AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,83

sur 2089 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Rendez-nous le Bernard Minier des débuts (glacé, le Cercle, N'éteins pas la lumière...), celui qui construisait patiemment ses intrigues, travaillait ses personnages et soignait son écriture, au lieu de la pâle copie qui publie désormais, au rythme frénétique d'un par printemps, des romans paresseux et bâclés. Un esprit moins candide que le nôtre pourrait voir dans cette évolution le signe que l'ambition littéraire a cédé le pas, aux yeux de notre auteur et de son éditeur, à des objectifs moins avouables.

Ce nouveau roman part pourtant sur des chapeaux de roue. Les premiers chapitres sont intenses et rythmés, et suscitent une curiosité certaine. Mais l'enquête ne décolle jamais vraiment, faute de véritable mystère à éclaircir. Chose étonnante pour un roman policier, l'incertitude concernant l'identité des coupables, leurs motivations et leur mode opératoire, est levée rapidement. Dès lors, aucune surprise ne vient agrémenter le train-train inexorable de l'enquête qui défile sous nos yeux, que nous avons d'ailleurs de plus en plus de mal à garder ouverts. Servaz et son équipe, eux-mêmes loin de leur meilleure forme, ont laissé à la police scientifique le soin de faire avancer leur laborieuse enquête. Nous sommes peut-être en présence d'un plaidoyer subtil pour le remplacement des effectifs de police judiciaire par l'intelligence artificielle.

Un problème de taille se pose cependant : comment remplir 472 pages avec une intrigue si maigre ? Réponse : avec des considérations sociales, sociétales, politiques. Des musulmans fondamentalistes qui accusent la France et sa police de racisme systémique. Des enseignants blancs et d'extrême gauche qui les encouragent. Des enseignants immigrés qui s'y opposent, et traitent leurs élèves avec ambition et exigence. Des militaires et des policiers qui accusent la justice, par son laxisme, d'être responsable de la déchéance du pays. La mention toutes les trois pages d'un masque porté par un personnage, pour bien nous rappeler que l'intrigue se passe au temps du covid. Des étalages de faits divers réels (violences, attentats, agressions contre des policiers) sans rapport avec l'intrigue, sans doute pour tenter d'instaurer un "climat". Ce projet est pourtant mené avec trop de paresse et de complaisance pour ne pas échouer totalement, faute d'une véritable dialectique entre l'enquête policière et cette toile de fonds. La subtilité n'est, de sucroît pas de mise : les personnages récitent leur catéchisme (indigéniste, zemmouriste, anticapitaliste...) dès que l'occasion leur est fournie, et même, la plupart du temps, sans qu'aucune occasion ne leur soit fournie.

