L'homme du Grand Hôtel

Un auteur couronné de succès, un apprenti écrivain miné par les échecs : les deux hommes ignorent tout l'un de l'autre. Pourtant, leurs destins sont inexorablement liés et leurs routes ne tarderont pas à se croiser. Pour le meilleur, et surtout pour le pire.

Après avoir apprécié les 3 derniers romans de Valentin Musso, cette lecture a été une déception.

Sans doute pour les raisons suivantes :
- je suis un peu lassée des romans où l'histoire tourne autour d'écrivains, ici en manque d'inspiration.
- je l'ai lu sur plusieurs semaines en ebook et finalement j'ai très peu utilisé ma liseuse en juin et juillet. Sa lecture s'est donc étirée sur une trop longue période je pense pour pouvoir peut-être l'apprécier à sa juste valeur.
- j'ai trouvé l'intrigue trop longue à démarrer et clairement ça manque d'action.
- je n'ai ressenti aucune empathie pour les deux personnages qui sont pourtant tourmentés.

Je me suis donc ennuyée et je reprenais chaque soir cette lecture sans entrain…

Par contre je reconnais que la construction de l'intrigue est originale mais le twist final manque de panache. J'avais deviné une partie et je ne l'ai pas trouvé extraordinaire.

Bref c'est un rendez-vous manqué, je suis passée à côté de l'histoire. Peut-être que comme je l'écris au départ les conditions n'étaient pas réunies pour en faire une bonne lecture. Je vous encourage bien sûr à vous faire votre propre avis.

Un roman façon thriller qui, il faut bien le reconnaître, ne laissera pas un grand souvenir dans le genre.
L'écriture est fluide, mais un peu fade à mon goût.
L'effet de surprise que l'auteur prépare pour la fin se dessine à parti du dernier tiers et si surprise il y a, elle est assez limitée car l'idée n'est pas totalement neuve.
Le roman de Valentin Russo restera malgré tout une lecture agréable pour l'été si l'on n'en attend pas davantage qu'un thriller divertissant qui se lit sans déplaisir mais sans passion non plus.
Merci à Babelio et aux éditions du Seuil pour l'envoi de ce roman dans le cadre de la masse critique privilégiée !

Ce roman se lit très bien, l'écriture est fluide et on suit les deux histoires racontées en parallèle, celle de Randall Hamilton, écrivain mondialement reconnu et celle de Andy Marzano, jeune écrivain miné par ses échecs. Mais je suis un peu déçue car j'ai lu les précédents livres de cet auteur et j'attendais, comme pour les autres, le suspense et le rythme des thrillers qu'il a pu écrire et que j'ai beaucoup aimé. J'espère que le prochain livre sera de nouveau dans cette veine.

Ce fût malheureusement pour moi un rendez-vous manqué. J'en suis très attristée car j'aime énormément ce que fait l'auteur. J'avais adoré « Une vraie famille » et « Qu'à jamais j'oublie » (que je vous conseille vivement d'ailleurs).

Même si la révélation finale est juste topissime et que je n'avais rien vu venir, j'ai trouvé l'intrigue très longue et sans grands rebondissements qui auraient donné pour moi du rythme au récit.

Les chapitres alternent entre l'histoire de Randall et l'histoire de Andy et vous vous imaginez bien qu'à un moment du récit, les deux histoires vont s'entremêler. le hic, c'est que pour moi, cela a mis trop de temps et que le reste du récit m'a semblé lent.

Je ne manquerai pas pour autant de lire le prochain roman de l'auteur et je vous laisse bien évidemment vous faire votre propre avis sur cette lecture.

Un roman qui se lit facilement avec deux histoires croisés au rythme bien établi et aux personnages attachants. Cependant, l'issue se devine trop vite et même sila fin est bonne, cela reste trop prévisible. Un bon moment tout de même, pour un auteur hapant ses lecteurs

J'ai lu en quelques heures ce roman, parfait pour ne penser à rien en cette veille de rentrée.
Et pourtant… quelle histoire tirée par les cheveux et absolument pas plausible. Les personnages ne m'ont pas séduite et j'ai trouvé le style de l'auteur lourdingue. Bref, un roman pour moi très oubliable.

Page Turner c'est sur. Lecture agréable. Même si j'ai bien mis 70 pages à être captivée par l'intrigue. Après j'ai vite compris le lien entre Andy et Randall. Je trouve la fin tirée par les cheveux. Personne ne ferait ça. Si on aime les jeux sur la temporalité je suggère plutôt les nymphéas noirs de Michel Bussi.

Randall Hamilton est un écrivain célèbre. Auteur de nombreux romans, lauréat de plusieurs prix, traduit dans plusieurs langues, connu à travers le monde… Partout où il passe, tout le monde sait qui il est.
Pas lui. Lorsqu'il se réveille dans une chambre d'hôtel, c'est avec peine qu'il se reconnaît dans le miroir. Il voit sur son ordinateur qu'il est en train d'écrire un roman mais il ne se souvient pas avoir écrit les mots. Qui est-il ? Que lui arrive-t-il ?

