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Comme les autres tome 1 sur 7
EAN : 9782505088790
192 pages
Kana (23/04/2021)
3.49/5   47 notes
Résumé :
La devise de Tsubaki c’est de vivre selon ce que lui dicte son cœur. Alors, lorsqu’elle rencontre fortuitement Ibuki et craque pour ce garçon, elle fait tout pour le retrouver. Dans une lettre qui lui est adressée, elle exprime son souhait de vivre une histoire d’amour heureuse et ordinaire avec lui. Sauf que la jeune fille ne sait pas encore qu’Ibuki est malentendant : il ne peut pas lui offrir cette histoire d’amour « ordinaire » qu’elle désire tant… L... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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Tsubaki, en classe de Seconde, a envie d'être amoureuse. Alors lorsqu'elle croise par accident Ibuki , un jeune garçon, elle veut absolument le retrouver. Par chance, il se trouve être élève dans le même lycée qu'elle et la jeune fille met alors tout en oeuvre pour se rapprocher de lui. Mais Tsubaki, qui rêve d'une histoire ordinaire et heureuse, va bientôt découvrir qu'Ibuki est malentendant.
Dans un graphisme très doux, ce shojo nous propose de porter le regard sur le handicap et les relations amoureuses à l'adolescence. Tsubaki est une adolescente enjouée et sympathique, ouverte aux autres. On découvre assez rapidement ce qui la pousse à désirer une histoire d'amour "ordinaire" mais Ibuki, au-delà de son handicap, ne lui facilite pas vraiment les choses. On retrouve donc ici une romance adolescente assez classique, si ce n'est le thème de l'handicap qui apporte un regard sociétal et compromet quelque peu la communication entre les deux personnages. Tsubaki est attachante et positive, Ibuki est lui plus difficile à cerner. On sent la méfiance du jeune homme vis à vis des intentions des gens qui l'entourent.
Un premier tome qui démarre lentement et qui j'espère gagnera en profondeur avec sa thématique.
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J'ai toujours beaucoup aimé la collection "shojo" de Kana, qui recèle des petites pépites. Ils avaient d'ailleurs lancé leur collection avec Basara à l'époque, un shojo d'aventure dans un monde post-apocalyptique médiéval qui est juste fantastique. Maintenant, leurs histoires sont plus classiques mais restent de qualité en général. Cependant, avec Comme les autres, je crois que c'est la première fois qu'ils abordent la question du handicap. (N'hésitez pas à me démentir si je me trompe ^^)

Nojin Yuki, l'autrice de cette série, avait déjà été introduite en France avec This is not love, thank you, une gentille romance lycéenne en 5 tomes parue chez Soleil il y a 2 ans, que j'avais vraiment bien aimé grâce à la belle écriture des personnages. Au Japon, elle a écrit nombre de séries de 3, 4, 5 volumes qui sont toutes des romances plutôt douces. J'avais été surprise de ne pas la revoir chez nous. J'accueille donc avec grand plaisir sa nouvelle série toujours en cours, Comme les autres comptant 6 tomes à ce jour au Japon.

Avec ce nouveau titre, Kana s'inscrit dans la mouvance actuelle, celle des éditeurs qui proposent des titres grand public avec des personnages diversifiés de par leur sexe, leur genre, leur sexualité, leur origine ethnique mais aussi par leur handicap comme c'est le cas ici. Ça fait plaisir de voir enfin ce genre de personnage mis sous les feux de la rampe et encore plus quand c'est avec sensibilité comme ici.

Notre histoire débute quand la jeune Tsubaki, dont la devise est de vivre selon ce que lui dicte son coeur, ramasse par hasard le pass de transport d'Ibuki. Ayant le coup de foudre pour lui, elle fait tout pour le retrouver mais quand elle y parvient, elle apprend au bout de quelques temps que celui-ci est sourd. Et elle, qui lui a seriné qu'elle voulait une histoire d'amour ordinaire, se voit repoussé par Ibuki. Comment parvenir à lui faire comprendre que son handicap n'est pas un frein pour elle ?

Le premier tome de cette bluette romantique s'est révélé surprenant à plus d'une reprise. J'ai beaucoup aimé la sensibilité mais l'honnêteté dont l'autrice a fait preuve envers ses personnages. Tsubaki et Ibuki ont tous les deux quelque chose qui les rend différent des autres, et même si c'est plus visible pour l'un que pour l'autre, cela aura une grande influence sur leur façon d'appréhender la vie et les autres. Tsubaki a puisé une force dans sa différence et veut tout vivre à fond. Ibuki, lui, s'est plutôt renfermé dans son monde qu'il veut rassurant, se coupant du reste, pensant qu'il ne peut pas être comme les autres, ce que Tsubaki va entreprendre de défaire.

