l'auteur parvient à les rendre extrêmement attachants, les personnages secondaires ne sont pas en reste. J'ai à ce titre adoré les deux garçons de Julie, qui insufflent beaucoup d'humour à l'ensemble et qui soulignent la capacité de René Manzor à livrer des dialogues parfaitement ciselés, qui ont su me faire sourire tout au long de cette histoire qui ne s'y prête pas forcément.

Il faut ensuite applaudir cette intrigue qui flirte certes régulièrement avec les limites de la crédibilité, mais qui s'avère prenante au possible et qui abandonne le lecteur bouche bée. L'auteur se sert admirablement du profil pathologique de Novak Marrec pour prendre le lecteur à contre-pied, tout en l'emmenant sur le terrain de la psychiatrie.

Ne vous étonnez donc pas si vous refermer ce page-turner en l'ayant aimé… à la folie !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Si René Manzor était gymnaste, il serait médaillé olympique du grand écart. En tant qu'écrivain, son talent s'étire d'un bout à l'autre du terrain du Noir.

Pour moi, c'est une sacrée qualité d'avoir l'envie de se réinventer sans jamais tomber dans la facilité, de faire marcher son imagination à plein tube tout en restant cohérent. Et de montrer que la créativité n'a pas de limite quand on aime les histoires, les émotions et les mots.

Et puis d'oser. Oser se lancer dans un récit apocryphe se déroulant dans la Palestine du 1er siècle, avec son précédent roman. Et de revenir à une histoire plus classique, contemporaine et française avec A vif.

Les amateurs de polars / thrillers traditionnels trouveront leur compte dans cette intrigue très visuelle (n'oublions pas que Manzor est tout autant réalisateur et scénariste qu'écrivain).

Tous les ingrédients sont réunis dans cette enquête dont vous ne trouverez pas le fin mot. Ils mélangent mystère, faux-semblants, rythme et psychologie. Pour ne pas dire psychiatrie. A la folie…

Le supplément d'âme vient clairement des personnages, avec un « couple » de flics atypique, réunis de force, à l'opposé l'un de l'autre. du déjà-vu aussi, mais l'auteur sait les rendre à la fois sympathiques et agaçants, surprenants clairement.

Je dois dire que j'ai goûté avec plaisir leurs passes d'armes verbales, surtout au début de leur relation. Ces dialogues enlevés ont été un vrai plaisir de lecture.

L'un des deux, Novak de son prénom (un nom qui parlera aux spécialistes du thriller, clin d'oeil), a un lourd passé. Totalement obsédé par une précédente affaire qui semble revenir à la vie. A vif dans ses réactions, dont on découvrira les sources. Un profil pathologique, qui en parallèle de l'enquête, mènera le lecteur sur le terrain de la psychiatrie.

Leur relation est brûlante, les braises attisées par leurs feux intérieurs. de quoi rajouter du carburant à une intrigue déjà incandescente.

A vif est un thriller, certes conventionnel, mais qui a les qualités pour plaire aux fans du genre. René Manzor sait construire une histoire et lui donner souffle de vie à travers des personnages caractérisés.

Et comme il construit parfaitement une intrigue retorse, avec la ruse et l'habileté qu'on lui connaît, voilà un roman noir qui se lit d'une traite.
Lien : https://gruznamur.com/2021/0..
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JDM ! Voilà comment la capitaine Julie Fraysse, du SRPJ de Toulouse, aurait pu qualifier cette journée. Alors qu'elle s'apprête à partir en vacances avec ses deux gamins, la voici appelée sur un crime.

Ses vacances sont à l'eau tandis que la victime, 13 ans, a été immolée par le feu. C'est glauque, très glauque.

À la base, on a un polar qui semble se diriger vers un whodunit des plus basiques : qui a immolé la petite Maylis ? Est-ce un Copy Cat ou bien le responsable d'anciennes immolations a-t-il repris du service ?

Pourtant, on comprend tout de suite que l'enquête va s'écarter assez vite d'un whodunit classique, car le supérieur de la capitaine Fraysse, le commandant Ray Roques, va aller recruter dans un asile son ancien capitaine, celui qui avait enquêté sur les précédentes immolations.

Attention, duo atypique et duo de choc : entre la capitaine Fraysse et l'ancien capitaine Novak Marrec, ce sera explosif ! le second reprochant à la première de lui avoir volé sa place, la première râlant que ses vacances sont à l'eau et que Novak l'accuse d'un fait dont elle n'est pas responsable.

