Bon. C'est un abandon en page 101. J'ai retrouvé dans ce texte tout ce que j'ai détesté dans l'
Adolphe de
Benjamin Constant ou dans
Les souffrances du jeune Werther de
Johann Goethe. L'autoapitoiement ne m'émeut pas et, pire, m'agace. Et ici, l'obstination amère d'Octave à faire souffrir pour se venger d'une ancienne maîtresse me hérisse le poil. Mes lunettes féministes me font sans aucun doute projeter sur ce texte une interprétation anachronique, mais ce que je vois, c'est un personnage toxique, dont la fragile virilité blessée devient la justification aux pires comportements. Non, décidément, aucune compassion et aucune patience, même en replaçant le roman dans son contexte. de toute façon, le romantisme n'a jamais été ma tasse de thé littéraire... Et je n'aime pas beaucoup plus les textes de
George Sand. Donc la vraie question : pourquoi m'entêté-je à lire ces iques-là ? Il y en a bien d'autres qui me plairont davantage !
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