Palmyre

Magnifique livre publié par RBA et écrit par les auteurs du Nationnal Géographique, que ce livre sur une province romaine multiculturel tant pas son art que par ses religions (juive, musulmane et chrétienne, un indcroyable destin d'empire éphénème sous la volonté d'une reine : Zénobie... la seconde épouse d'u roi, qui s'est imposée après l'assassinat de celui-ci.... Il s'agit des premiers temps chértiens, d'un peuple caravanier comme les Natabéens, ils doivent leur richesse au commerce, mais dont les cultes, qui ont donné trois des religions les plus répandues aujouurd'hui sont bien connue... Comme pour Pétra, vous avez de nombreuses reconstitutions des cites... et des des photos des lieux actuels... Si c'est surtout l'architecture qui est présente dans le livre... vous trouvez aussi la reine Zénobie, dont on se demande pourquoi on ne la voit pas plus sur nos écrans, tant elle a eut un destin hors norme... mais aussi il est question de leur écriture, des explorateurs qui ont redécouvert le site, et de statuaires, bref, une documentation très dense pour moins de cent pages et richement illustré, pour un prix modique de 5 euros chez votre marchand de journaux...

Nouvel ouvrage de la collection du national geographic centrée sur l'archéologie et dédiée à Palmyre, cité nabatéenne.
L'ouvrage permet de faire une visite du site au travers du temple de Bel, du sanctuaire et de la cella, de l'arc monumental, de la grande colonnade, du temple de Nabu, du théâtre, du tétrapyle, de l'agora et du temple de Baalshamin. Un petit détour est également fait par la vallée des tombeaux avec la tour d'Elahbel.
Comme toujours, l'ouvrage est très clair, bien illustré au travers de photos (avant et après les destructions de DAESH pour certaines) et les reconstitutions en images de synthèses sont toujours hyper intéressantes.
Des développements complémentaires portent sur ls musée du site, les voyageurs et la renaissance du site, le commerce caravanier et l'art funéraire. Bien entendue, la personnalité de Zénobie est également abordée.
Cela donne envie de vivre à Palmyre au temps de son apogée !