Dans ce roman policier aux allures de thriller glauque (des immolations de jeunes filles prépubères, on est loin du classique révolver dans le bureau), les certitudes du lecteur vont voler en éclat assez souvent et les fausses pistes (ou pas) se multiplier.

Qui a raison, qui a tort ? le cerveau de Novak est-il foutu par ses délires paranos ou bien tient-il le début d'une piste ? Fraysse va-t-elle le suivre, ou pas ? Beaucoup de suspense et de mystères dans ce récit qui ne m'a pas laissé beaucoup de répit.

La note amusante sera apportée par les deux gamins de la capitaine Fraysse et cela faisait du bien pour contrer cette noirceur qui s'échappait du récit où tout le monde n'était pas aussi ange blanc qu'on pourrait le croire.

Mon bémol ira à la résolution de l'enquête qui arrive un peu trop vite, ou du moins, comme un cheveu dans la soupe, de manière inattendue. Crac boum hue et les flics surgissaient, tel Zorro arrivant au bon moment, me déstabilisant totalement.

J'avais déjà trouvé le mobile du crime de Maylis mou du genou (ou alors, la personne coupable est bonne à interner, elle aussi) et là, ça a un peu tempéré mon enthousiasme pour cette lecture, vu l'utilisation de certaines ficelles.

Si le roman garde une excellente note, c'est en raison de son scénario, qui n'avait rien de banal (même si j'avais déjà connu ce genre de "truc" – no spoiler) et qui est allé dans une direction à laquelle je ne m'attendais pas, bien que j'aie eu des soupçons à un moment donné, vu la réaction de certains personnages.

De plus, il y avait des émotions, un suspense implacable et les portraits des enquêteurs (Fraysse et Novak) étaient réussi, mais pas qu'eux, les autres aussi. Ils en étaient même attachants, surtout Novak et son passé des plus sombre.

Un très bon thriller qui va jouer avec les perceptions de ses lecteurs, les entraîner là où l'on va rarement (les délires psychotiques, la paranoïa et j'en passe), le tout accompagné d'enquêteurs attachants (Novak est même parfois attachiant).

Le seul bémol étant pour le final un peu trop précipité et quelques ficelles utilisées pour faire passer le tout.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Un roman qui commence sur les chapeaux de roues par un crime très glauque ; il s'agit d'une adolescente de 13 ans, Maylis, qui sera immolée sur un bûcher. Or, c'est la 4ème victime à mourir de cette façon horrible dans le petit village de Gevaugnac, proche de Toulouse.
L'inspectrice Julie Fraysse est amenée à enquêter sur ce drame car elle est native de Gevaugnac. Il lui faudra collaborer avec le capitaine Novak Marrec, qui est interné dans un asile proche suite à des troubles obsessionnels délirants. Cette affaire lui tient particulièrement à coeur car il n'a pas réussi à retrouver celui qu'il soupçonnait d'être l'immoleur. A cause de ses problèmes psychiatriques, Novak ne sait plus trop si ce qu'il vit est réel ou le fruit de son imagination, et nous non plus !
Un bon suspense, un bon rythme, des rebondissements et une fin qui surprend. Assez éprouvant quand même vu le sujet principal.
J'ai beaucoup aimé ce roman et continuerai à suivre cet auteur.
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Comme d'habitude avec et auteur j'ai lu à toute vitesse ce récit dans lequel on est pris dès les premières pages, on sent que l'auteur et également scénariste et réalisateur car les pages défilent et le rythme du récit est haletant.

Tout débute ici lorsqu'une jeune fille de 13 ans se fait enlevé et brûlée vive devant son petit frère, la région a déjà connu de fait quelques années plus tôt mais le meurtrier a été arrêté, il ne peut donc pas s'agir de lui.

Julie Fraysse doit partir en congés avec son mari, mais elle est contacté pour mener cette enquête car elle connait bien cette région car elle y a grandi.

Pour l'aider sur celle-ci il va lui être demandé de se mettre en relation avec Novak le policier qui a précédemment mené cette enquête, le petit hic étant que celui-ci est désormais dans un hôpital psychiatrique à la suite de sa précédente enquête.

J'ai aimé suivre ce tandem improbable et plutôt novateur en tout cas pour le personnage de Novak et la particularité du meurtrier pour son mode opératoire.

On avance a grand pas dans ce récit et on a rapidement envie de savoir s'il s'agit d'un copycat ou non et d'autres aspects sont également intéressant à suivre.

