Tellucidar, tome 1

Hello, hello, aujourd'hui on bat la campagne Auvergnate avec la saga Tellucidar ! Merci à Scrineo pour l'envoi du deuxième tome. J'avais acheté le premier chez un bouquiniste, dans la capitale française des volcans, du fromage et du rugby (#ClermontFerrand).

Comme cette intro peut le présager, je suis tout à fait chauvine. J'adore ma région et j'adore quand elle est mise en scène. L'action de Tellucidar se passe dans le Cantal, à Vic-sur-Cère (enfin pour commencer, parce que ça se passe aussi dessous). Mais en plus, on y retrouve des Dino à plumes rigolos, une princesse Leïa blonde et un voyage au centre de la Terre. GÉNIAL.

J'ai donc, (et vous vous en doutez) plutôt apprécié ma lecture ! J'ai trouvé l'histoire très prenante et j'ai beaucoup aimé les mélanges d'influences. J'ai trouvé l'univers dépeint très chouette. Il prend place dans un présent alternatif où une nouvelle énergie propre a été découverte dans un autre monde : celui à l'intérieur de la croûte terrestre (où il y a des Dinos et des pouvoirs magiques).

J'ai apprécié les personnages, malgré leur caractère très stéréotypé, ils sont plutôt attachants et bien développés. L'histoire est assez classique mais reste très agréable à suivre, avec des péripéties et rebondissements. Bon le deuxième tome m'a moins surprise, le scénario est pas franchement original et on sait à peu près où ça va nous mener. Et puis l'histoire d'amour quoi.

Le fait que ça se passe en Auvergne, qu'un des héros soit correspondant pour le journal dans lequel je travaille et qu'ils aiment beaucoup le fromage a certainement ajouté du poids dans la balance côté « pour ». Uhuhuh.

Du coup, il y a quand même quelques détails qui m'ont chiffonnés. Déjà, le côté hyper sexualisée de l'héroïne (qui est par ailleurs, la seule présence féminine… mouais, ça ne passe plus pour moi ce genre de chose). Merci, mais non merci.

Les descriptions et adjectifs qui accompagnent les personnages sont également toujours les mêmes. Et lire quinze fois, à chaque fois qu'ils sont évoqués, que Kshaan ressemble à un Dino dandy et est comique sans le faire exprès ou que Koré a un corps de Diane et un visage d'ange, ça m'ennuie.

Et puis certaines incohérences m'ont titillées, du genre que Lucas, le héros, se souvient très bien de quand il avait quatre ans. Ou que Koré, si on fait les calculs a en fait 13 ans. (si si, c'est bien la meuf sur la couv', souvenez-vous, il y en a qu'une). Mouais, ça me laisse perplexe tout ça.

Mon ressenti final reste plutôt positif même si j'ai trouvé pas mal de défauts dans ces deux tomes. Dommage parce que l'univers est chouette et que les talents de conteur de l'auteur sont incontestables.
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Je signe un nouveau partenariat avec la maison d'édition Scrineo, que j'aime décidément de plus en plus, grâce à Livraddict, merci ! Tellucidar, avec son résumé promettant une aventure très inspirée de références de la littérature de fantasy m'a forcément tout de suite parlé, j'ai d'ailleurs passé un bon moment de lecture sans pour autant avoir totalement été transportée.

Ce premier tome est en effet avant tout là pour introduire les personnages et l'univers plus ou moins inédit dans lequel le lecteur va être plongé. Mais voila, cet univers, Tellucidar, le lecteur ne le découvre vraiment qu'à quelques pages de la fin et j'ai trouvé ça extrêmement frustrant. Si ce premier tome ne manque pas d'action vu que les personnages vont sans cesse devoir fuir et tenter par tous les moyens de rejoindre ce nouveau monde au coeur de la Terre, j'ai trouvé tout le récit très long tant j'avais hâte qu'ils arrivent enfin en Tellucidar.

De plus, le style de l'auteur n'a fait qu'accentuer mon impatience. Caractérisé par des phrases longues et des descriptions très fournies, j'ai beau avoir adoré la précision dont fait preuve l'auteur et son style très proche des auteurs classiques, moi ce que je voulais c'est qu'ils arrivent dans ce nouveau monde !

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Depuis que j'ai découvert "Louis le galoup" et "La geste d'Alban", je suis devenue une grande fan de Jean-Luc Marcastel. Changement radical d'univers avec "Tellucidar", qui s'inspire autant du "Voyage au centre de la Terre" de Jules Verne que de "Pellucidar" d'Edgar Rice Burroughs.

