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sur 338 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
I AM I AM I AM DIX SEPT RENCONTRES AVEC LA MORT tel est le titre complet du dernier opus de Maggie O'Farrell.
Tout est dit ou presque. Maggie O'Farrell raconte, se raconte, dévoile, nous dévoile les épisodes les plus pathétiques de sa vie. Comme à l'accoutumée son écriture va droit à l'essentiel, les mots s'enchainent, les phrases se bousculent, l'émotion, la peur , la panique sont là palpables.
Mais voilà la lectrice quasi inconditionnelle de Maggie O'Farrell que je suis n'a pas adhéré à ce récit. N'allez pas croire que je sois restée indifférente certainement pas. Je n'ai pas de mots pour exprimer ma compassion, mon désarroi.
Non ce n'est pas la teneur du propos qui m' a gênée mais plutôt l'exposition au grand jour de la vie privée de cette femme, de cette mère, même si il est spécifié en fin d'ouvrage qu'une partie des bénéfices sera reversée à des oeuvres caritatives. Suite à cette lecture mon regard sur les écrits de Maggie O'Farrell doit il changer? devrais-je voir derrière chacun des faits et gestes de ses personnages les séquelles d'épisodes vécus? Cette éventualité me perturbe et me questionne sur la démarche de l'auteure...
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Ayant récemment lu « L'étrange disparition d'Esme Lennox », j'ai emprunté avec curiosité la dernière parution de Maggie O'Farrel, sans même parcourir la 4ème de couverture et donc sans savoir qu'il s'agissait non d'un roman mais d'un récit autobiographique en rapport avec la mort. le titre « I am I am I am » est inspiré du texte de l'auteure américaine Sylvia Plath.
17 chapitres, 17 moments de sa vie, 17 expériences avec la mort, 17 organes du corps humain qui ont souffert ou par qui Maggie O'Farrel a frôlé la mort (le cou, les poumons, le cerveau, etc.). Récit étonnant et original pour raconter sa vie à travers des récits de mort, ces expériences surprenantes, extrêmes, parfois sombres et douloureuses, alors qu'elle n'a même pas 50 ans. Avec tous ces chapitres ayant comme fil conducteur les accidents, les maladies et la mort, on pourrait penser qu'à la longue, cela peut plomber la lecture jusqu'à en faire une overdose. Il n'en est rien.
Au-delà du fait que je me sois parfois sentie un tantinet voyeuse (et ne pouvant m'empêcher de me dire que, heureusement, je n'avais pas vécu autant de moments terrifiants et difficiles), Maggie O'Farrel sait narrer avec beaucoup d'intelligence, par des analyses fines, d'introspection, et même parfois de l'humour (avec cette autodérision nécessaire pour supporter les épreuves et ne pas s'effondrer), ce qui rend la lecture plus que prenante.
Si son récit parle d'accidents, de maladies graves, d'agressions et même de pertes, et que la mort montre son nez souvent (dépassant son quota pour un seul être), si elle rôde encore et encore, si elle ricane sans se lasser, ce texte n'est pas pour autant morbide. Il est peut-être justement un pied de nez à la faucheuse. Il est peut-être le récit d'une personne riche d'expériences, qui a vécu, a voyagé dans cent contrées et plus, a fait des rencontres, a aimé et aime encore. Il est le récit d'une femme qui a grandi, a appris de ses expériences -marquantes, ancrées à tout jamais en elle-, qui a appris à être forte, à se battre et à ne pas baisser les bras, qui a chuté, s'est relevée et à continuer à aller de l'avant. Tout à l'heure, demain ou dans quelques années, elle croisera peut-être, sûrement, au détour d'une rue la mort qui cherchera à la narguer une nouvelle fois. Mais on ne doute pas que Maggie O'Farrel a les armes, le caractère et les mots (et l'écriture) pour la combattre et la repousser le plus longtemps possible.
Ces événements dans sa vie l'ont rendu encore plus courageuse et battante, et avec un goût et une curiosité pour la vie quasi inébranlable. Certains de ses proches ou connaissances ont parfois pensé, au vu de tous ces évènements vécus/subis que, vraiment, elle n'avait pas de chance. Elle, elle se dit au contraire qu'elle est chanceuse de s'en être sortie à chaque fois. Face à ces nombreuses épreuves qu'elle a affrontées et affronte encore (statistiquement, ça fait quand même beaucoup pour une seule femme), sa foi en la vie et son courage sont presque sans limite. Et nous ressortons de cette lecture obligatoirement impressionnés par cette femme…
Les chapitres ne sont pas écrits de manière chronologique ni en crescendo en épreuves de plus en plus lourdes -et heureusement pour notre rythme cardiaque-. Il y a des retours en arrière, des épisodes qu'on comprend mieux quelques chapitres plus loin. Cette lecture est comme un voyage sur un grand huit, semé d'embuches, d'émotions et de sentiments plus ou moins vifs. le dernier chapitre, en lien avec le premier, clos le livre de manière brillante et terriblement émouvante.
Et après le ouf où l'on s'est dit qu'elle a réchappé de tout ça, après le ouf où l'on s'est dit que notre vie est bien pépère à côté (on a beau compter nos épisodes où on a flirté avec la mort, Maggie O'Farrell nous dépasse de loin), on termine son récit par un ‘'wouah'', quelle incroyable femme, quel incroyable récit et quelle incroyable leçon de vie ! Et c'est bien là tout le paradoxe émotionnellement fort de ce livre traitant de la mort, puisque c'est la leçon de vie qu'on retient et que l'on grave dans notre mémoire.
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Dans I am I am I am, Maggie O'Farrell nous raconte les dix-sept occasions où elle a frôlé la mort, de sa rencontre fortuite avec un serial killer à un trou d'air en avion en passant par les innombrables ennuis de santé qu'elle a rencontrés toute sa vie à cause de l'encéphalite qu'elle a contractée à 8 ans.

