Rendus à l'Union Soviétique par les anglais, les cosaques vont y connaître l'enfer sur terre.
Exécution, camps de travail, conditions de vie déplorables, humiliations, privations, rien ne sera épargné à ce peuple.
Une lueur dans la noirceur de leur quotidien, la mort, enfin, de Staline.
Une mort beaucoup trop douce à leur goût, mais qui verra enfin leur condition sensiblement s'améliorer.
Avec les temps, les libérations vont même venir, mais pour les Cosaques russes, c'est souvent aussi synonyme de retour dans leur village d'origine, où ils seront à jamais catalogués comme fascistes.
Pour d'autres, les frontières vont même s'ouvrir, et quelques bonnes surprises les y attendront...
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Chers frères, chères sœurs, on nous appelle "Les Cosaques d'Hitler", nous identifiant systématiquement à l'infamie d'une dictature dont nous ne voulions pas...
Il eût été plus juste de nous appeler "Les Cosaques de la Liberté" tant notre motivation la plus profonde était de libérer l'Europe de toute velléité de domination.