Dans ce premier tome, nous faisons la rencontre de Lucas, un adolescent dont le père a mystérieusement disparu lors de l'exploration d'une grotte pour le compte de la Tellcorp, une puissante société à la pointe de la technologie. Son personnage est plutôt séduisant même s'il n'échappe pas au cliché de l'ado rebelle et un peu geek sur les bords ! Si Lucas ne m'a pas forcément éblouie, j'ai en revanche été plutôt séduite par son oncle, un personnage bien plus nuancé. L'auteur le pare d'une auréole sombre et fait de lui un homme de mystère, protecteur envers les siens et dangereux envers les intrus.

Pour être honnête, ce premier tome constitue plutôt une entrée, une mise en bouche. Nous ne rentrons pas encore dans le vif du sujet, à savoir : Tellucidar. Ce n'est qu'à la toute fin que nous entrapercevons ce territoire inconnu. Ce tome sert à mettre en place le contexte historique (un monde qui a découvert une nouvelle source d'énergie non polluante), les différents personnages et leur quête.

J'attends avec impatience le second tome car je pense qu'il m'aidera à me forger une opinion plus nette de cette série. Néanmoins, je recommande Tellucidar à tous les amateurs d'aventures souterraines et exotiques !

J'étais très intriguée par la sortie de Tellucidar, entre le résumé prometteur et la couverture exotique, je souhaitais en savoir plus. J'avais entendu parler des autres ouvrages de Jean-Luc Marcastel (Un monde pour Clara, Praërie) sans pousser la curiosité jusqu'à me les procurer mais je suis ravie que la maison d'édition Scrineo ait eu la gentillesse de me faire parvenir celui-ci.

Lucas peine à faire le deuil de son père, décédé il y a quelques années dans le cadre de son travail à la Tellcorp, une multinationale productrice et distributrice d'un minerai de grande valeur; le Tellurium. Qu'elle n'est pas sa surprise de recevoir un jour un mail sur le vieil ordinateur de son père, l'enjoignant à se rendre à un rendez-vous le soir même. Lucas est persuadé que le destinataire de ce message ne peut être que son père mais il ignore que c'est l'aventure qu'il va trouver au bout du chemin.

Dès les premières lignes je me suis sentie embarquée par l'écriture de Jean-Luc Marcastel, résolument visuelle et fluide. J'ai trouvé le début prometteur et je me sentais excitée comme une puce à l'idée de découvrir le fameux Tellucidar, un univers situé dans les entrailles de la Terre où vit, respire et prospère une nation entière accompagnée de créatures fabuleuses, le tout proposant un joyeux mélange de civilisation précolombiennes, mayas, j'en passe et des meilleures. On sent bien entendu l'influence qu'a pu exercer Jules Vernes sur une telle histoire mais je vous rassure tout de suite, pas de descriptions à n'en plus finir dans ce livre. Au contraire, l'histoire se lit très vite d'autant qu'elle est ponctuée d'illustrations crayonnées à chaque chapitres qui viennent égayer la lecture et procurent un sentiment très plaisant.

Concernant les personnages, j'ai trouvé Lucas, le héros, assez attachant. Il souffre beaucoup de l'absence de son père en dépit du fait qu'il s'entende très bien avec son oncle chez qui il vit. J'ai trouvé ce grand gaillard très courageux et apte à affronter les chamboulements qui arrivent coups sur coups dans son existence. Impossible pour moi d'évoquer les personnages sans vous parler de Koré et de Kahaan, deux "échantillons" en provenance directe de Tellucidar. Korè c'est la jeune fille mystérieuse, exotique, sexy et puissante qui en a bavé et Kahaan c'est un Cohuatli, une sorte de dinosaure (mais attention car sous ses dehors de majordome coincé, Kahaan est très chatouilleux avec cette terminologie).

Alors, concrètement, qu'est-ce que j'ai pensé de cette histoire? Je l'ai bien aimé c'est indéniable mais ce qui est également certain, c'est que j'en attendais bien plus. J'ai trouvé que ce livre s'apparentait plus à un préquel qu'à un tome 1 car il est trop introductif et ponctué de quelques longueurs. Je comprends tout à fait que l'auteur ait besoin de nous planter son décor, nous expliquer les tenants et aboutissants de certaines choses au profit de la suite, mais mon intérêt qui était très élevé au début du livre a rapidement décru lorsque j'ai compris que je n'obtiendrai pas ce que j'attendais avant le tome 2. J'ai également trouvé curieux le fait d'avoir un prologue en début de livre et pas d'épilogue à la fin.

Pour autant, Tellucidar me semble être une série qui possède un bon potentiel, j'ai bien apprécié les personnages qui nous sont présentés et de manière générale, la dynamique du groupe. J'attends donc de voir ce que peut donner un second tome afin de me prononcer en connaissance de cause.
Les lectures enchantées d'Elyza

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je ne suis pas fan de ce premier tome, cependant, je pense que la suite peut être intéressante, je la lirai donc pour pouvoir ainsi me prononcer!

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