Je n'avais rien lu d'elle, et pourtant j'ai eu l'impression de retrouver une très bonne amie pour papoter. Car il n'y a pas d'intrigue au sens propre dans ce livre, mais beaucoup d'histoires, d'humanité, de fantaisie, de réflexion et de douceur...

Mon fragment préféré est certainement celui sur sa fille, atteinte d'allergies qui mettent sa vie en danger. Alors même que je n'ai pas d'enfants et n'ai rien vécu de similaire, je me suis retrouvée à angoisser avec elle ou à pleurer d'émotion.

J'ai beaucoup aimé aussi les réflexions dont elle saupoudre ses histoires, notamment sur le voyage, le couple, l'écriture ou l'échec. Empreintes de tendresse et de lucidité, elles sont comme des petites étincelles qui nous font avancer sur notre propre chemin.

De mon côté, je n'ai certainement pas frôlé la mort aussi souvent que Maggie O'Farrell alors que nous avons à peu près le même âge. Cela signifie peut-être que j'ai mené une vie moins aventureuse qu'elle. Pour autant, je ne suis pas sûre qu'elle ait été moins intense... et j'ai été ravie de découvrir les expériences qui lui ont fair dire 'I am I am I am'
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Maggie O Farell a croisé dix sept fois la grande faucheuse. Dix sept expériences, plus ou moins rapides, importantes, iminentes, mais toujours intenses, traumatisantes. Dix sept épisodes de sa vie d'enfant, de femme, de mère, qu'elle raconte ici, sans vraiment de chronologie (mais est-ce nécessaire ?).
Un témoignage très original dans sa construction et dépeint dans une belle langue, vive, sensible, qui m'a beaucoup plu.
Cependant la fin m'a laissé un peu essoufflée... toutes ces souffrances, tout ce stress, toutes ces expériences traumatisantes, c'est trop. Pour elle, évidemment, et quel courage, quelle force de caractère ! mais ce fut un peu trop pour moi également...
Ceci étant, l'écriture m'a vraiment séduite et me donne très envie de poursuivre ma découverte de cette auteure, avec la lecture de ses romans, cette fois.
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Maggie O'Farrell est une guerrière.
Dans cette oeuvre autobiographique, elle raconte les multiples fois où elle a frôlé la mort ; beaucoup plus que la moyenne des gens, probablement. À un ami remarquant qu'elle n'avait pas eu de chance, elle répond étonnée que si, justement : elle a survécu à tout cela.
Ce sont tout d'abord les souvenirs d'une enfant agitée, "escapologist" qui se met en danger en courant partout. Mais cette enfant, atteinte par une maladie invalidante, passe une année totalement paralysée, et ne remarche qu'au prix d'une rééducation épuisante (et de séquelles à vie). Elle est ensuite une adolescente rebelle, fugueuse, voyageuse, qu'on suit avec effroi dans ses prises de risques.
Devenue mère, elle subit des expériences traumatisantes en milieu médical, dénonçant au passage les maltraitances commises par des spécialistes arrogants.
Elle nous livre ainsi ses réflexions sur la mort, l'amour, la maternité, avec une écriture d'une grande acuité, pleine d'émotion et de poésie, mais ne manquant pas d'humour - chaque chapitre porte le nom de la partie du corps mise en danger, accompagnée d'une illustration de manuel d'anatomie vintage.
Lorsque le livre se termine sur le chapitre "Ma fille"- relatant le désarroi des parents d'une enfant gravement allergique - on est conquis et notre coeur bat avec le sien, ce bon vieux battement de coeur qui scande "I am, I am, I am".
Traduction de Sarah Tardy.
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17 nouvelles, 17 presque morts, 17 fois où Maggie O'Farrel raconte dans I am, I am, I am, non pas sa vie mais sa mort, 17 fois où la vie a repris le dessus.

