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sur 490 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Le chat qui voulait sauver les livres et un objet insolite, à la fois conte poétique, récit fantastique, réflexion sur la lecture, le passage à l'âge adulte et roman initiatique... bref, l'air de rien cette petite merveille est très riche. J'ai aimé son idée de départ: un chat qui parle dans une librairie dont le propriétaire vient de mourir, ça a suffit à piquer ma curiosité. Je l'ai dégusté, par petites touches, pour laisser la magie agir. Et naturellement, chez moi, ça a pris. J'ai beaucoup aimé l'univers fantasmagorique, l'infinie pudeur de l'auteur quand il décrit les sentiments, sa délicatesse, et la spontanéité du personnage de la déléguée. Bien sûr, chez nous, en France, on va trouver ça un peu convenu et si on le lit trop vite, on va passer à côté de la poésie infinie qui se dégage de cette histoire. Pour les amoureux des livres, pour ceux qui aiment prendre le temps de lire et de réfléchir sur la place des livres dans notre vie. Savoureux.
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C'est ma fille qui m'a conseillée ce livre ...

Rintaro vient de perdre son grand-père, il tenait une librairie de livres d'occasion dont certains étaient parfois très couteux. le jeune homme est très touché par ce décès et il ne se rend plus au lycée, il reste à la librairie à ranger et nettoyer. Un jour, un chat apparait devant et lui demande de l'aider à sauver des livres, différentes quêtes lui seront proposées, pour cela le chat l'emmènera via un labyrinthe dans un autre monde où les livres sont traités de différentes façons selon la quête du moment.

J'ai beaucoup aimé ce conte, totalement dépaysant et surprenant cette façon de traiter du sujet des livres : la recherche du nombre de livre à lire, de la facilité de lecture, le livre comme simple objet entreposé dans une bibliothèque comme preuve de culture. Une lecture qui interroge le lecteur, dans quel monde erre-t-il ? Pour ma part dans aucun de ces mondes même si je lis énormément :-)
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Si vous aimez les livres, les librairies, les bibliothèques... et la littérature, vous trouverez matière à réflexion sur le pouvoir des livres dans ce conte philosophique japonais, le parcours initiatique et de développement personnel d'un adolescent héritier de la librairie d'occasion de son grand-père. Un court opus en quatre chapitres qui prennent presque la forme de quatre nouvelles sur un même thème : l'importance des livres dans notre vie, ce qu'ils nous apportent au quotidien, leur valeur intellectuelle et de divertissement, et même l'impact qu'ils peuvent avoir sur notre individualité.

L'ouvrage est divisé en quatre chapitres au cours desquels le protagoniste, Rintarô Natsuki, voyage de dédale en dédale en compagnie de Sayo Yuzuki, la déléguée de sa classe, dans un environnement fantastique de mondes parallèles sous s'impulsion du chat Tigre replet et à la voix rugueuse qui veut sauver les livres. Une incursion dans l'univers de personnages qui n'aiment pas les livres, microcosmes desquels il semble ressortir comme d'un rêve, prenant conscience, à chaque étape, de ses forces, apprenant à mieux se connaître, à savoir ce qu'il souhaite être et devenir.

Première confrontation : Celui qui enfermait les livres.

Un lecteur qui veut tout lire, qui ne prend pas le temps d'apprécier ses lectures et qui refuse de relire un livre. Un homme qui enferme ses livres dans des bibliothèques vitrées. Très occupé, il n'a « encore lu que soixante-cinq volumes » sur la centaine qu'il dévore habituellement chaque mois. Lui qui possède 57 622 livres. Il n'a pas le temps de relire plusieurs fois le même ouvrage parce qu'il y a « dans ce monde une montagne de textes. Un nombre incalculable d'oeuvres [qui] ont été composées par le passé et continuent de l'être au présent. » Pour lui, « une personne ayant lu vingt mille livres aura plus de valeur qu'une autre ayant lu dix mille. »

Deuxième confrontation : Celui qui découpait les livres.

Un chercheur qui pense que pour pouvoir lire plus de livres, il faut lire des abrégés au lieu de lire l'intégralité des oeuvres. Aussi, maltraite-t-il les livres en les découpant pour les résumer. La lecture rapide n'étant pas suffisamment efficace, il s'est donné comme mission de publier des synopsis offrant la possibilité d'assimiler une centaine d'oeuvres par jour et permettant aux « histoires en voie de disparition de laisser une trace sur notre époque moderne, tout en satisfaisant les attentes de ceux qui souhaitent assimiler des chefs-d'oeuvre dans un temps limité. » Ce passage m'a fait sourire alors que je venais de lire un article publié le 20 juin 2023 dans le journal le Devoir de Montréal et intitulé le Québec fait-il encore trop de livres ?

