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3,93

sur 6544 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Cette critique peut heurter la sensibilité de certains lecteurs.

Hier je faisais cette réflexion : combien de fois suis-je tomber amoureux ? Je veux dire réellement amoureux avec les papillons de mes deux qui se princessent les bouts d'ailes dans ton ventre tout bidon…

Bah une fois en fait, mais du coup je me suis rappelé cette fameuse année 1998, après ma seconde quatrième, après le désert d'un physique de jeune premier, qui m'autorisa certes quelques roulages de pelles, mais très espacés dans le temps et dans la frustration d'hormones en ébullition…

Je me souviens que lors de cette seconde quatrième j'ai rencontré pour la première fois celle qui allait devenir la mère de ma fille, aussi belle et bien fringuée qu'un mec aux cheveux longs et du coup on ne s'est jamais parlés… quelques années après elle deviendra ce papillon qui chatouillera ma libido d'un 95 G…

Donc l'année 1998 ce fut l'explosion de mon charisme de petit homme blond coiffé d'une paire de lunettes à la con qui me donnait un air pas franchement mouillant, mais il était grand temps de passer au tripotage de minettes… Ma première victime fut une petite rouquine au cul de fou furieux qui dans un excès de curiosité m'invita à déposer mes lèvres sur les siennes, et dans un élan de timidité et maladresse à glisser ma langue dans sa bouche…

Seulement voilà, lors de ma seconde quatrième, pas plus intéressé par la mère de ma fille que par les équations de x et y, nous débattions mes petits potes et moi de cette grande blondinette aux cheveux frisées, des yeux d'un bleu à vous coller la gaule en pleine récrée, des seins en avance sur leur âge, et un visage doux comme une princesse de Disney… Nos langues pendantes de jeunes puceaux, nous fantasmions sur cette nana belle comme bonne… Et puis rien elle était inaccessible, bien trop grande pour que je puisse tenter quoi ce soit de téméraire…

Oui mais en troisième, alors que je vivais ma première petit histoire sérieuse faite de bisous, de bisous, et encore de bisous, tu laisses tes doigts sur tes mains s'il te plait, et bien cette nana queue je désirais une année auparavant , copine avec la rouquine et d'autres futures victimes, me laissa entendre que je lui plaisais….

« Sans déconner sa mère… »

Allez hop la rouquine, tu dégages, et me voilà pour les vacances de février main dans la main avec cette nana d'une beauté bandesque me dépassant d'une tête sur les chemins d'une amourette d'ado… Bon elle était super timide, un truc de ouf mais elle me chatouillait non stop, le pied j'adore ça, mais je m'ennuyais devant nos longs silences de gênes et de jeunesse, du coup avec accord mutuel nous décidions de nous séparer en bon terme, et me revoilà avec la rouquine des premiers instants, nous retrouvailles étaient belles et sincères faites de bisous, de bisous et encore de bisous, tu laisses tes doigts sur tes mains…

La pauvre, je misais tout sur l'humour à cette époque, ma réputation de fumeur de chichons à la rigolade facile faisait de moi un gars incontournable dans la connerie : et un jour je me pointe au collège, et je dis à la rouquine que j'ai une surprise pour elle, devant tout le monde, elle était contente, du coup lorsqu'elle a vu la carotte que j'ai sorti de mon sac, et l'hilarité unanime des témoins peu scrupuleux sur la cruauté, bah elle a ri aussi, une bonne blague qui n'était absolument pas cruelle, parce que je l'aimais bien cette gonzesse même si je me serrais sa meilleure copine en même temps… qui était d'ailleurs ma meilleure pote de l'époque et la meuf de mon meilleur pote, bref, je pouvais glisser mes doigts, et ma langue…

Bon la rouquine a fini par me laisser tomber un peu avant la fin de l'année, j'étais déjà sur un autre coup, une belle petite nénette, du nom de Marion timide aussi, qui m'envoya bouler devant tous mes potes qui se foutaient de ma gueule…

Une semaine après je lui roulais des paloches dans le parc, en fait elle ne voulait pas sortir avec moi car elle partait en vacances, du coup elle a craqué, elle est partie et je l'ai trompé avec une magnifique brune qui me trompa à son tour pendant ses vacances…

Bien sur j'avais largué Marion avec courage par lettre, pendant ses vacances alors qu'elle m'écrivait des déclarations d'amour sans lui donner de raison particulière sur ma lâcheté… oui c'est le tout début des portables, genre le tout début tout début donc on s'écrivait des lettres avec des stylos et du papier, une enveloppe, un timbre, du parfum et tu patientais trois jours…

