Au début de l'histoire, il y a de l'amour. À la fin aussi. Entre les deux : la terre tremble, un monsieur meurt, et mon vélo avale des kilomètres de cabosse, de gros cailloux au fond de la gorge et de rêves de grands qui font trop de bruit.
Je suis rien.
Rien que
Belette.
Et c'est beaucoup.
Je suis de la cabosse et de la dévale. Pour moi, le temps, c'est du compte à rebours. Ça pète au bout, ça explose, ça exulte, ça dissémine, ça ramasse. Puis ça te remets sur le vélo, tout droit, avec tes petites jambes du dimanche, qu'ont déjà pédalé toute la semaine.
Et le coeur aussi.
Suis en infarctus depuis la première minute. Rien que du battant à tout rompre au coeur. Beaucoup.
Beaucoup trop.
Je vous livre ici les premières lignes de ce livre qui m'apparaît d'entrée comme étant très prometteur !
Je me plonge dedans avec délice...
Ce n'est pas une critique... juste une mise en bouche