Tsubaki sous ses dehors un peu simplette est surtout une jeune fille pleine d'enthousiasme et profondément gentille. Elle a une grande force de caractère mais est aussi très sensible. Elle va ainsi peu à peu toucher le coeur endurci d'Ibuki mais ce n'est pas simple. En effet, l'autrice nous fait bien comprendre ce qu'est le quotidien de quelqu'un de sourd : les difficultés sociales, les difficultés à communiquer, les moqueries, les moments où on nous laisse à part, etc. On perçoit bien la dureté du monde tel que le vit Ibuki et on comprend du coup combien c'est dur pour lui de s'ouvrir à des gens nouveaux. Cependant Tsubaki ne va pas abandonner et elle va tenter de s'introduire dans son monde, d'abord en essayant de partager sa passion pour la photo, puis en apprenant le langage des signes, mais aussi en discutant avec les amis de celui-ci. Tout est bon pour apprendre à le connaître et le faire sortir de sa coquille.

L'histoire est vraiment très touchante. Là, où je suis un peu plus réservée, c'est concernant l'aspect romantique. Je trouve l'histoire du coup de foudre un peu léger et le reste est à l'avenant. C'est bien léger, bien facile, bien classique. Cela reste mignon mais ça ne casse pas trois pattes à un canard. L'autrice utilise des ressorts éculés en matière de romances lycéennes avec la rencontre en prenant le train/métro, l'approfondissement de leur relation à la bibliothèque ou lors des sorties de leur club, l'arrivée de la rivale qui est l'ex- du héros, et le meilleur ami qui observe tout ça. Il ne faut pas s'attendre à de l'originalité ici.

Les dessins de la mangaka, eux, tout comme dans son précédent titre chez nous, sont très doux. Il s'en dégage une belle fraicheur. Ils sont pile poil dans la ligne éditoriale de ceux des magazines shojos de la Shueisha, que ce soit le Margaret, le Betsuma ou le Bessatsu. Pour ma part, j'aime beaucoup ce style qu'on retrouve par exemple chez Io Sakisaka (Blue Spring Ride), Nagamu Nanaji (Banale à tout prix), Mika Yamamori (Daytime Shooting Star), etc. C'est parfaitement dans l'air du temps.

Comme les autres est donc une belle bluette lycéenne en devenir avec l'originalité de proposer un héros sourd et donc d'aborder frontalement ce que c'est que de souffrir de ce handicap quand on est lycéen. C'est assez rare chez nous pour le souligner et quand en plus, c'est traité avec justesse et sensibilité, on n'a qu'une envie : poursuivre !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Yuki Nojin ne nous est pas inconnue ! En effet, This is not love, thank you est une de ses oeuvres qui a déjà été publié chez nous. Pour ma part Comme les autres est le titre qui me fait découvrir son travail, et je peux vous dire que je ne m'attendais pas du tout à ça !

Déjà je savais très brièvement que ça allait aborder des thèmes assez difficiles comme le handicap, mais je dois avouer que ce premier tome m'a mis une sacré claque ! Si la couverture est toute douce et que l'on s'attend à un titre tout doux, plein de bons sentiments, et de… Il vaut mieux s'arrêter là, il n'en est rien de tout ça ! J'ai trouvé que c'était un titre dur, qui coupe le souffle à certains moments, j'ai même eu l'impression que c'était moi que l'on giflait pour dire ! J'étais pas prête à être autant secouée par un shojo ! Au vu de cette impression on pourrait se dire que l'on est sur un coup de coeur, eh bien non, parce qu'à certains moments je trouvais ça trop déstabilisant même, et je ne comprenais pas pourquoi on en arrivait là !

Le titre démarre de manière assez classique pour un shojo de type romance lycéenne, on découvre Tsubaki qui ramasse la carte de transport de Ibuki, et elle va tomber sous le charme de ce garçon qu'elle ne connaissait pas. Elle se met en tête de le retrouver et rentre dans le même lycée que lui, l'uniforme c'est révélateur !
Elle tente d'engager la conversation avec lui, tout se passe plutôt bien, sauf qu'elle va apprendre qu'il est malentendant voire même sourd au vu de ce que l'on découvre. Déjà ce n'est pas une situation qui est très simple à appréhender que ce soit en tant que lecteur ou même pour Tsubaki. Pour elle, elle n'y voit absolument inconvénient et reste déterminée à lui déclarer ses sentiments et à être proche de lui.

