Après la déception du
David Lodge sur
HG Wells ("
Un homme de tempérament") aussi lourd que bavard (mais lisez
HG Wells lui est de gauche et génial) coup de coeur pour "
La grande embrouille" de l'écrivain barcelonais
Eduardo Mendoza. Souvent "roman picaresque" rime avec penible à lire, ici la fantaisie s'allie à la légèreté, la fluidité et la finesse des notations. On est quelque part entre Montalban et
San Antonio. Je vais meme aller chercher ses précédents romans
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