Elle me rappela quand même en Septembre pour nous laisser une autre chance, j'ai dit ok, il pleuvait je ne me suis jamais pointé au rendez-vous, on ne s'est jamais reparler, je sais qu'elle est devenue médecin et qu'elle a deux enfants…

Voilà mon année de troisième, mais la mère de ma fille reste mon premier et dernier amour… pendant 16 piges…

A plus les copains
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Attention, attention !!!
Le moment est venu pour moi de publier ma critique sur un Musso...
Et je sais que certaines personnes de ma connaissance l'attendent avec impatience ;-))

Ne nous voilons pas la face, ce n'est pas de la grande littérature.
Le style est simple, sans recherche et donc sans grand intérêt pour un lecteur exigeant.
Mais il faut avouer que c'est reposant de faire de temps en temps une lecture facile et, dans ce cas précis, j'en avais besoin.
Le suspens est bien présent et mené correctement puisqu'il a réussi à me captiver jusqu'au bout.
Je me suis intéressée aux personnages même s'ils n'ont déclenché chez moi aucune empathie.
J'ai tout de même été curieuse de connaitre leur histoire et me suis interrogée sur la façon dont l'auteur allait justifier le lien qui les unit, au-delà du voyage en avion.
La chute est aussi vertigineuse que ma déception est grande...
Je ne m'attendais pas à un tel dénouement que je trouve très perturbant et peu crédible.
Quelqu'un peut-il m'affirmer que la recherche médicale dans ce domaine (lisez pour savoir lequel..) est capable d'une telle prouesse ??
Bien sûr dans une fiction, on peut tout imaginer, même l'impensable, et cela peut faire du bel ouvrage d'anticipation mais, en ce qui concerne Parce que je t'aime, je n'ai pas ce sentiment.

Alors, ma belle de Comblain, je ne regrette pas du tout d'avoir fait connaissance avec l'univers littéraire de ton Guigui mais, bien que ma lecture n'ait heureusement pas été aussi pénible que la montée du mur de Huy réalisée en ce moment par les coureurs cyclistes, je ne serai jamais une grande fan...
Je sais toutefois que, dorénavant, lorsque je voudrai reposer mon esprit ou me remettre d'une lecture éprouvante émotionnellement, je pourrai le faire avec un Musso.
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J'ai un envie plutôt mitigé sur le livre. Il nous tient en haleine mais petit bémol la fin est vraiment trop brutale je trouve. On a l'impression que l'auteur a voulu finir au plus vite ce roman. L'histoire est bien mais trop de flash back et pas assez de rebondissement font que la lectue est un peu decevante ce qui est dommage car on s'attache vite à ses personnages très émouvants. Au vu des critiques que j'avais eu je m'attendais a beaucoup mieux.
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"Parce que je t'aime"
est un bon roman, un peu trop prévisible pour moi, qui suis un assidu de Guillaume Musso, mais bien écrit "ça coule tout seul " et ça se lit assez rapidement.

Les sentiments sont présents et exacerbés par les situations tragiques,
le glauque du mauvais passé qui débouche sur de belles carrières, me semble un peu éculé, mais pourquoi pas? c'est un roman? alors allons y
les destins croisés sont encore la thématique principale de cet ouvrage avec en toile de fond , meurtre, décès et morts!
Ce que j'en retiens?
la détresse est universelle, et quel que soit son métier, sa formation ou sa condition, on n'est jamais prêt a affronter le drame, même si on passe sa vie a tenter de cicatriser les plaies a vifs des âmes blessées !
on est plus fort a 2 c'est aussi un idée forte qui s'en dégage.
Même si ce roman ne restera pas dans les souvenirs impérissables il permet de passer un bon moment, (devinant tout de même ce qui va se passer) on échappe a la fiction et a l'irrationnel et rien que pour ça moi je dis bravo !


Reste tout de même une chose non expliquée! au passage de Layla sous le portique, la détection signalée n'est plus abordée ni argumenté.
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Layla avait 5 ans lorsqu'elle a disparu dans un centre commercial de Los Angeles. Ses parents sont complètement anéantis. Et alors que Nicole tente d'oublier en se consacrant à sa carrière de violoncelliste, Mark n'arrive pas à gérer la situation et perd pied. Il quitte le domicile conjugal et s'enfonce dans les entrailles de la terre. Là, il vit avec les sans-abri et perd tout contact avec la réalité. Mais, 5 ans après sa disparition, Layla réapparait. Pour Mark, les retrouvailles avec sa fille seront l'occasion d'un retour sur la vie qu'il a menée jusque là et sur le chemin parcouru depuis son enfance à Chicago. le retour à la maison sera aussi l'occasion de rencontres improbables avec une jeune héritière qui rêve de changer de vie et une adolescente qui cherche à venger la mort de sa mère. Sans que cela soit clair pour lui, il a la sensation que ces personnes ont un lien avec lui. Mais lequel ?