L'interlocuteur imaginaire de Rintarô Natsuki, qui considère sauver les livres en les découpant, se justifie ainsi :

« le synopsis est une sorte de résumé. Les personnes maîtrisant déjà la technique de la lecture rapide pourront encore maximiser leur vitesse de lecture en se procurant des synopsis ou résumés ne retenant que l'essence du texte. Bien sûr, un tel synopsis devra être dépourvu de tout terme technique, de toute tournure stylistique particulière ou de tout idiome savoureux.

Il conviendra de dépouiller l'écriture de toute individualité, de s'en tenir à des expressions banales et de peaufiner minutieusement le tout afin de le rendre facile à digérer. Ainsi, une oeuvre dont la lecture prenait auparavant dix minutes n'en prendrait plus qu'une, par exemple. »

Dans ce chapitre, Sôsuke Natsukawa glisse une comparaison intéressante entre la musique et la lecture :

« La musique trouve sa place un peu partout dans notre quotidien : dans l'autoradio d'un chauffeur, le lecteur portable d'un piéton, la radiocassette d'un laboratoire, prête à nous apaiser à tout moment. Mais il n'en va pas de même avec les livres. On peut faire son jogging en écoutant de la musique, mais pas en lisant un livre. Je peux poursuivre mes recherches en savourant la Neuvième de Beethoven, mais je ne puis écrire d'essai tout en dévorant le Faust de Goethe. Cette loi aussi naturelle que pathétique est la raison profonde du déclin de l'écrit. Si je me consacre corps et âme à la recherche, c'est afin de secourir les livres promis à ce triste destin. »

Il en profite également pour égratigner le milieu académique japonais :

« le monde croule sous les distinctions académiques. le Japon est peuplé de « professeurs ». Essayez donc de crier ce mot, et vous verrez pas moins de quatre universitaires sur cinq se retourner, chacun avec le titre de professeur dans son domaine de recherche. de l'expert en lecture rapide à celui en sténographie, ce ne sont pas les professeurs qui manquent, ici. Chaque nouveau domaine d'étude apporte son lot de professeurs, qu'il s'agisse de rhétorique, de syntaxe, de style, de phonologie, de typographie ou encore d'évaluation de la qualité du papier. Vous aurez plus de chances d'isoler un non-professeur que d'identifier un professeur en particulier.»

Troisième confrontation : Celui qui liquidait les livres.

Un éditeur qui pense que seuls comptent les livres qui vont se vendre, les nouveautés, les livres qui n'imposent aucune réflexion. Un homme qui aime mal les livres, à la tête de « la Plus Grande Librairie du Monde, première maison d'édition à l'échelle de la planète ».

Sa pensée se résume ainsi :

« Nous sommes une grande maison d'édition. Chaque jour, nous fabriquons des montagnes d'ouvrages, que nous vendons à la société. Avec l'argent ainsi récolté, nous fabriquons encore plus de livres, que nous vendons à leur tour. Plus et plus et plus nous en vendons, plus nous accumulons d'argent. »

Pour lui, le livre est un bien de consommation...

« Mon travail consiste à faire en sorte que ce bien soit consommé par le plus grand nombre à travers le monde. C'est un travail que je ne pourrais accomplir si je disais simplement aimer les livres. Quoi qu'il en soit. »

... qui doit répondre à ce que demande la société...

« Si nous publions des livres, ce n'est pas dans un but de transmission. Nous publions les livres que réclame la société. Peu importe le message à faire passer ou la philosophie à transmettre aux générations futures, les vérités cruelles ou complexes à révéler. Ce n'est pas ce qu'attend la société. Ce qu'ont besoin de savoir les maisons d'édition, ce n'est pas « ce qu'il faut transmettre au monde », mais « ce que le monde veut qu'on lui transmette. »

... ou les lecteurs...

« Pour les lecteurs cherchant juste le frisson, il n'y a pas mieux que des descriptions explicites de scènes violentes ou érotiques. Pour les personnes dépourvues d'imagination, il suffira d'ajouter la mention « histoire vraie » pour augmenter les ventes et faire grimper le chiffre d'affaires. »

... car seules comptent les ventes :

« Plus personne ne s'intéresse à la vérité, la logique ou la philosophie. Tout le monde est fatigué de vivre et ne demande qu'à être diverti et apaisé. Pour subsister dans une telle société, le livre doit s'adapter. [...] Peu importe le chef-d'oeuvre, s'il ne se vend pas, il est condamné à disparaître [...] « ce n'est pas la profondeur [des] sentiments qui déterminera la valeur des livres. C'est le nombre d'exemplaires tirés. »

Quatrième confrontation : L'ultime dédale.

