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sur 3290 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Bienvenue à la Datcha

Je ne savais rien de ce livre avant de le commencer juste son titre.
Je n'ai rien voulu lire.
Je voulais ouvrir ce nouveau roman et laisser Agnès me conter son histoire.

C'est étrange, car je n'ai jamais rencontré l'auteure ; (c'est un rêve, même si je ne sais pas si je pourrais aligner 2 mots
intelligibles), mais j'ai immédiatement entendu sa voix quand j'ai lu la première page.

Une voix que j'ai imaginée depuis 2013.
Une voix que j'ai toujours écoutée même quand j'adhérais moins à ce qu'elle avait à me raconter.
Ici, à la Datcha, je me suis laissée totalement porter par sa voix.
Je l'ai laissée m'emmener visiter la datcha et ses propriétaires.

Je ne peux pas expliquer ce lien que j'ai avec ses livres, je ne cherche même pas à l'expliquer, mais tous me parlent.
Tous touchent de près ou de loin à quelque chose que j'ai vécu, que j'ai connu.
Agnès Martin-Lugand a touché une fois de plus à une blessure, à une faille pourtant bien cachée de mon enfance.
Ses livres, certains plus que d'autres sont comme écrits pour moi.
Ce n'est pas la seule auteure à avoir ce pouvoir sur moi. (Tu verras tout bientôt de qui d'autres je parle)

Revenons au livre, on va suivre Hermine. L'héroïne de ce livre. On lit son arrivée à la datcha lors du 1er chapitre puis on bascule 20 ans plus tard.
Tu restes un bon moment dans le même flou, dans la même inquiétude, dans la même incertitude qu'Hermine concernant son avenir et celui des personnes chères à son coeur.
Les réponses aux questions pourraient ébranler toute sa vie.
Son stress, sa tristesse je les ai pris de plein fouet.

Évidemment, je ne te dirai pas de quoi il s'agit ni même ce qu'est la datcha à part un lieu.

« Doucha moya »

Je peux juste te dire qu'il est question de deuil, de liens plus forts que ceux du sang, de la peur de l'abandon, d'amour parental, des coups très durs de la vie.
De la signification d'un foyer quand on a pour toute possession qu'un sac à dos. de chanson tsigane, d'enfants et de personnes âgées
Du temps qui passe trop vite ; sans qu'on ait eu le temps de se préparer, de volonté et d'amour à toute épreuve.
De loyauté. de vivre pleinement ses émotions et ses ressentis pour ne pas se laisser ronger par les remords, les regrets ou de la négativité. Il parle aussi de main tendue et du destin qui te remet des clés entre tes mains.
Il te parle des racines celles ancrées profondément et celles qui peine à pousser par peur de se retrouver arrachées.
Les racines que l'on crée et celles que l'on a toujours eues, mais qu'on a étendues à d'autres.
Les racines que tu déploies au fil du temps.
Les racines de la datcha si tu décides de lire ce livre

Agnès Martin-Lugand laisse planer le suspens, elle entretient le mystère autour de son héroïne.
Elle te parle de l'amour qui fait du bien, qui soigne, qui répare et qui fait grandir.
L'amour qui blesse et l'amour qui se tait pour protéger.
L'amour qu'on comprend sans les mots et celui qui se dit chaque jour.
Celui qui fait peur, car il s'approche dangereusement du mur érigé et celui qui fait exploser les murailles dressées.

Quand j'ai ouvert la Datcha ; le temps s'est arrêté.
Rien n'aurait pu me déconcentrer, grâce au talent incroyable de conteuse de l'auteure, je me suis laissée porter hors du temps ; me laissant bercer par les mots d'Hermine, la gamine.

Ce livre a parlé à la petite fille qui est en moi, à l'adolescente, à la femme et à la mère, à la gamine ; ce livre a posé un regard bienveillant sur chacune d'elle et l'a apaisée.
Ce roman lui a susurré que tout ira bien, j'ai fermé la dernière page, j'ai serré le livre contre mon coeur et enfin les yeux mouillés, j'ai relevé la tête.

