Huitième tome de la série.
Zéro va lutter cette fois contre un bateau-arme super sophistiqué à la demande du président.
La mission n'est presque plus désormais qu'un prétexte pouvoir sortir un nouveau tome. On est loin des débuts tonitruants où chaque page vomissait d'action d'hémoglobine et de testostérone.
Le concept désormais éprouvé de Zéro contre le reste du monde, désavoué systématiquement par son pays, bravant les ordres, les interdits et les bâtons dans les roues des différentes administrations finit par agacer sérieusement.
La vie privé de Zéro, ses amours, ses filles et ses problèmes de mémoires prennent de plus en plus de place et d'importance et ce fil rouge entre les différents tomes est maintenant la seule raison pour continuer la série…
En plus maintenant, je suis incapable de différencier les missions de Zéro de celle de Stone (l'autre série de Mars) – ce qui prouve que c'est vraiment du consommable.
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Il avait une arme, un petit Walther PPK argenté avec un canon trois pouces et une capacité de six coups. Beaucoup croyaient que la série PP signifiait « Pistolet de Poche » car ces armes se dissimulaient facilement mais, en réalité, ces initiales correspondaient à Polizeipistole – littéralement, « pistolet de police » - ce qui était rendu d’autant plus amusant qu’il était actuellement dissimulé dans la poche droite de sa veste.
La paix ? La paix ne durait jamais que jusqu’à la guerre suivante.