Encore une très bonne lecture avec cet auteur que je continuerai avec grand plaisir à lire le prochain devrai sortir au mois d'Octobre 2022, je suis pour le moment à jour dans mes lectures.
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On m'en avait parlé, et je l'avais acheté. Alors pourquoi l'avoir laissé si longtemps sur son étagère ? Je me le demande encore. Car ce thriller, qui flirte dangereusement avec le noir, est un petit bijou du genre.

Dès que j'ai lu le prologue , je me suis doutée que je n'éteindrais pas la lumière de bonne heure. J'avais tort ! le jour n'allait pas tarder à se lever quand j'ai tourné la dernière page.

Le corps calciné d'une ado a été retrouvé sur un bûcher et la capitaine Julie Fraysse est appelée sur les lieux. Il y a 2 ans, une affaire similaire avait envoyé Novak Marrec, son prédécesseur, en hôpital psychiatrique où il est encore interné. Une affaire dont il connaît chaque détail et que sa hiérarchie lui demande de consulter. Si ce n'est que travailler avec un mec, aussi bon flic eut-il été, qui navigue en permanence entre ses délires et la réalité n'enchante pas particulièrement Julie.

On accroche tout de suite avec ce duo d'enquêteurs atypique dont les joutes verbales m'ont régalée. L'auteur joue très bien sa partition en situant cette intrigue macabre dans un petit village où tout le monde se connaît et qui
Implique nombre de personnalités. Et si la hiérarchie intime la prudence a Julie, Novak lui n'est pas du genre à faire dans la dentelle.

Le scénario imaginé par l'auteur est particulièrement prenant et insuffle du rythme a une intrigue qui nous balade allègrement. L'écriture est fluide et très digeste puisqu'on l'avale à grosses goulées. le suspense se maintient jusqu'à ce que tout vole en éclat. C'est intelligent et d'une finesse absolue. Bravo Mr Manzor.

Vous l'avez compris, si vous avez besoin d'originalité et d'un peu de légèreté dans la noirceur, ce livre est fait pour vous.
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Le roman commence très fort, le meurtre d'une jeune fille brûlée vive sur un bûcher !
Cette fois-ci l'auteur met en scène le capitaine Julie Fraysse de la SRPJ de Toulouse, chargée de l'enquête et l' ex-capitaine Novak Marrec , consultant, interné en hôpital psychiatrique car atteint de troubles obsessionnels délirants !
C'est le deuxième roman que je lis de cet auteur et c'est toujours aussi palpitant, les chapitres courts donnent un rythme soutenu , les deux personnages principaux sont sympathiques, l'intrigue vraiment percutante, la fin est incroyable !
Vraiment, j'adore cet auteur !
Si vous ne connaissez pas, n'hésitez plus !
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J'ai découvert l'auteur en lisant Apocryphe, un thriller biblique aussi brillant qu'inattendu.
A vif démarre fort : le corps d'une adolescente est retrouvé brûlé sur un bûcher en pleine forêt. La scène de crime se situe aux abords de Gévaugnac, dans l'Aveyron, le village d'enfance de la capitaine Julie Fraysse du SRPJ de Toulouse. Celle-ci est priée de reporter les vacances qu'elle a prévu de passer en compagnie de ses deux fils et de son ex-mari. Pour résoudre cette enquête , elle doit rencontrer Novak Marrek, le policier qui était deux ans plus tôt sur l'affaire de l'Immoleur, a qui l'on a attribué des meurtres similaires, et qui n'a jamais été arrêté. Interné en hôpital psychiatrique depuis cet échec, Novak Marrek est atteint de troubles obsessionnels délirants, qui perturbent sa vision de la réalité. Bien malgré elle, Julie Fraysse voit Novak se joindre à elle avec ferveur dans cette enquête.

On entre facilement dans ce roman qui se lit très rapidement. Les premiers chapitres sont prometteurs : une jeune fille s'enfuit dans la forêt pour se rendre à un rendez-vous mystérieux près d'une chapelle. Elle n'en reviendra pas. La scène de découverte du corps est éprouvante, et l'on suspecte rapidement quelques habitants du village. Tension, suspicion d'autant plus que des meurtres quasi identiques ont été commis deux ans plus tôt dans la région. Les personnages sont accessibles, sympathiques, chacun peut se reconnaître en eux, ce qui les rend attachants. Les parents éplorés de la petite Maylis sont crédibles et les situations vécues par la capitaine Julie Fraysse sont réalistes : elle jongle entre son travail et ses deux ados que son ex-mari menace de lui enlever. Novak Marrek est un personnage peu commun qui fait l'originalité de ce thriller dont l'intrigue bien que prenante, reste assez classique. Comment peut-on mener une enquête lorsque l'on confond rêve et réalité ? J'ai beaucoup aimé ce personnage bien travaillé et assez insolite.