J'ai donc refermé ce livre avec soulagement, et aussi la sensation peu agréable d'avoir été le pigeon de cette Chasse, en déboursant 13 euros pour un objet qui ressemble à une nouvelle policière entrecoupée de coupures de presse du Figaro et de Libé. Je me tiendrai désormais loin des balles, en espérant que ma prière initiale soit exaucée et que Bernard Minier revienne un jour à l'exigence de ses débuts.
Commenter  J’apprécie          14425
Je n'ai pas accroché à ce polar qui multiplie les clichés, dans une histoire sans mystère à résoudre, sans beaucoup de suspense ni coups de théâtre étant donné qu'on saisi rapidement de quoi et de qui il est question. L'enquête manque beaucoup de profondeur et les personnages ne sont pas attachants, mais ce n'est pas le problème de Bernard Minier, puisque ce nouveau roman policier lui sert de prétexte pour surfer sur des sujets d'actualité et de société qui ne servent que très peu l'intrigue. Covid, violence, police xénophobe, incidents en banlieue et trafic de drogue, extrême droite, difficultés de la justice....Trop c'est trop, la lecture devient anxiogène et ennuyeuse. L'auteur à trouvé une tribune pour imposer son point de vue, mais ce n'est pas assez nuancé. Il perd à mon sens en intérêt et en qualité, et c'est dommage.
Commenter  J’apprécie          90
Quand j'ai besoin ou envie d'en savoir plus au sujet d'un fait de société, d'un événement particulier ou d'une émeute de quartier, je lis un article dans un quotidien ou un hebdomadaire. Si je veux creuser un peu, j'achète un essai ou je fouille sur internet. Quand j'ai envie de suivre une enquête policière ou de chercher un coupable dans une fiction, je lis un polar. Mais, quand un écrivain de polar mélange les deux et sort ainsi de son domaine de prédilection, je trouve ça souvent raté et parfois même présomptueux.
C'est exactement ce que je ressens aujourd'hui en lisant La chasse et que j'avais également peu apprécié dans le dernier Norek. Ou alors, il faudrait que ce soit bien fait, pertinent, comme quelques rares écrivains de polar américains savent le faire, mais c'est toujours discret et pas grossier. 468 pages d'amalgame, c'est beaucoup, d'autant que cette fois encore Bernard Minier déçoit. On est bien loin de glacé qui était une réussite ou de la vallée qui semblait plus travaillé que les précédents. Ici, on tourne en rond, on attend qu'il se passe quelque chose et finalement, entre deux réflexions philosophiques sur le mal jetées là comme un cheveu sur la soupe et après de nombreuses maladresses narratives, on peut vraiment se dire que c'est un polar qui aurait mérité de ne pas être lu.
Commenter  J’apprécie          80
Les mecs des banlieues sont des victimes du système
Personne ne les aides
Les flics sont racistes et corrompus
Les militaires, tous des fachos
Alors là Minier, vous avez écrit un article, un peu long à mon goût, mais qui serait bien dans Libé.
Vous tapez un poil sur les racailles des cités mais pas trop pour que les bobos ne s'offusquent pas , la victime c'est Moussa un brave type et la pourriture ce sont ces policiers et militaires, patriotes, quelle horreur à votre goût, qui aiment leur pays.
C'est bon Minier, vous êtes adhérent d'honneur de la France Insoumise
Commenter  J’apprécie          40
Étonnant ou volonté de faire vite tout en collant à la réalité ces trop longs développement sur la sociologie actuelle. Tout y est, indigénisme, les salafs, le syndicat de la magistrature et encore le taulier carriériste...n'en jetez plus on dirait du Olivier MARCHAL . « « La drogue, c'est la « mère de toutes les batailles », mais on l'a déjà perdue : la plupart des violences urbaines sont liées au trafic, le blanchiment d'argent infecte l'économie réelle et bien des élus locaux rechignent à perturber cette économie souterraine parce que ce qu'ils veulent avant tout, c'est le calme dans leur ville, ne pas attirer l'attention des médias »...sans blague !
« Vous êtes déjà passé en conseil de discipline deux fois. Je ne sais par quel miracle vous êtes encore chef de groupe» moi je sais grâce aux éditions XO
En revanche la comparaison entre la justice et la disparition des Vikings est bien enlevée.
Mais on en rajoute avec les pauvres délinquants n'ayant pas eu le choix parce qu'ils sont « parqués «  dans ces cités sans avenir. Ce cliché vient télescoper celui du général en deuxième section et non à la retraite qui dirige cette équipe de « justiciers « . Facile, école militaire préparatoire, Saint-Cyr, la Légion et le cynisme de l'après colonisation. N'en jetez plus. Si c'est un ancien tortionnaire en Afrique !! Après cette ficelle épaisse comme une liane de Tarzan on trouve une préfète, oui c'est l'air du temps, sur une scène de crime ce n'est pas banal mais en uniforme cela devient de la science fiction. A moins que ce soit le matin d'une cérémonie ou lors des voyage officiel...et en plus elle dirige une réunion sur une enquête judiciaire, les magistrats n'ont qu'à bien se tenir.
« Ils étaient chaque jour plus nombreux à souhaiter le chaos, l'effondrement, pour ensuite, pensaient-ils, arracher par la force un pouvoir que les urnes leur refusaient obstinément, élection après élection ». Là on entre dans l'oeil du cyclone, la politique du niveau de France Inter, Bernard MINIER devrait arrêter de regarder les chaînes d'information en continue. J'ai trouvé c'est un roman écrit en une nuit de confinement !!
Je ne parlerai pas du final car on touche le fond...
après avoir tout lu de Bernard MINIER la déception est de taille avec dernier roman. J'espère que le dernier THILLIEZ, 1991 me fera oublié cet achat...
Commenter  J’apprécie          40
De Bernard Minier, j'avais beaucoup aimé La vallée, précédent roman de l'auteur, faisant partie de la série Servaz. J'ai tenté de reprendre l'intrigue dans le bon sens, en repartant du début avec glacé, roman qui ne m'a tellement pas convaincue que je l'ai abandonné. Persuadée que j'avais apprécié La vallée car plus moderne dans le style, je me suis procuré La chasse, et le bilan est très mitigé.
La chasse est un roman policier qui ravira les lecteurs amateurs du genre, mais pour ma part, j'apprécie le polar lorsqu'il sort des cases, tant au niveau de l'intrigue que des personnages. Force est de constater que je trouve les romans de Bernard Minier très classiques et donc, peu convaincants, en particulier celui-ci que j'ai lu jusqu'au bout pour la forme et en diagonale pour le dernier (long) quart, parce que 22€ quand même.
Comment est-on passé d'un enthousiasme certain après La vallée, à un avis négatif ?