Je lève la tête, je vois Macha toujours élégante dans sa robe bleu — marine, un chignon bas, son port de tête altier.
Elle lève le bras, elle me fait signe et me signifie par là que ce n'est pas un au revoir.
Qu'elle restera auprès de moi !
Je la vois à bord de sa Méhari, les mèches folles au vent de sa voiture décapotée sillonnant ces routes qu'elle connaît par coeur.
Je vois sur l'allée de platane Hermine me sourire depuis le perron de la datcha.
Je tourne la tête et je vois le moulin, les cyprès et les oliviers. Les vignes et les champs à perte de vue.
J'observe au nord, le Ventoux et les monts du Vaucluse ; au sud le Luberon.

« Va, Goloubka, va. »

En faisant ce geste de fermer le livre, car je viens de terminer le récit, je ressens ce sentiment, une fois plus, d'être orpheline, qu'on m'enlève une part de moi, une part d'eux.
Qu'une part de moi est restée auprès d'eux, mais je sais aussi que je les reverrai comme je revois souvent Diane, Reine, Hortense ; Véra ; Iris ; Yael et Ava ; toutes sont là ; surtout Diane et Reine que je n'ai jamais vraiment réussi à oublier. Hermine et Macha viennent de les rejoindre.

J'ai tant aimé la sérénité des lieux, j'ai été apaisée par ses murs et ses micocouliers, la balancelle de Mâcha et ses lauriers.
J'écoute Jo fredonner « la belle vie », Macha parle au téléphone en russe, j'entends le rire tonitruant de Gaby. Je perçois la timidité de Charly et ses ravioles que je rêve de goûter dans sa cuisine avec Jo et la gamine.

J'ai levé la tête vers le soleil, je n'étais plus chez moi, mais là-bas.
J'ai offert mon visage au ciel, regardé vers la cime des arbres, ces micocouliers de Provence.
J'ai senti le soleil sur ma peau.
J'ai enregistré chaque détail de chaque pierre avant de dire au revoir, car ce n'est pas un adieu à la datcha.
Le village de Goult, les murs de la datcha, sa bibliothèque, sa terrasse, ces terres de Provence sont imprégnés en moi.
Je sais que la Datcha sera là pour m'accueillir quand j'en aurai besoin comme Reine se tient toujours sur les remparts de Saint Malo m'attendant un jour, comme Diane est assise et m'attend pour boire ce café depuis tant d'années.

Je te confie les clés de la Datcha à toi qui me lis et qui ne connais pas encore ce livre.
Je te fais confiance ; tu sauras prendre soin de ce roman et de ces personnages.

Je t'écris cet avis avec mon émotion, mon coeur, mon âme et mes larmes.
Je te donne ces mots ; tu en feras ce que tu veux.

Lien : https://unesourisetdeslivres..
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❤ Coup de coeur ❤

Ma chronique en vidéo : https://youtu.be/6NZ1Jx48stc

Ce dernier roman d' Agnès Martin-Lugand est un nouveau coup de coeur pour moi. C'est presqu'une habitude avec chaque roman de cette auteure. Et pourtant, à chaque fois, je me dis que je vais examiner de plus près les mécanismes qui font que l'auteure parvient à rendre ses personnages attachants ainsi que ce qui est mis en place pour faire naître en moi des émotions intenses. Eh bien, c'est encore raté cette fois. L'auteure m'a touchée en plein coeur d'emblée et entraînée dans la tourmente que vivent ses personnages sans que je puisse en comprendre les ficelles.

Hermine, le personnage principal, est une jeune fille abîmée par les abandons qui ont émaillé son parcours de vie. Elle a un petit air de sauvageonne lorsque Jo la rencontre. Il est un peu ours, mais elle n'a vraiment rien à perdre.

La datcha, qui donne son titre au livre, est l'endroit qu'Hermine va découvrir, dans lequel elle va s'investir, au risque de tout perdre. C'est un endroit qui a une âme et dont j'ai l'impression d'avoir l'image dans la tête. J'ai l'impression de voir briller la veilleuse allumée chaque soir dans le hall…

Comme dans ses précédents romans, l'auteure crée des personnages tous plus attachants les uns que les autres et pourtant si différents (Macha, Jo, Charly…) .

