L'homme chauve-souris

Harry Hole, flic norvégien, ancien alcoolique, actuellement sur la touche et futur gratte-papier dans un bureau sans fenêtre à Oslo, est dépêché par ses supérieurs, pour enquêter sur le meurtre d'une jeune ressortissante norvégienne, en Australie. I

Inge Holter a été violé, assassiné et noyée... Rien que ça !

Dès son arrivée à l'aéroport une ambiguïté s'installe sur la prononciation de son nom : HOLE ( qui veut dire "trou" en Anglais") qui fait bien rire la personne chargée de contrôler les passeports....
HAU- LI ou HOLY (qui veut dire Saint) est le nom que lui attribue le flic aborigène chargé de l'accueillir et qui sera son binôme dans la prétendue enquête....
HOULY finira par dire Harry Hole, lui même au chef de la Police de Sydney...

HOLE .... L'enquête, malgré un bon début, tombe vite dans un trou...et le lecteur à l'impression qu'on le prend pour un trouduc car à la 120eme page l'enquête est au même point et le lecteur aussi....

HOLY ....Bien que Harry à l'esprit sain, il traîne de sacrées casseroles derrière lui et les milieux qu'il fréquente feront ressortir des souvenirs qu'on finira par trouver "sympas" car cela lui donne enfin un peu d'épaisseur....

HAU-LI .....En fin de compte, c'est le mieux que vous avez à faire... Allez au lit et laissez le livre...

HOULI.....Ou lit autre chose, bon conseil !....

En fin de compte, j'ai "voyagé" un peu en Australie, avec un Norvégien, mal dégrossi.... Et j'ai appris que les hommes chauves sourient et qu'ils naissent beaux...
C'est un peut tiré par les cheveux, je l'avoue....

Fan des aventures de Harry Hole, l'ayant découvert dans le bonhomme de neige, je voulais reprendre l'histoire à ses débuts mais grande fut ma déception car en place d'un thriller bien ficelé comme je suis habitué de Jo Nesbo, j'ai découvert un Lonely Planett sur l'Australie et la culture aborigène.
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J'ai trouvé ce roman policier de Jo Nesbo vraiment mauvais. C'est rare que je suis incapable de finir un roman mais là, à 100 pages de la fin, je dois m'avouer vaincu. Je suis incapable de le terminer. Je n,embarque pas dans l'histoire, elle ne m'intéresse tout simplement pas.

En fouinant chez Gibert, je me suis laissée tentée par ce roman dont je ne connaissais rien. La couverture aux motifs aborigènes et la consonance nordique du nom de l'auteur ont suffisamment flatté les affinités de mon coeur pour me pousser à l'acheter.

Si le début s'est laissé lire facilement, la lente descente éthylique du personnage principal m'a très vite lassée. Entre vomis et bas-fonds glauques, j'ai survolé les 2/3 du livre sans plaisir et juste dans l'idée de le finir.

Des personnages dont on a pas envie de connaître l'histoire, une intrigue peu stimulante et un assassin sans surprise… très peu emballée.
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J'ai voulu tester cet auteur considere comme le nouveau Stieg Larsson (bien mis en avant sur la jaquette...). C'est le premier tome des aventures de l'inspecteur Harry Hole. J'ai pris celui la justement pour commencer « au debut », sans lire la 4eme de couverture. J'ai donc ete surprise de me trouver en Australie, alors que je m'attendais a une histoire nordique... Ensuite, j'ai trouve l'histoire longue... longue... beaucoup de rebondissements mais c'est quand meme long... Je me dis que c'est probablement parce que c'est le premier tome. Il faut mettre en place les personnages, particulierement l'inspecteur. Alors je vais peut etre essayer la suite, au moins un... mais je ne suis pas convaincu. Je me suis senti beaucoup moins interessee/sensible a l'histoire de Harry Hole que par l'inspecteur Adamsberg. Pour moi, un niveau bien moins bon que les Fred Vargas...