Dans ce dernier chapitre, après avoir argumenté avec le lecteur, le chercheur et l'éditeur pour les convaincre d'aimer véritablement les livres, le jeune Rintarô Natsuki décode finalement le leitmotiv de son grand-père sur le pouvoir des livres, « celui de la compassion » [...] « qui apporte courage et soutien à beaucoup de gens » :
:

« Les livres nous apportent savoir et sagesse, valeurs et opinions, et bien d'autres choses. Apprendre de nouvelles informations est un plaisir, et il n'y a pas plus exaltant que de découvrir les choses sous un angle neuf. Pourtant, j'ai toujours senti qu'ils devaient abriter un pouvoir plus puissant, plus précieux encore. »

« Les livres nous donnent à lire les pensées de milliers de gens. Qui éprouvent de la souffrance, de la tristesse, du bonheur, de la gaieté... En découvrant leurs histoires et leurs propos, en ressentant leurs émotions, nous apprenons à connaître le coeur de notre prochain. À travers les livres, nous pouvons comprendre non seulement le coeur des membres de notre entourage, mais aussi celui de personnes habitant un tout autre monde. »

Dans cette apologie du livre et de la lecture, Sôsuke Natsukawa grossit jusqu'à la caricature certains lecteurs ou éditeurs en menant une charge contre les littératures populaires, dont entre autres les mangas, en idéalisant les livres, les lecteurs et l'écosystème de la littérature. Surprenant pour un auteur japonais, il met en évidence de nombreux livres de culture occidentale, de grands classiques de littérature et de philosophie. Mais ne cite aucun auteur de sexe féminin !

Le chat qui voulait sauver les livres dans l'esprit du Petit Prince de Saint-Exupéry se caractérise par une écriture simple dans un style presque épuré, à la japonaise, au rythme lent, au scénario répétitif d'un chapitre à l'autre.

À noter la splendide couverture et le rappel du chat de l'arrivée, la présence et le départ du matou en quête de la force de Rintarô pour libérer les livres, présent dans la mise en page.

Médecin né à Osaka, Sôsuke Natsukawa est l'auteur de plusieurs romans dont Kamisama no Karute qui a reçu les prix Shogakukan Fiction et Japan Bookseller Award et qui a été adapté au cinéma. le chat qui voulait sauver les livres, un succès de librairie, au Japon et à l'international, a été traduit dans 36 langues.


Originalité/Choix du sujet : ****

Qualité littéraire : ****

Intrigue : ***

Psychologie des personnages : ****

Intérêt/Émotion ressentie : ****

Appréciation générale : ****

Lien : https://avisdelecturepolarsr..
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J'ai été accrochée chez le libraire par la jolie couverture et l'association chat+livres, sans m'attendre à grand chose.
Finalement ce "roman" (indication de couverture) s'est révélé être un conte philosophique avec du fantastique assez surprenant.
Autour de quatre "quêtes", l'auteur amène le lecteur à réfléchir à l'usage des livres, tant par la société que pour son usage personnel ...
Oui, pourquoi pas ... Disons que sans être original, le message n'est pas inintéressant, mais que l'articulation avec l'histoire d'adolescents sur laquelle il se greffe m'a semblé maladroite ...
J'aime bien la littérature asiatique car elle me surprend souvent, c'est pour moi une découverte relativement récente (deux-trois ans environ, souvent à travers les éditions Picquier), donc il est possible aussi que j'ai eu du mal avec ce genre en particulier. Je remarque néanmoins que l'usage du chat comme "véhicule" d'une histoire ou d'une leçon est quand même assez courant dans cette littérature extrême-orientale et cela m'amuse ...
Bref, je n'ai pas été bouleversée par cette lecture, il y a quelques réflexions intéressantes mais des longueurs et un cadre tantôt fantastique tantôt adolescent qui m'ont parfois gênée et même un peu ennuyée (le héros est trop mou pour moi parfois)...
C'est quand même une lecture interpellante, sur son fond et sa forme, qui m'a gentiment sortie de ma zone de confort et c'est plutôt bien !

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Il est rare que j'achète un livre d'après sa couverture, mais j'avoue que quand je suis tombée dessus dans les rayonnages de la librairie, il n'a pas fallu longtemps pour que je l'ajoute sur ma pile : un chat ? des livres ? par un auteur japonais ? avec une jolie couverture ? Evidemment que ça m'intéresse !

Le roman s'avère une sorte de conte fantastique contemporain : après la mort de son grand-père, propriétaire d'une librairie, le jeune Rintarô Natsuki se voit confronté par un chat parlant à quelques défis liés à la consommation de livres. C'est d'ailleurs l'un des premiers points sur lesquels j'ai achoppé : passée l'introduction, le livre est construit quatre fois sur le même rythme. le chat arrive, demande à Rintarô de l'accompagner dans le labyrinthe derrière la librairie, ils affrontent des personnes qui consomment les livres au lieu de les apprécier, puis ils rentrent à la maison, pour repartir sur la même lancée dans le chapitre suivant. Les situations en elles-mêmes sont intéressantes, caricatures de vrais modèles de lecteurs ou d'éditeurs, ce qui nous amène à réfléchir sur notre propre façon de lire, mais voilà, ça fait un enchaînement plutôt monotone en définitive.