Macha est d'origine russe. Elle est particulièrement bienveillante et donne des petits noms affectueux en langue russe. En tant que lectrice, je me suis sentie comme personnellement dorlotée par cette femme sublime.

Vous pensez sans doute que j'ai dévoré ce livre en une après-midi. Eh bien non, j'ai voulu passer plusieurs soirées en compagnie d'Hermine… Et vous savez, si Agnès Martin-Lugand me lisait ou voyait la vidéo que j'ai consacrée à ce livre, eh bien, je lui suggérerais d'écrire un roman sur les 21 premières années de la vie d'Hermine, dont on sait finalement très peu de choses !
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Comme tous les ans à cette époque, j'attends avec impatience le dernier roman d'Agnès Martin-Lugand, autrice découverte durant la rédaction de mon mémoire de master de musicologie, il y a quelques années. Si c'était donc sûr que j'allais lire ce roman, il m'interpellait d'autant plus par son titre: la Datcha. Depuis mon arrivée dans mon Grand Est, je prends des cours de russe (j'ai toujours voulu apprendre cette langue qui me fascine, et des cours étaient donnés à deux pas de chez moi). C'est donc ma troisième année. Cela m'a rappelé ce cours où nous avions étudié un texte qui parlait justement d'une дача, cette résidence secondaire paisible. J'ai ouvert la porte de cette Datcha provençale, pas comme les autres…

Hermine, qui déteste son prénom, a eu une enfance compliquée, sans repère. Sortie d'un foyer, elle fait la rencontre de Jo. Sans savoir pourquoi, jeune adulte, elle le suit. Très vite, elle prend ses repères dans cette nouvelle demeure, un hôtel provençal, qui est maintenant aussi la sienne, auprès de Macha et de Jo, ses parents adoptifs. Les années ont passé, et vingt ans plus tard, Jo tire sa révérence. Macha n'a plus le goût de vivre sans son mari. Comment Hermine va-t-elle rebondir ? Qu'adviendra-t-il de la Datcha, désormais sa seule maison ?

Comme pour tous les romans de cette autrice, le lecteur s'imagine de façon détaillée les lieux, les personnages. Impossible de ne pas vous figurer la Datcha, ses multiples lumières les soirs de fête, la bibliothèque, les passages secrets, le Moulin. On vit dans l'ombre, aux côtés des personnages, comme un caméraman qui filmerait en direct ce livre. Une histoire de famille, où les repères de toute une vie sont mis à mal. Des départs, des adieux, des retrouvailles : une illustration d'une tranche de vie. La Datcha est bien plus qu'un simple hôtel: elle est l'écrin de tous les secrets d'Hermine. A nous de prendre les clés de notre Datcha et d'y voir le reflet de notre vie…
Lien : https://hipelos.home.blog/
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Quand les vacances approchent, on cherche naturellement un endroit féerique pour oublier les tracas du quotidien . Lâcher prise pour se reconnecter en famille , en couple ou seul , au soleil . Par l'ajout d'un accueil chaleureux , la clientèle se fidélise . Elle prend plaisir à passer des moments inoubliables et conviviaux . Ce lieu magique qui respire le bien-être si vous cherchez des instants de bonheur se trouve dans le nouveau roman d'Agnès Martin-Lugand paru aux éditions Michel Lafon s'intitule “La Datcha “.

Auteure à succès , Agnès Martin-Lugand attise toujours mon attention sur ces romans . Elle se déploie à nous faire passer un agréable moment de lecture tout en intégrant des thématiques sensibles comme la mort , le deuil , la séparation du couple , entre autres . Ce nouvel ouvrage faisait partie de ma Whishlist , il me tardait de vous en parler .