Avec du recul, La vallée avait tous les arguments d'un premier roman : une ambiance que j'avais beaucoup appréciée, des personnages qui semblaient avoir des histoires plus complètes qu'il n'y paraissait, un cadre d'intrigue original, et ce petit quelque chose, sorte de potentiel, qui promettait une suite captivante. La vallée était mon premier roman de l'auteur, il était donc probablement normal que j'imagine une puissance allant crescendo puisque je n'avais aucun recul sur les personnages, l'intrigue et l'auteur. Mon erreur a été de confondre premier roman et première lecture, puisque La vallée n'est absolument pas un premier roman (et je le savais !), et compte tenu des passifs qui semblaient entourer les personnages, j'aurais même dû être perdue. Or, je ne l'ai pas été pour la simple et bonne raison qu'en réalité, les personnages ne sont pas du tout gratté. C'est avec La chasse que je m'en suis rendu compte, lorsque le flou autour des personnages s'est poursuivi, l'auteur se contentant, comme pour La vallée, de mentionner ses romans précédents dans les notes pour rappeler que les personnages avaient vécu des choses. Jamais, dans ces deux romans, leur histoire n'a été réellement étoffée. le fait que les personnages soient si peu fouillés dans ces deux romans-ci, ne me donne pas envie de découvrir le reste : si c'est ainsi que Bernard Minier construit ses personnages, je ne suis pas du tout emballée. Et ça, c'est un sacré problème lorsque pour un lecteur l'histoire des personnages compte autant que l'intrigue-même du roman.

Cette dernière aurait d'ailleurs pu rattraper le tout, or La chasse est, pour moi, atteint du syndrome du roman policier, ou plus communément appelé le “quand tu en as lu un, tu les as tous lus”. La chasse est un roman policier qui se lit les pieds en éventail, et jamais je ne me suis réellement sentie concernée ou impliquée dans l'enquête. La faute, sûrement, à la procédure et aux clichés du genre qui remplissent ce bouquin : les problèmes avec la hiérarchie ; les journalistes fouille-merde ; la femme flic qui est obligé de sortir du lot pour exister ; le coupable que l'on connaît très tôt ; les flics véreux ; le nouveau de l'équipe sorti premier de sa promotion dont on connaît le destin quasiment dès le départ puisqu'on met l'accent sur le fait que « oh bah, c'est bien bizarre que vous ayez choisi ce commissariat alors que vous aviez le choix ! », « oh bah, d'habitude, les bleus ne choisissent pas leur équipe ! » Mais celui-là, oui ! Quel suspense, brrr ; le schéma de résolution de l'enquête vu un milliard de fois ; les clins d'oeil (insupportables) aux copains auteurs ; les mobiles tirés par les cheveux, et je passe sur les personnages caricaturaux. Si le tout fonctionne dans l'ensemble, bah dans les faits ça sent le réchauffé.