A Boston, Andy Marzano est veilleur de nuit et se rêve écrivain. Il consacre des heures à l'écriture. Sa vie sociale se résume à son meilleur ami et ses parents, qui ne sont pas ses premiers supporters. le premier lui fait la remarque que ses textes manquent de vécu. Andy n'arrive pas à faire vivre ses histoires parce qu'il ne les a jamais expérimentées. Il se lance alors le défi de vivre une histoire d'amour pour pouvoir en parler…

D'un côté, nous suivons Randall qui essaie de comprendre la situation. Pour tout le monde il est un écrivain à succès ; pour lui… Il n'en sait rien. Il ne se souvient de rien. Mais il doit essayer de se souvenir sans alerter son entourage et le personnel du Grand Hôtel.

Quant à Andy, nous allons le voir séduire Abigaël et démarrer sa première vraie relation amoureuse. le but étant d'écrire sur leur histoire, comment les choses vont-elles évoluer ?

Évidemment, les deux personnages de Randall et d'Andy vont se télescoper à un moment ou à un autre. La question étant de savoir d'abord comment ? Puis pourquoi ? Valentin Musso parvient à faire évoluer en alternance ses deux personnages en nous tenant en haleine, malgré quelques longueurs en deuxième partie du roman.

C'est la troisième fois que je lis Valentin Musso et sans dire que cette fois je suis déçue, je m'attendais néanmoins à mieux. Ce qui m'aura manqué, c'est cet ingrédient que Michel Bussi appelle le twist. Ce moment où tout ce qu'on avait lu prend un sens nouveau grâce à un élément qui vient tout changer. Ce twist est bien présent dans L'Homme du Grand Hôtel mais quand on a beaucoup, beaucoup lu de romans à suspense, on l'avait vu venir et l'effet de surprise n'y est pas.

Ce roman a cependant suffisamment de qualités pour m'avoir permis de passer un agréable moment de lecture. N'est-ce pas là le principal ?
Lien : https://lejardindenatiora.wo..

Je remercie les Editions Seuil et Babelio de m'avoir fait parvenir ce roman dans le cadre d'une Masse Critique.
Ayant lu tous les précédents romans de l'auteur, autant dire que recevoir ce dixième roman était un vrai plaisir.
Comme à chaque fois, Valentin Musso plante rapidement le décor : d'une part, Randall Hamilton se réveille dans sa chambre d'hôtel atteint d'amnésie et, d'autre part, Andy Marzano passe son temps libre à plancher sur l'écriture de ses romans. L'un flirte avec le succès, les remises de prix, demandes de dédicaces alors que le second peine à trouver un éditeur, n'arrive pas à vivre de sa passion et se retrouve face à une page blanche avant de rencontrer Abigaël. Quel lien relie ces deux personnages?
La tension est maîtrisée, le lecteur désire tourner les pages afin d'en savoir rapidement plus et comment cette histoire va se terminer mais, malheureusement, j'ai trouvé le style de ce roman bien en-dessous du style des neuf précédents, moins profond que d'habitude, plus terne et banal.
Pour une fois, donc, je ne ressors pas complètement convaincue d'un roman de Valentin Musso.
Lien : https://letempslibredenath.w..

�itation: « Au même moment, trois étages plus haut, dans un bureau des homicides et des violences aux personnes, l'inspecteur Bennett était aux prises avec son ordinateur, qui faisait encore des siennes. Excédé par une semaine de déboires informatiques, il en tapait rageusement l'écran et la tour, comme un gamin maltraitant un flipper et risquant à tout moment de se faire sanctionner par un tilt. »🧋

Je ne peux pas dire que j'ai apprécié la lecture, même si je peux reconnaître que j'ai été surprise par la fin.

Je l'ai trouvé long à démarrer, long à avancer et le plot ne m'a pas convaincu. Bien sûr je ne peux pas nier la qualité de l'écriture de Valentin Musso, mais pour moi c'est un flop. Je n'ai pas apprécié, je ne suis pas rentrée dans le livre.

J'ai essayé je me suis forcée à aller jusqu'au bout, mais sans grande conviction sans plaisir. Je l'ai lu pour le lire et le finir. Il n'y avait aucune émotion pour moi. Je l'ai trouvé plat, certes le thème n'est pas classique en soit il n'est pas révolutionnaire pour autant.

Je pense que ce n'est juste pas mon style de lecture et d'univers. Je ne doutes pas qu'il plaira et qu'il trouvera son public, mais je ne suis visiblement pas membre de son public.

Encore une fois, ça n'enlève rien au talent, au travail et aux recherches de l'auteur ce n'est simplement pas mon style et je n'ai pas accroché !

Je suis quand même contente d'avoir essayé c'est toujours bien de savoir ce qui nous convient et ne nous convient pas, donc ce n'est pas perdu ! 🎏