J'ai vraiment eu beaucoup d'admiration pour Tsubaki, déjà elle aussi, elle a passé une épreuve pas simple, et elle aurait carrément pu y rester aussi. Mais surtout, elle est très agréable à suivre, et peut-être même un peu maso ! En effet, elle se rapproche d'Ibuki, mais lui de par sa situation, lui met des stop assez régulièrement. Et puis, il est assez dur avec elle, il emploie des mots qui sont assez difficiles, il la traite d'hypocrite. Les termes sont vraiment durs et peu commun pour un shojo, ils m'ont vraiment mis une claque. Bien qu'elle soit repoussée, Tsubaki revenait à chaque fois, et gardait la tête haute, et c'était dans ces moments-là que je trouvais parfois que c'était difficile à lire. Tout être humain normalement constitué aurait déjà abandonné, mais elle non, et pour ça, j'admire beaucoup ce personnage !
Pour Tsubaki, c'est un personnage qui est assez difficile à cerner, déjà son handicap se ressent à la lecture. Les émotions ne sont pas du tout transmises de la même manière, donc c'est très intéressant et ça amène de l'originalité. Mais il m'a donné cette impression de ne pas être sûr de lui, il semble faire un pas en avant, puis un pas en arrière. Il donne aussi cette impression d'être très renfermé sur lui-même, il n'ose pas déranger les autres, ou même se mélanger. Une sortie du club de photographie est organisée, on le retrouve dans cette situation qui doit être difficile à vivre pour lui. Il a un handicap mais il n'est pas visible et ses camarades ne sont pas forcément attentifs à lui et à ses problèmes. Donc on comprend qu'il ait du mal à s'intégrer aux autres. La mangaka nous présente aussi une partie de son passé comment il a pu perdre l'ouïe et comment il l'a vécu avec ses autres camarades notamment.

Ibuki peut tout de même compter sur un autre personnage qui est Shibasaki. Ils se connaissent depuis quelques années, et ils ont toujours été proches. Mais aujourd'hui, celui-ci semble vouloir se détacher, s'éloigner de Ibuki. Il a lui aussi des propos que j'ai trouvé plutôt blessant, mais Tsubaki veut nous en dépeindre une autre image. Je suis curieuse de voir comment ce trio va évoluer.
La mangaka nous introduit aussi le personnage de Hidaka, qui aura très probablement son rôle à jouer. En tout cas, elle n'est pas inconnue à nos deux personnages masculins, et la mangaka nous lance quelques révélations à son sujet. Je pense qu'il y aura matière à travailler.

Ce premier tome n'est pas forcément mignon ou même touchant, mais pour moi il a plus été percutant. La relation entre Ibuki et Tsubaki ne bouge pas d'un iota, Ibuki étant renfermé sur lui, et je pense qu'il voit un peu le mal partout, et je comprends, il n'est pas trop aidé… Mais j'espère qu'au contact de la très positive Tsubaki, il va pouvoir s'ouvrir, qu'il puisse faire confiance aux gens aussi. le thème est intéressant, pas tendre, mais y a vraiment de quoi le transformer en titre touchant et mignon !
J'espère que la mangaka va développer du coup la vie scolaire de Ibuki, puisqu'il est sourd, il doit sûrement avoir des dispositifs. Lire sur les lèvres c'est bien ça aide, mais ça doit être fatiguant et doit demander beaucoup de concentration. Je serai curieuse de voir comment c'est travaillé et mis en scène.
Lien : https://takeabreakavecsachik..
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« Comme les autres » est un nouveau manga proposé par Kana, de la mangaka YUKI Nojin, qu'on a pu connaître sur « This is not love thank you » en 5 tomes, que je n'ai malheureusement pas encore pu découvrir. Nous partons sur une série qui a 6 tomes de paru au Japon et qui est toujours en cours.
Elle a un graphisme très doux, très agréable, et quelque part a tout de la romance classique lycéenne, à un détail près et c'est ce qui va en faire tout son charme, intérêt et pousser notre réflexion, elle aborde le handicap.

Tsubaki a décidé de vivre comme son coeur lui dicte, de l'écouter lui, cela peut sembler naïf, mais il y a également une certaine ironie là-dedans.
Quand elle rencontre Ibuki, son coeur bat pour lui. Elle a décidé que c'était le bon. Elle cherchait une histoire « ordinaire« , elle tient énormément à ce mot.
Mais elle ne s'attendait pas, n'était pas préparée, à ce que Ibuki soit malentendant. Quand ils commencent à discuter, ils le font par un échange de mots écrits, un moment bien à eux, dans un lieu demandant le silence.
Tsubaki n'a pas de réaction de rejet, elle a toujours envie de continuer avec lui.

Elle va également rejoindre le club de photographie où il est pour se rapprocher de lui. La photographie est la capture d'un instant de vie, on n'a pas forcément besoin de parler.

