Si Lewis Kayne symbolisait la partie western dans les 3 premiers tomes et Armand Lebon, alias le Frenchie, le narrateur pacifiste du génocide des indiens, dans ce quatrième tome, en l'absence de Lewis Kayne, c'est le Frenchie qui va aiguiser sa partie western en s'entraînant au tir et en mettant tout en oeuvre pour venger son ami.
Et il n'y pas que du côté de l'histoire que l'un des principaux personnages disparaît, car à la réalisation, c'est
Marc-Rénier qui a repris seul les commandes de cette série ... et si du côté de l'histoire le Frenchie reprend le rôle du tueur avec une certaine maladresse (plus précis au lancé du bâton qu'au tir) tout en gardant son côte pacifiste, du côté réalisation
Marc-Renier a su reprendre le scénario sans aucune perte de qualité. Je trouvais même les dialogues meilleurs que dans les tomes précédents.
Quant à mon reproche concernant les Pawpaw abondant et de couleur rouge vif dans les scènes de tir des tomes précédents, je les trouvais moins abondants et ils n'étaient plus tous d'un rouge aussi vif. Conclusion : toujours aussi bon, si pas meilleur !