Mais je suis tout de même un peu déçue par le dénouement car la tension qui émane des premiers chapitres ainsi que la mise en scène complexe des crimes me laissaient espérer un dénouement plus sombre. Apocryphe m'a tellement plus que j'attendais peut-être trop de ce nouveau roman : A vif est loin d'atteindre sa puissance mais reste une lecture très divertissante.
Lien : https://loeilnoir.wordpress...
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Dans ce thriller, René Manzor utilise la maladie mentale pour nous perdre dans les méandres de son intrigue. L'écriture est fluide et le roman se dévore. Pour autant, Manzor prend le temps de développer ses personnages, de leur données une contenance et du relief. On s'attache à Julie et Novak au fil des pages. Je trouve la fin un peu vite expédiée, c'est dommage. Pour le coup, le coupable lui, n'a que très peu de relief et on ne comprends pas vraiment le pourquoi du comment. C'est un peu dommage compte tenu de la qualité de ce que l'auteur livre tout au long du récit.
Je pense que je sauterais sur les autres livres de René Manzor si l'occasion se présente.
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Cela fait quelques années que j'ai découvert René Manzor, l'auteur, je ne connais pas sa vie d'avant (je viens de la découvrir lors d'une longue vidéo interview super intéressante… si vous voulez le découvrir regardez cet entretien sur Sud radio https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel/videos/270741168027534 ) et j'ai lu tous ses livres… et je les ai tous adorés. J'avais donc hâte de lire son petit dernier « A vif ». Comme à son habitude, l'écriture est fluide, précise et bien pensée et l'intrigue est addictive, touchante et ciselée. Il ne faut pas se mentir, quand il s'agit d'enfants qui sont victimes, cela sert encore plus le coeur. Et c'est ici le cas. A Gévaugnac, dans la juridiction du SRPJ de Toulouse, une petite fille de treize ans, Maylis, est retrouvée carbonisée sur un bûcher sur les hauteurs du village. Elle a été brûlée vive. L'horreur est totale, d'autant plus que cela réveille pour les habitants des douleurs à peine cicatrisées. En effet, deux ans plus tôt, dans ce même village, quatre autres petites filles du même âge avaient été elles aussi brûlées vives et l'assassin surnommé « l'Immoleur » n'a toujours pas été trouvé. La capitaine Julie Fraysse qui s'apprêtait à partir en vacances est rappelée par son chef, pour venir faire les premières constations et interroger les villageois qu'elle connaît bien puisque Gévaugnac est son village natal. La police n'a pas laissé de bons souvenirs dans le village. Julie n'a pas remis les pieds à Gévaugnace depuis ses treize ans, mais elle se laisse convaincre de retarder son départ en vacances de 48h. Maylis est la fille de Béatrice et Pierre Guinet. Pierre est un ami d'enfance de Julie. Cette dernière doit consulter Novak Marrec, le policier qui a mené l'enquête il y a deux ans. Ordre de son chef. Or Novak est depuis deux ans dans un hôpital psychiatrique car il souffre de trouble obsessionnel délirant. Cette enquête sur l'Immoleur de Gévaugnac l'a fait complètement déraper et il tente depuis de guérir s'il peut, ou tout du moins de calmer ses névroses. La venue de Julie qui l'a remplacé à la SRPJ de Toulouse pour lui parler de ce nouveau meurtre va-t-il l'aider à revenir dans la réalité du monde ou lui faire perdre les quelques repères qu'il a trouvés depuis deux ans ? Un duo d'enquêteurs inédit et atypique. A vous de lire « A vif » pour découvrir cette histoire incroyable, avec de nombreux rebondissements et de fausses pistes car René Manzor est passé maître dans l'art de nous emmener sur différentes pistes pour mieux nous perdre et la fin bat tous les records dans cet art ! Il faut s'accrocher et essayer de comprendre. La découverte de l'assassin ne donne pas toutes les réponses.… Concernant les personnages, je ne suis pas certaine d'avoir bien tout compris. Mais bon à l'arrivée, « A vif » est un excellent thriller de facture classique en apparence, mais il ne faut surtout pas se fier aux apparences avec René Manzor. Hâte de lire son prochain !
Lien : https://mapassionleslivres.w..
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