Depuis sa naissance , Hermine ne connait pas l'amour . Avec une mère indifférente à son appel , elle erre dans les rues . En quête d'un emploi , Hermine est plongée dans la tourmente du lendemain. le hasard a voulu qu'elle rencontre un homme au nom de Jo qui lui propose un travail dans son hôtel à la campagne. Elle se retrouve ainsi à travailler pour lui et sa femme Macha . A 21 ans , Hermine est une jeune fille usée par la douleur . Il est difficile d'obtenir sa confiance et pourtant …

La bonté et la bienveillance transforment bien des coeurs endurcis par l'existence. Jo et Marcha en sont la preuve de la transformation d'Hermine devenue femme, épouse, mère, vingt ans plus tard. Leur amour envers elle a produit un miracle. La vie est belle sous tout rapport malgré sa séparation avec Samuel . Hermine en quête identitaire trouve son indépendance chez ce couple .

La Datcha “ nous apporte des moments de souffrances face à la perte d'un être cher , des instants de réflexions face à cette violente rupture . C'est intense et authentique . le décès soudain de Jo va bouleverser ce lieu apaisant qui respirait la joie. Ce départ est une torture pour tout le monde révélant bien des secrets enfouis . L'écrivaine nous donne accès à des confidences troublantes tout en gardant un peu de mystère . A croire que tous les personnages vivaient dans une bulle de bonheur sans se soucier du vécu de l'autre antérieurement. Tout était soigneusement rangé dans le coeur de chacun . La discrétion était le compagnon de tous les habitants de ce coin magnifique aussi complices soient-ils . On se sent habité par une énigme à déceler durant cette lecture .

Agnès Martin-Lugand puise d'une plume magistrale pour nous sensibiliser sur son roman qui est également synonyme de douceur , d'indulgence , et de pardon . Un véritable tsunami d'émotions vous attend dans “la Datcha” qui se livre à coeur ouvert doucement , ouvrant une porte vers la réconciliation et la paix intérieure.
Lien : http://chroniqueuse6.canalbl..
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J'ai mis un peu de temps à entrer dedans, jusque l'arrivée de Vassily, je ne trouvais pas ça hyper passionnant, disons qu'on avait compris l'attachement d'Hermine à La datcha et je trouvais qu'il y avait pas mal de répétitions. Mais ensuite l'histoire démarre , il y a un secret que l'on veut connaitre et j'ai commencé à vraiment apprécié ma lecture avec la petite tension entre Vassily et Hermine. Et j'avoue que lorsque le fin mot de l'histoire arrive, je l'avais pas vu venir. J'ai trouvé ça plutôt touchant, plus compréhensible aussi. Une jolie histoire ! Après il y a des choses qui me paraissent un peu rapide mais bon je me suis laissée emportée et c'était chouette. la petite larme n'était pas loin.

Challenge Coeur d'artichaud 2022
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Dans ce nouveau roman d'Agnès Martin-Lugand, nous allons rencontrer Hermine, une jeune femme torturée par la vie, qui au détour d'un café va voir sa vie changer. Elle va intégrer la famille de la Datcha. La Datcha c'est un havre de paix, un air de vacances, c'est entendre les rires des enfants et les confidences des adultes. La Datcha, c'est plus qu'un hôtel, c'est une âme.
Ce roman est une grosse claque. J'ai retrouvée la plume des débuts de l'autrice. J'ai retrouvée cette plume très douce, très humaine,qui vous transporte en quelques phrases. Cette plume qui m'a tant fait pleurer dans Les Gens Heureux Lisent et Boivent du Café.
Les personnages de la Datcha, sont incroyables, pleins d'espoir, de douceur, de rêves.
C'était une immersion totale, je me suis vu dans cet hôtel. Je pense pouvoir dire que c'est un énorme coup de coeur pour moi. J'ai pleurée autant que j'ai put sourire. J'ai ressenti les émotions des protagonistes à m'en donner mal au ventre.
Je voudrais connaître un jour un endroit comme la Datcha où flotte les airs de musiques Tziganes, les rires et l'odeur des ravioles.
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Que dire ? Il y'a des livres qui nous transportent, nous embarquent et nous touchent profondément. La Datcha en fait indubitablement partie.
C'est un roman qui parle des blessures du passé, de l'enfance, du deuil et de la reconstruction mais aussi de l'amour : celui qui blesse mais celui répare aussi.

