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Citations sur Un sale hiver (23)

Tu devrais vraiment arrêter de bouffer des saucisses, Mc Cormack. Tu serais choqué d’apprendre tout ce qu’on fourre dedans. Ça détruit les cellules du cerveau. Mais j’y pense, elles ne te feront probablement aucun mal, après tout.
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- Tu n'es pas aussi dur que tu le laisse croire.
- Dur ? Moi ? Les seules choses dures sur moi, ce sont mes chaussettes et mes sous-vêtements.
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C'est au sujet de mon oncle , thomas Blake. Il a disparu il y a quelques années et ma famille a essayé de retrouver ses traces. Mon père - son frère - voudrait entrer en contact avec lui avant que.... bon , disons que mon père est très malade , monsieur Kane......
- Je suis désolé mademoiselle.
- Jemma. Appelez-moi Jemma , s'il vous plaît.
- Jemma..... répéta Karl, en sortant son sourire colgate.
- Je sais que vous devez être très occupé. Votre secrétaire m'a fermement indiqué qu'il fallait que je revienne une autre fois, mais j'ai vraiment besoin que l'on retrouve oncle Thomas , avant qu'il ne sois trop tard......Elle sortit un kleenex et se mit à se tamponner les yeux. Sa voix tremblante menaçait de s'éteindre complètement.
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Karl traversait une route de terre non banalisée , où un bâtiment aussi plat qu'informe sombrait dans une misère noire , infectée de la puanteur pourrie d'un gris sans espoir. Le Motel Royal fit Mécano , arrêtant sa voiture en faisant déraper les roues. Si vous avait besoin de quoi que ce soit pendant votre séjour dans notre charmante ville , passez-moi le mot. Tout le monde me connait. On m'appelle le Vert Noël.
- le Vert Noël ?
C'est mon surnom. Je vends un peu d'herbe , comme à-côté. Je peux vous en avoir dans les dix minutes , si vous voulez. Et je vous l'apporte directement dans votre chambre.
P 106
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Une lumière brillante, comme chauffée à blanc, s'insinuait dans sa tete, oblitérant sa vision et toute tentative de pensée . Il glissait vers cet état hypnotique ou le corps et l'esprit luttent pour distinguer le rêve et la réalité.
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Nous sommes tous condamnés à l'isolement à l'intérieur de nos propres peaux, pour la vie !

Tennessee Williams, (La descente d'Orphée)
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Les carcasses d'usines abandonnées dessinaient un arrière plan de briques grises, de bidonvilles désespérants. Des murs entiers d'ordures putrides tremblaient étrangement au ralenti sous l'effet des rats prêts à ronger tout ce qui se présentait. Un train abandonné exhibait ses wagons figés dans la rouille. Des montagnes de pneus usés serpentaient comme des anacondas attendant leurs proies.
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Les sots ne pardonnent pas et n'oublient pas. Les naïfs pardonnent et oublient. Les sages pardonnent mais n'oublient pas.

Thomas Szasz, (Le péché second)
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Il n'avait pas fini de fermer le tiroir qu'une femme extrêmement séduisante se pointait a la porte vêtue d'un élégant manteau d'hiver et cramponnée à un grand sac à main en cuir.
P71
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j'ai mon bahut , garé là , à côté. Sautez dedans et je vous emmène , fit Mécano en laissant tomber ses cartes. Surveille le garage pendant mon absence , je ne serai pas long.
P105
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