Dans Parce que je t'aime, la disparition d'un enfant est un prétexte pour aborder les thèmes principaux du livre : l'amour et la capacité à changer de vie. L'amour est abordé sous toutes ses formes (amour conjugal, amour d'un père pour sa fille, amitié…) et est associé à d'autres sentiments forts (la confiance, l'empathie). Les personnages se trouvent à un tournant de leur vie et ils doivent prendre des décisions importantes. de façon un peu caricaturale, ce roman nous montre que si le passé ne peut être modifié, il est toujours possible de réinventer sa vie future, de repartir de zéro et de prendre son destin en main.

Chaque chapitre aborde la vie d'un personnage, au passé ou au présent, ce qui permet au lecteur de recouper les informations et de mieux comprendre les raisons de leurs attitudes actuelles. La chute est assez inattendue, ce qui ne gâche rien.

Ce roman pousse à s'interroger : jusqu'où peut-on aller pour sauver une personne que l'on aime ? Peut-on l'aider contre sa volonté ?

Enfin, chaque chapitre est ponctué de citations diverses, très bien choisie, qui mettent en contexte et font réfléchir. On y retrouve, pêlemêle, des extraits de livres, des répliques de films, des citations, des proverbes. Délicieux.

Vous souhaitez lire un extrait de ce roman ? Rendez-vous sur mon blog!

Paola

Lien : http://carnetdelecture.skyne..
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En lisant ce roman de Guillaume Musso, j'ai vu ce qui va faire les caractéristiques de la plupart des oeuvres de l'auteur : action située aux USA, des citations en guise d'épigraphes: Michaël Connelly, Stephen King, Khalil Gibran, Mathias Malzieu (qui c'est celui-là ?), Marcel Proust, et bien d'autres. Musso a dû se faire une provision de citations, à intégrer, dans ses bouquins, ainsi que des circuits touristiques; là, nous sommes du côté de Las Vegas ( pour faire plaisir à toutes ses lectrices qui rêvent de cette ville ; nous avons droit à une visite guidée, même le Nautilus, cet hôtel sous la mer...)
L'histoire elle-même est mieux construite que d'autres, mais je me suis revu à l'école élémentaire, lorsque je faisais des rédactions ou la situation devenait si complexe que ma conclusion très lâche était : "sonnerie du réveil ! ... ce n'était qu'un rêve !

Je vois bien ce qui peut plaire, et faire que l'auteur est en tête des vente, mais les ficelles sont si grosses que personnellement je n'accroche pas.
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scénario surprenant pour ce livre mais on retrouve toujours le style de Musso, soit on adhère soit c'est pas le cas, et sur cette histoire je suis mitigée. Je pense qu'il y a eu mieux comme livre de cet auteur
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J'adore!

Je l'ai déjà lu, mais c'est comme si je redécouvrais le roman!