A travers des réactions de personnes croisées, à travers des gens qui connaissent Ibuki depuis un certain temps, et Ibuki lui-même, le lecteur voit le poids qu'il subit avec le regard de l'autre, les différentes façons de réagir des gens, leurs mots, leurs gestes, leur incompréhension, les malentendus …
Ou comment des relations qu'il a ou a eu avec d'autres personnes sont perçues. Cela donne à Ibuki et d'autres parfois un regard blasé, ils en ont trop vu.
Ainsi nous avons des moments de fortes réflexions, qui sont intéressants, voire même explosifs.
Nous croisons également certains comportements odieux.

Ibuki lance également une réflexion intéressante sur le fait qu'il n'ait pas envie de le dire à tout le monde, il ne va pas ajouter ce fait dans sa présentation. Libre à nous de donner des informations personnelles ou non.
Hier ou aujourd'hui, certains sont perdus, méconnaissent les informations. Tsubaki arrive toute enjouée, avec l'envie de faire des efforts, avec l'envie de se rapprocher de Ibuki, mais lui a bien du mal à y croire.

Des sujets lourds et intéressants sont alliés avec le désir de cette romance simple, de profiter de la vie.

Une histoire qui a tout de la romance classique, la douceur des traits de shojo, mais avec quelque chose en plus, des thèmes intéressants et aborde le handicap et le poids du regard des autres, ce désir d'être « comme les autres ».
La photographie qui apporte également quelque chose
Le fait d'avoir déjà deux personnages hauts en couleur, qui connaissent Ibuki et apportent leurs éclairages.
Le fait qu'Ibuki ne veut pas apporter ce détail à sa présentation et la réflexion qui en découle.
Tsubuki qui a ses propres raisons.

Bonne lecture
Très bonnes thématiques, gestion plutôt intéressante et prometteuse.
Affaire à suivre
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
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Nojin Yuki est connue en France pour sa précédente série "This is Not Love, Thank You" qui était déjà un shojo atypique mettant en avant des personnages cherchant le grand amour, d'autre qui détestent ça et qui veulent tous vivre dans la normalité. Cela prend un tout autre sens dans "Comme les autres", avec des protagonistes ayant des handicaps et des passés vraiment difficiles.
Tsubaki vient tout juste de quitter Tokyo pour vivre à la campagne et dès son premier jour elle a le coup de foudre pour Ibuki. Elle recherche un amour "normal" afin de profiter un maximum de la vie, de ne jamais se mentir, ce qui pourrait sembler anodin, mais pas pour cette jeune qui a bien faillit mourir des années plus tôt et peut enfin être comme tout le monde grâce à une greffe. Sa vision de la vie est totalement différente de son entourage, voir opposé à celle de son coup de foudre.
Ibuki est un adolescent malentendu passionné par la photographie qui a malheureusement dû s'habituer à voir les gens prendre pitié de lui ou tout simplement s'énerver en pensant qu'il les ignore. Ce monde silencieux est une prison qu'il tente de fuir à l'aide de sa passion et de communication écrite ou bien du langage des signes. Mais ses expériences passés le pousse à ne pas totalement faire confiance aux sentiments de Tsubaki, qui lui semble bien trop pleine de vie.
Ce premier tome était vraiment très intéressant, crédible et très réaliste sur certains points. En plus de l'handicap, la mangaka aborde le thème des relations conflictuelles, des violences conjugales et le fait que la société en parle mais ne réagit pas. En parallèle à cette ambiance lourde, la légèreté de la romance souhaité par Tsubaki est une bouffée d'air frais, mais l'avenir pourrait bien être moins radieux et "normal" que ce que souhaitait la lycéenne.
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critiques presse (2)
ActuaBD
13 janvier 2022
Les problèmes de communications que rencontrent les deux protagonistes tout comme la place du handicap d’Ibuki, méritent d’être approfondi dans les prochains tomes afin que l’intrigue puisse mieux souligner son originalité.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
MangaNews
23 avril 2021
Une belle leçon sur le handicap ou la maladie qui n’empêchent pas d’aller de l’avant. Les difficultés de l’adolescence et de l’amour avec le regard des autres.
Lire la critique sur le site : MangaNews
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Il y a des personnes pour qui le fait de pouvoir voir, de pouvoir marcher, d'avoir des parents, de pouvoir aller à l'école est normal, et d'autres pour qui ça ne l'est pas.
L'ordinaire n'existe pas, mais existe quand même.
C'était juste avant mes six ans...
Je ne suis pas devenu quelqu'un d'ordinaire.
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J'ai envie d'être amoureuse. Je ne veux ni violence, ni souffrance, ni tristesse. Je veux vivre un amour ordinaire et heureux.
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- Le bonheur ordinaire dont je parle… C’est de pouvoir… Voir la personne qu’on aime encore le lendemain.
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L'essentiel est inaudible pour les oreilles, on entend bien qu'avec le cœur.
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