Ce qui sent un peu moins le réchauffé, parce que je ne l'avais pas encore jamais croisé, Dieu merci, c'est le fait que l'auteur ait inclus la crise sanitaire actuelle dans son roman. Et comment vous dire ? Lui aurait-on reproché s'il ne l'avait pas inclus uniquement parce que l'intrigue se déroule en 2020 ? Étant donné son inutilité : clairement non. Je dois tout de même souligner que ne suis pas éprise des oeuvres qui incluent forcément la réalité à la fiction lorsque cette dernière n'est pas du tout le sujet, rebondissant sur celle-ci et parfois même, l'utilisant à mauvais escient ou pour racoler.
La plupart du temps, je lis pour m'évader, oublier certaines choses, et franchement, la Covid, je veux l'oublier et non pas retrouver ce contexte hyper anxiogène dans les romans. Mon métier me force à être en contact avec les gens depuis un an et demi, à respecter les gestes barrières (dont le port du masque parfois pendant 9 h), à être vigilante et surtout, à vivre au quotidien avec le virus qui circule potentiellement autour de moi et la peur de choper cette sale bête. Autant dire que retrouver des personnages masqués, replonger dans le confinement et dans le couvre-feu m'a franchement gonflée. Alors on pourrait croire que tout cela apporte quelque chose à l'intrigue et que l'auteur a construit son enquête dans ce contexte précisément, mais non. Ça n'apporte rien du tout : l'enquête n'a pas besoin du contexte sanitaire désastreux pour avancer, et j'ai tout simplement détesté ça pour la simple et bonne raison que la façon dont il est mentionné semble forcé et intégré à une intrigue qui n'en avait pas besoin.

Vous vous dîtes sûrement que je n'ai rien apprécié dans ce livre. C'est vrai, il y a très peu de choses que j'ai aimées dans ce livre : l'écriture tient la route, les dialogues sont sympas. Voilà. En réalité, je me suis ennuyée du début à la fin. C'est fait, refait, vu et revu, le roman tient la route, mais rien ne surprend vu qu'il ne fait aucune embardée. le tout est lisse, plat et trop facile : une ligne droite que l'on suit mollement et un peu blasé. Bernard Minier et moi allons nous séparer ici, comme quelques auteurs de policier/thriller français (les fameux copains mentionnés dans le roman en plus ^^) qui, définitivement, ne réussissent pas à me convaincre.
Lien : https://aufildelhistoire.com..
Commenter  J’apprécie          33
Dès que j'ai appris que Minier sortait un nouveau thriller, je me suis précipité en librairie pour aller le chercher ! Au premier abord, ce bouquin s'annonçait grandiose et c'est avec une joie mêlée à une curiosité irrépressible que je me suis plongé avec avidité dans les pages. de plus, je gardais un excellent souvenir des précédents romans qui sont, pour moi, grandioses ! Je pense à La Vallée, à Nuit et à tous les autres… Avant d'aller plus loin dans la rédaction de cette critique, laissez-moi vous faire un rapide résumé de l'oeuvre…
"Un cerf ! Un putain de cerf !", là est le cri de l'automobiliste avant d'écraser la pédale de frein dans cette nuit d'un noir d'encre. Trop tard ! le cerf a été percuté et gît sur le bas-côté. Un cerf ? Non… C'est un homme avec une tête de cerf qui agonise et qui est en train de rendre l'âme au bord de la route… Ni une ni deux, le commandant Servaz est débarqué sur les lieux et s'amorce alors l'enquête pour comprendre toute cette sombre histoire. Qui est l'homme mort ? Pourquoi a-t-il une tête d'animal posée sur la sienne ? Servaz ne va pas tardé à comprendre que cette affaire est loin d'être anodine et il va devoir plonger loin, très loin dans les méandres de la société actuelle pour pouvoir s'en sortir tout en préservant son couple qui menace de se disloquer suite à l'annonce de Léa qui souhaite partir pour faire un voyage humanitaire à l'autre bout du monde…
Très sincèrement, ce roman a été une déception énorme ! La couverture ( joliment travaillée et le résumé plutôt bien tourné) sont de simples artifices servant à attirer l'oeil et à susciter l'envie chez les lecteurs. le problème, c'est que le contenu est loin (mais vraiment très loin) d'être présent… En réalité, ce roman est davantage un ouvrage sur les dérives de la société qu'un bon thriller comme on les aime et ce à quoi Bernard Minier nous a habitué jusqu'ici… Pour je ne sais quelle raison, l'auteur a basculé dans un genre que je ne lui connaissais pas et dans lequel il est particulièrement mauvais. le pire, c'est que la lecture est longue et insupportable. Pour moi, l'histoire policière n'est qu'un prétexte d'écriture et elle n'est pas ou (très) peu travaillée ! Ce livre est quasiment politique et j'en veux pour preuve cette note de fin dans laquelle Minier précise que les avis donnés dans le livre ne sont pas les siens… C'est dire la dimension particulière de cet ouvrage ! En fait, il dresse un portrait de la société moderne (ce qu'un écrivain peut et doit faire, même dans les polars) mais il le fait d'une telle manière que l'intrigue, Servaz et l'enquête passent au second plan. A la place, on a les violences policières, la montée du fanatisme religieux, le racisme dans la police, les difficultés pour les jeunes des cités à s'en sortir, etc. Bref, je ne recommande pas du tout La Chasse de Bernard Minier !
Je tiens à préciser que ce commentaire on ne peut plus négatif n'est que mon avis strictement personnel et que vous pouvez évidemment vous plonger dans cette lecture. Peut-être que vous l'apprécierez…
Commenter  J’apprécie          10
Je n'ai pas du tout apprécié la lecture de ce roman policier qui ressemble davantage à une histoire politique avec un léger suspense. L'auteur a choisi d'aborder de nombreux thèmes à travers son oeuvre, mais il perd ses lecteurs – en tout cas, je me suis sentie perdue et terminer ce roman a été laborieux, même si je l'ai fini en deux jours et demi. C'était compliqué, et à la fin, on peut vraiment se poser des questions sur la moralité des actions des tueurs. Même s'il ne faut pas se faire justice soi-même et éviter la violence envers autrui, ce livre amène à réfléchir à ces notions. Les personnages, qu'ils soient secondaires ou principaux, ne sont pas très intéressants. J'ai été soulagée quand j'ai tourné la dernière page, enfin libérée !