Oui j'ai versé des larmes car les mots de Agnès-Martin-Lugand sont forts et intenses.

Macha, Jo, Hermine, Charly et tous les autres vous allez me manquer à jamais. J'ai eu l'impression en refermant l'ouvrage de laisser une partie de moi, d'être incomplète.
La Datcha tu m'as fait rêver, pleurer mais surtout espérer. Tu m'as fais voir qu'il y'avait toujours possibilité de se relever et de s'en sortir.

Je savais que j'aimais la plume de l'autrice et que le livre me plairait sans doute, mais à ce point je n'aurais même pas imaginé. Comment des paroles peuvent nous émouvoir autant? Nous parler ou nous toucher de la sorte ? Je n'en dirais pas d'avantage, de peur de trop en dire et ce livre mérite d'être découvert et lu à sa juste valeur.

La Datcha est un livre, un joyaux, lisez-le.
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Hermine est une jeune femme malmenée par la vie et qui au hasard de ses pas fait la rencontre d'un homme bon et généreux, tenancier d'un hôtel reconnu au milieu de la nature provençale. cette homme, Jo, lui donne sa chance et un foyer, La Datcha.
Ce lieu enchanteur va lui apporter la sérénité qui lui manque depuis tant d'années, lui offrira une famille, elle qui n'en a pas eu, des amis sincères et dévoués et un refuge.

La Datcha est un lieu enchanteur créé à partir d'un corps de ferme dont Jo a hérité, il en a fait un hôtel avec ses nombreux habitués grâce à son épouse Macha, ses cuisiniers hors pairs et tout le personnel qui met un point d'honneur à ce que cet endroit soit parfait.
Mais une tragédie vient bouleverser ce quotidien, la mort de Jo, qui entrainera le départ de Macha vers l'Asie auprès de leur fils Vassili. Vassili a quitté la Datcha au moment de l'arrivée d'Hermine, sa soeur, malade depuis des années, venait de mourir.
Un drame n'arrivant jamais seul, d'autres événements viendront bouleverser la vie des employés et celle d'Hermine en particulier.
Avec Agnès Martin-Lugand l'amour n'est jamais loin et l'on découvrira une histoire d'amour empêchée, des sauts dans le temps révélant des pans de l'histoire commune des personnages sur une vingtaine d'années. L'autrice nous montre également l'envers du décor d'un hôtel de ce type, les horaires et les multiples tâches, le mélange vie pro et perso.
je suis partie à la rencontre de ces personnages pittoresque, cette famille construite par des êtres tous un peu bousculés par les affres de la vie, un endroit magique où j'aurais aimé mettre les pieds à mon tour.
J'y ai passé un merveilleux moment, même si parfois la tristesse manquait de tout faire chavirer.
Lien : https://stemiloubooks.wordpr..
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Il est très dur pour moi de mettre des mots sur ce que je viens de ressentir à cette lecture de la Datcha.

Intense, intime, prenant, éreintant... C'est ardu de faire un choix pour décrire les sensations à la fin de ce roman d'Agnès Martin-Lugand.
L'atmosphère, l'histoire, les personnages, tout est fait pour qu'on se coule dans ce roman et qu'on ressente toutes les émotions possibles et imaginables.

Ce roman restera longtemps dans ma tête, dans mon coeur. Vassili, Hermine, Jo, Macha, Charly et tous les autres. Je me sentais "à la maison".
Un énorme coup de coeur pour ma part, que je vous recommande et vous laisse juger par vous-même.
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J'ai adoré ce livre: tous les personnages, Hermine, Vassily, Jo, Macha, les lieux - la datcha, la région - et l'histoire. Mon côté fleur bleue et romantique indécrottable sans doute à près de 63 ans, mais sans aucune honte. C'est un bonheur à lire, un grand bol d'air frais qui m'a fait énormément de bien.
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