J'aime bien quand on croit savoir ce qu'il se passe. Quand on croit maitriser le roman, alors que l'auteur sait parfaitement ce qu'il fait et va nous embobiner jusqu'à la fin. Donc, on tombe des nus, forcément, car on ne s'attendait pas à ce qu'il se passe. Alors, pour être certain de tout comprendre, on repart à la recherche de là où ça a basculé, pour dire à ça, "non, mais j'avais deviné!
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Si on m'avait dit que je lirai un Musso un jour, je ne l'aurai pas cru.. et, pourtant, voilà que je viens de finir mon premier roman de l'auteur. Comme quoi, la vie nous réserve des surprises! Mes à-priori face à ce genre de lecture étaient posés mais grâce à la persuasion d'une personne, j'ai décidé de commencer cette lecture qui m'a agréablement surprise!
Le style de l'auteur est agréable, sans fioriture, direct et addictif. Musso envoie le lecteur vers des fausses-pistes et fait durer le suspens. le dénouement final m'a un peu déçue, je m'attendais à quelque chose de plus sensationnel et, au lieu de cela, je l'ai trouvé un peu bâclé. J'ai eu l'impression que l'auteur avait manqué d'idées à ce niveau là. Dommage car le déroulement de l'histoire laissait présager une fin digne de ce nom et finalement non. Néanmoins, j'ai passé un agréable moment de lecture et je lirai probablement d'autres ouvrages de cet auteur.
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Je ne suis pas particulièrement adepte de Guillaume Musso.
Pourquoi, alors, avoir choisi comme nouveau roman « Parce que je t'aime » ?
Parce qu'une fois lu le magnifique mais poignant livre-hommage « Nos 14 novembre » sur l'après attentat terroriste au Bataclan, j'avais besoin de romance, de fantastique, de calme et de légèreté.
En bref, je ne voulais pas « me prendre la tête »
Le pari est réussi puisque arrivée au terme de cette histoire, je peux dire que j'ai passé un agréable moment de détente, de « repos psychologique ». Je me suis simplement laissée guidée par l'auteur.
Sans dévoiler toute l'intrigue, je vous fais part de mon ressenti en espérant qu'il soit constructif et vous aide dans vos futurs choix littéraires.
Dans un centre commercial d'Orange County, au sud de Los Angeles, Layla, cinq ans, fausse compagnie quelques minutes à sa nounou pour sortir, attirée par l'orage qui vient d'éclater.
Quand une disparition devient mystérieuse…
On ne la reverra plus. Ses parents, Mark et Nicole Hathaway, psychologue et violoniste de profession, brisés finissent par se séparer.
Ils essayent chacun de leur côté de surmonter cette tragédie durant cinq ans jusqu'à ce que leur petit ange réapparaisse au même endroit où l'on avait perdu sa trace.
Beaucoup de questions se posent alors : Qui prenait soin d'elle ? dans quel lieu était-elle ? Pourquoi ce retour ? Comment rompre son silence ?
Dans la majeure partie, nous voyageons à bord d'un Airbus A380 à destination de New-York en provenance de Los Angeles en compagnie de quatre individus aux destins différents qui, au départ, ne se connaissent pas, hormis le père et sa fille, et qui ont pourtant un point commun. Lequel ? Motus absolu. A vous de le découvrir puisque G.M. insère avec malice, au début, ce message : « Pour préserver la surprise, ne révélez pas la fin de ce livre à vos amis ! ».
Sachez seulement, que nous nous trouvons en présence de :
Mark, notre protagoniste principal qui semble encore rêver, en présence de son enfant, tout en s'interrogeant quant à son vécu lors des cinq dernières années.
Layla, la fillette, source de tant d'inquiétudes, qui reste plongée dans un mutisme, jusqu'à…
Evie : jeune fille de quinze, à l'allure gothique. Sans hébergement. Seule au monde, depuis la mort de sa mère atteinte d'un cancer après avoir été prostituée, junkie et alcoolique.
Alyson, âgée de vingt-six ans est la fille du milliardaire Richard Harrison. Héritière de sa fortune depuis peu, elle n'a aucune ambition à part de squatter les boites de nuits en sniffant de la cocaïne, accompagnée d'alcool. Pour oublier ? Pour provoquer ? Par lassitude ? Pour s'autodétruire ?
Qu'adviendra-t-il au terme de ce vol ? Mystère…
Les personnages, écorchés par la vie, sont profonds. Forts et faibles en même temps.
Par leur fragilité et leur humanité, je me suis facilement attachée à eux.
Le père qui, faute de résultats, dépérit après avoir recherché sa progéniture pendant de nombreuses années est touchant. Son « retour à la vie » lorsqu'il la retrouve est plaisant à constater.
J'ai adoré l'amitié, proche de la fraternité, entre Mark et Connor.
J'ai admiré le courage de l'adolescente et de notre psychologue en exercice face aux épreuves de l'existence.
Alyson ne m'a pas émue. Je n'ai pas approuvé son côté « fille à papa ». N'ayant aucun sens de la réalité, même si son comportement exécrable laissait entrevoir une grande détresse.
M. Musso a parfaitement construit son histoire, y mêlant d'incroyables surprises, du suspens, de l'amour, de l'amitié pour accoucher d'un dénouement inattendu mais finalement limpide.
Lecture facile, rapide, plaisante. C'est un judicieux mélange entre du thriller psychologique et de l'imaginaire.
On tourne les pages avec avidité dans l'espoir d'en apprendre toujours plus.
J'ai eu un faible pour les flash-backs qui permettent de connaître véritablement nos héros et qui ne sont pas sans rappeler le style d'Harlan Coben (mon chouchou).
Le huis clos en avion comme lieu central pour ce récit est, selon moi, très original et peu courant.
Le point noir concerne l'épisode du passage sous le portique et la détection qui semble être problématique. Pourquoi avoir écrit ce passage si ce n'est pour ne plus y faire allusion et nous l'expliquer ? Bizarre !
Je ne suis pas fan également des citations au début de chaque chapitre trop utilisées à mon sens.
En conclusion, ce bouquin m'a accrochée dès le début et m'a un peu réconciliée avec notre écrivain suite à mes sentiments mitigés concernant « L'instant présent » et « La fille de Brooklyn ».
Je lui ai attribué trois étoiles sur cinq car j'ai apprécié ces instants passés en compagnie de Mark, Layla, Evie, Alyson ou encore Connor mais ce n'est pas non plus un bouquin mémorable.
Plaisante lecture que je conseille en guise de divertissement.



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