Le début avait pourtant bien commencé, et étant une grande amatrice de romans policiers sanglants, j'ai acheté ce livre pour cette raison (les 2-3 premières lignes de la première page m'avaient captivée). Cependant, progressivement, l'histoire devient longue et lente. Arrivée vers la 204ème page sur les 520, nous découvrons la conclusion : qui est responsable des meurtres, ainsi que le pourquoi du comment, et à ce moment-là, cela devient répétitif. L'auteur aborde des sujets politiques du genre "il n'est pas bien d'être opposé aux policiers car ils sont bienveillants", ou encore "il est mal de perpétuer des stéréotypes". Bien que je partage ces idéologies, à force de les répéter pour la 9876ème fois, cela devient réellement agaçant et j'ai eu envie d'arrêter ma lecture.
Commenter  J’apprécie          00
Un thriller(?) vraiment quelconque. ..on a vite fait de saisir le fond de l 'histoire ( pas très nouveau par ailleurs).Et on doit en prime supporter les avis de l 'auteur sur la pandémie, la délinquance, la police ,la politique, les médias , la crise .(et pourquoi pas la condition humaine).Bref du remplissage qui invite à sauter des pages.
Commenter  J’apprécie          00
Déçue par le manque d'intrigues, de recherche, un livre très simple sans suspense.
une perte de temps…Une histoire vraiment construite trop rapidement peut-être. J'ai été éblouie par les critiques journalistiques à la fin du roman, c'est réellement ce qui m'a poussé à l'achat et malheureusement le roman n'est pas à la hauteur de ces éloges.
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (5058) Voir plus



Quiz Voir plus

N'éteins pas la lumière

A quelle saison se déroule l'intrigue ?

Printemps
Eté
Automne
Hiver

10 questions
91 lecteurs ont répondu
Thème : N'éteins pas la lumière de Bernard MinierCréer un quiz sur ce livre

{* *}