Et ça m'a paru d'autant plus monotone que le livre est dénué d'émotions, les personnages de profondeur, en particulier Rintarô. J'aime les personnages introvertis, je lui suis moi-même, et je veux bien supposer qu'il soit en dépression après la mort de son grand-père, mais il m'a paru plus une coquille vide qu'autre chose. Par contraste, le chat semble le personnage le plus vivant, et j'ai beaucoup aimé ses échanges avec les autres personnages, drôles et un peu acerbes.

Derniers points – mais c'est peut-être une interprétation de ma part – j'ai eu l'impression que le roman était un peu à charge contre les littératures populaires, y compris les mangas, via certaines phrases sur la librairie du grand-père. Je n'ai rien contre les classiques, hein, mais bon, si on pouvait éviter de taper sur le populaire au passage… Par ailleurs, si l'on rencontre certains profils particuliers de lecteurs ou d'éditeurs (plus un profil particulier avec le boss final), on ne parle jamais des auteurices. On mentionne quelques titres de classiques, mais ça s'arrête là, à se demander si les livres n'éclosent pas tout seuls comme des fleurs… Bref, je trouve ça un peu dommage.

Beaucoup de points qui ne m'ont pas forcément plu, mais sur la globalité, c'est agréable à lire, écrit dans un style simple, presque épuré, qui va droit au but, et qui à le mérite de nous interroger sur certaines habitudes de lecture.

Bilan
On dit qu'il ne faut pas juger un livre à sa couverture, et dans mon cas, la magie du texte n'a effectivement pas réellement pris sur moi, en dépit de la splendide couverture. le roman reste agréable à lire, je n'ai pas passé un mauvais moment… mais je suis restée sur ma faim.
Lien : https://limaginaerumdesympho..
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Une leçon de vie sur la lecture, la littérature, l'objet du livre en lui-même ! Sôsuke Natsukawa a la plume qu'il faut pour parler de l'amour des livres et de la littérature !
Un plaisir à lire, certains passages ont mis les mots sur ce que je ressentais pour la littérature !
Une bonne lecture entourée de livres, de thé, de chat, d'amitié et d'imagination !
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Ce livre à la couverture toute douce nous raconte une jolie histoire sur le pouvoir de l'amitié, la connaissance de soi et les bienfaits de la lecture. Découpé en 6 chapitres rythmés, le récit alterne scènes d'action et passages philosophiques. Les 3 personnages principaux, Rintarô, le Tigre et Sayo, incarnent à la perfection l'archétype de l'apprenti, du maître et du compagnon d'aventure.
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📚 Ce texte décrit le parcours d'un jeune lycéen, qui suite à la mort de son grand-père qui l'a élevé, va devoir dépasser sa tristesse.
🖊️ Un texte qui flirte avec un (gentil) surnaturel : un chat qui parle, des labyrinthes qui apparaissent au fond de la librairie...
🤩 Un conte initiatique. À la fois naïf et pourtant profond. Parfois émouvant. Un très bon moment de lecture. Un texte qui m'aura surpris par son propos intelligent et cohérent.
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Comme une amie l'a si bien résumé, c'est une ode à la lecture et à la compassion.

J'ai lu plusieurs oeuvres japonaises auparavant mais c'est la première qui contient une petite partie de fantastique et ça m'a agréablement surprise. Comme toute oeuvre japonaise (en tous cas pour moi), on sent qu'il y a une morale, un message que l'on essaie de faire passer.

A mes yeux, on s'attaque à 4 "problèmes" liés à la lecture.


En définitive, ce livre n'est peut-être pas un coup de coeur mais c'était une lecture agréable. L'histoire est mignonne et touchante.
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C'est un beau livre, une histoire mignonne qui fait du bien.
On reconnait bien le style japonais dans ce roman : des descriptions assez imagées, très visuel, des discours alambiqués, bref de quoi faire une belle petite série animée (j'ai imaginé l'histoire en animé tout du long, et ça donnait très bien !).
En outre, le livre nous donne matière à réfléchir, on pense à notre façon d'appréhender nos lectures, nos livres en tant qu'objet et en tant que loisir. Peut-être pas au point de revoir sa façon de faire, mais je me suis demandé "et moi, est-ce que je fais comme ça aussi ?". Bref, j'ai bien apprécié ma lecture et je ne trouve pas qu'il mérite ses si mauvaises notes que j'ai pu voir ici sur Babelio.
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