Ce roman se lit plutôt bien mais malheureusement, son côté religieux moralisateur est assez agaçant. L'histoire me fait penser à une sorte de propagande un peu niaise. C'est désagréable.
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Le malade ne parlait plus. Seul, son regard vivait. Il fixait un infini que ni Jacques, ni Nanette, ni Clairval ne pouvaient saisir. Doucement, doucement, il entrait dans son éternité.
Les chiens lisent dans le regard de leur maître les pensées que la parole ne peut leur faire comprendre. Mic-Mac comprit... Baissant tristement la tête, il se mit à marcher sur les talons du prêtre. A dix pas, un lapin traversa la route, il ne le vit même pas.