Parce que je t'aime

Quand on attend trop longtemps après la lecture pour faire la critique d'un roman de Musso, il se produit invariablement la chose suivante: c'était lequel ça déjà? Les titres et les histoires sont quasi interchangeables puisque Musso écrit toujours la même histoire d'amour banale et convenue, sans profondeur, sans originalité, sans idée qui dérange, bref sans intérêt! C'est fou que ses livres aient un tel succès alors que ces personnages et ces histoires sont stéréotypée à la limite de la caricature. En plus, c'est plutôt mal écrit et c'est difficile de croire que l'auteur n'améliore pas davantage son style et son vocabulaire à force d'écrire autant de pages. La seule chose que je concède à l'auteur, c'est qu'il a de la facilité à suivre une recette bien rodée qui doit plaire aux lecteurs routiniers.

Trois personnes au passé douloureux se rencontrent sur le vol Los Angeles-New York. Leur vie changera pour toujours. Voici une histoire d'amour (des histoires d'amours), de regrets, de haine, de remords. Musso nous montre de manière un peu caricaturale qu'on peut toujours changer de vie, lui donner un autre sens et recommencer à zéro.

C'est le premier roman que je lis de cet auteur et mon sentiment, une fois le livre fermé, est mitigé. le style est banal (ni poétique, ni particulier et empreint de lieux communs) mais il n'est pourtant pas si mauvais que je me l'étais imaginé en lisant les critiques sur certains blogs. Ensuite, la construction, faite de flash-back et d'histoires alternées, amène un certain suspens à cette histoire simple. Et, il faut bien le reconnaitre, la situation initiale étant intrigante, on est entrainé malgré tout, de page en page avec l'envie de connaitre le dénouement.

Hélas, les personnages sont lisses, leurs réactions convenues ; certains faits ne sont pas exploités comme ils auraient pu l'être et la fin est décevante. Bref, je ne suis pas devenue fan.

Cependant, après lecture, je comprends mieux ce qui plaît chez Musso. Certains peuvent se sentir concernés, se reconnaitre dans les personnages ou dans leurs réactions. Les bons sentiments ont la part belle et une morale – même caricaturale – vient ponctuer le récit. Il ne bouscule pas le lecteur, il lui donne à lire ce qu'il attend, l'entrainant dans un univers qui l'éloigne de ses préoccupations quotidiennes tout en le gardant dans un environnement connu, facile à appréhender. L'empathie joue à plein et le lecteur adhère au récit.

Musso restera Musso. A chaque livre on retrouve la principale trame, et on sait toujours comment ça va finir. On en lit un, deux puis trois et à la fin on à juste envie de poser le livre et de ne plus le toucher. A quand un peu d'originalité?

Bof...
Je ne comprend vraiment pas pourquoi ce livre a un tel succès... Les personnages sont plats et stéréotypés (la jolie, gentille et célèbre violoncelliste, la fille de milliardaire complètement droguée...), l'écriture n'est pas excellente et la fin peu inattendue (j'ai eu l'impression que l'auteur ne trouvait tout simplement plus d'autres solutions pour terminer son livre).

Toutefois, le suspense est bien présent (au moins au début) et une fois commencé, on a du mal à lâcher le livre...

A lire en cas de grand manque de lecture!

Je sais que je l'ai lu. Ca j'en suis sûre. Par contre, ce que je ne sais plus, c'est l'histoire. Trou noir. Je me souviens que je n'avais pas aimé, mais je ne me souviens pas de pourquoi, ni d'un détail de l'histoire. Soit ça veut dire que je me la joue Némo dans son bocal soit ça veut dire que l'histoire n'est pas digne d'intérêt pour mon cerveau. Adieu Musso ! Ca n'aura été qu'un coup d'un soir, alors de deux choses l'une : petit 1, t'as été médiocre, petit 2, j'avais une trop grosse gueule de bois.

J'ai cru un moment que j'allais aimer un livre de cet auteur mais en fait non.

Le début du livre m'a plu, mais plus j'ai avancé de la fin du livre plus les nouveaux éléments de l'histoire m'ont fait décrocher de celle-ci. J'ai le sentiment que pour une fois il y avait de la matière et de bonnes idées. Malheureusement, Musso comble son histoire de divers évènements sans réel consistance.

Du coup, le lecteur garde le sentiment de suivre un fil conducteur, en recevant au fil des pages quelques miettes d'explications souvent tirées par les cheveux.

D'ailleurs peut-on croire qu'un homme pardonne à une femme d'avoir accidentellement tué sa fille en voiture. Et surtout d'avoir gardé le secret pendant de longues années.

La réaction de Connor face à son drame me parait bien plus cohérente. Surtout qu'il semble que ce qui lui est arrivé trouve écho dans les diverses agressions que subissent les gens de nos jours.

Pour moi un livre doit nous faire voyager, vibrer au rythme des évènements que rencontrent les protagonistes, mais dans mes lectures de Musso, je ne trouve malheureusement aucun plaisir. Je ne comprends pas l'engouement dont il fait l'objet.

Il y a longtemps que je voulais lire un des livres de Musso. Certains considèrent qu'il s'agit de "romans de gare" sans valeur littéraire, quoique très populaires. Mais encore faut-il se faire une opinion par soi-même, avant de formuler un jugement...

D'abord, quelques mots sur l'histoire, centrée sur trois personnages, très durement frappés par les aléas de la vie: Mark, un psychothérapeute qui, sombrant après la disparition inexpliquée de sa petite fille, est devenu SDF ; Evie, une jeune fille en perdition au look "gothique" issue d'un milieu très modeste ; Alyson, une très riche héritière complètement "pourrie" qui ne peut s'empêcher de déclencher scandale sur scandale. Ces deux femmes portent un lourd fardeau qu'elles-mêmes méconnaissent d'abord et que le lecteur découvrira peu à peu. Les trois personnages, qui ne se connaissent pas, se rencontreront dans un "Airbus 380". En lisant le récit entrecoupé de flash-backs, nous découvrons tout leur parcours de vie, ainsi que celui de Connor, ami d'enfance de Mark et psychothérapeute devenu célèbre. Naturellement, je n'ai pas le droit d'en dire plus sur cette intrigue, si ce n'est que le dénouement m'a surpris.

Et maintenant, mon avis personnel. Ce livre se lit très facilement et il tient bien le lecteur en haleine. Mais j'ai des reproches à formuler. D'abord, les personnages sont stéréotypés, décrits sans nuances psychologiques, et ce qu'imagine Musso à leur propos est trop tiré par les cheveux. Leur vécu m'a paru souvent invraisemblable. Il y a une morale de l'histoire, elle est même double: « Quand on a souffert par la faute des autres, la vengeance personnelle n'est pas la solution; quand on a quelque chose à se reprocher, il ne faut pas s'autodétruire ». Qui ne souscrirait pas à ce credo ? Le problème, avec l'auteur, c'est qu'il martèle très lourdement cette leçon. Avant de conclure, j'ajoute que le style de Musso est efficace mais pauvre; son écriture me semble trop "téléphonée". Je n'aime pas forcément qu'un écrivain me prenne par la main d'une manière directive, en m'expliquant bien tout ce qu'il faut que je comprenne... Ceci étant écrit, je ne regrette pas d'avoir lu ce roman.

Les personnages sont plats et stéréotypés (la jolie, gentille et célèbre violoncelliste, la fille de milliardaire complètement droguée...), la fin ménage peu de surprises (j'ai eu l'impression que l'auteur ne trouvait tout simplement plus d'autres solutions pour terminer son livre).
Toutefois, le suspense est bien présent (au moins au début) et une fois commencé, on a du mal à lâcher le livre...
Je dirais que c'est un bon livre pour les vacances, vite lu et pas prise de tête.

Assez déçue par cette ouvrage. Ca part dans tous les sens et dans la mièvrerie. Et la fin reste insipide. Pas le meilleur Musso.

Peu convaincue par ce titre...
Des personnages trop lisses à mon goût, peu d'empathie pour eux, à part peut-être Evie, un récit un peu tiré par les cheveux, un dénouement pour le moins convenu... Bref, se lit vite mais laisse peu de traces.
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