N'est ce pas exagéré ? 17 fois pour une femme née en 1972 c'est beaucoup et puis écrivain ce n'est ni cascadeur, ni reporter de guerre ni soldat.

17 fois face à la mort
Pourtant dès le première chapitre de I am, I am, I am, la mort est bien là, sous différents traits, touchant à chaque nouvelle à une partie du corps différente, des poumons au coeur en pensant par le crâne ou la colonne vertébrale (cela sert de titre à chaque nouveau chapitre).

Maggie O' Farrel a-t-elle été particulièrement malchanceuse pour côtoyer si souvent la Grande Faucheuse ? ou au contraire, incroyablement chanceuse d'y échapper tant de fois ? Elle a une façon de l'affronter, sans détour, droit dans les yeux, la défiant presque parfois.

Peut-être parce que celle-ci a plané très tôt au dessus de sa tête, bien avant qu'elle ne devienne une écrivaine. Est ce parce qu'elle a eu conscience, bien plus qu'un autre enfant, du caractère fragile de la vie, qu'elle a vécu les choses à 200 %, surestimant parfois ses forces ?

Effroi, peur, résignation (quand un avion dans lequel elle se trouve manque de s'écraser), instinct de survie, impuissance face à la souffrance d'un enfant mais aussi espoir et humour, Maggie O'Farrel dissèque et analyse ses propres réactions face à la mort et à la douleur avec une incroyable finesse.

Autobiographique mais universel
I am, I am, I am aurait pu être égocentrique, égocentré, le livre, pourtant très autobiographique, est au contraire universel.

Lorsqu'elle écrit sur ses fausses couches, chacun de ses mots ont trouvé un écho en moi : le sentiment d'être la seule à être passée par là (non pas que ce soit particulièrement rare mais c'est tabou et aucune amie, femme de mon entourage ne m'en a jamais parlé), la culpabilité, l'absence de psychologie du corps médical, le déni, la colère, l'abattement, Maggie O'Farrel décrit tout. Je pensais pouvoir revivre ces moments là sans affect. La cicatrice est refermée depuis longtemps mais elle est toujours là.


Lorsque Maggie O'Farrel évoque combien le train train lui pèse et l'étouffe (alors qu'il est sensé être rassurant, une sorte de cocon), ses mots aussi résonnent :

J'avais passé des années à me sentir déroutée, déconcertée par le sentiment d'insatisfaction, de contrainte que me procurait le quotidien, la monotonie, la pénibilité de la routine, par cette répétitivité qui agace, qui chatouille ».

Au fur et à mesure de ma lecture, j'ai été glacée d'effroi, rageuse contre ce gynécologue trop imbus de lui même pour avoir le moindre doute sur ses décisions médicales, j'ai suffoqué et manqué d'air, j'ai retenu mon souffle, comme si c'était moi qui était en danger.

Intense et bouleversant, I am, I am, I am, nous rappelle combien la vie tient à un fil.
Lien : http://www.chocoladdict.fr/2..
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"I am, I am, I am" Maggie O'Farrell, 2019, Belfond

Il s'agit de dix-sept tableaux vivants, indépendants les uns des autres, racontant une histoire à travers une partie du corps qui a failli entrainer la mort. Dix-sept petites descentes aux enfers, mais dix-sept retours à la vie.

L'accouchement du premier enfant qui devient une menace de mort pour la mère et l'enfant parce que l'obstétricien prend la mère pour une snob qui ne veut pas accoucher par les voix naturelles; il lui refuse une césarienne.

Le couteau sous la gorge pour quelques billets.

Le cerveau qui sait qu'on a en face de soit le mal à l'état pur, que par la plus grande des audaces, la plus risquées des stratégies, on lui échappe. La prochaine jeune fille n'aura pas cette chance…

La vague qui vous submerge, les poumons qui brûlent, les cailloux qui arrachent la peau. Et une fois rejetée sur le sable, personne n'a rien vu de votre combat pour survivre.


Maggie O'Farrell écrit ces dix-sept moments de vie autobiographiques d'une plume élégante et littéraire. Elle montre par ces courts récits qu'une vie passe vite, qu'une vie est fragile et qu'elle l'est d'autant plus quand on est une femme.

Je viens de faire une rencontre avec une grande auteure et avec un récit pour le moins original.
Vraiment, je recommande!

Traduction Sarah Tardy

Lien : https://carpentersracontent...
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Dans ce recueil de 17 nouvelles, l'auteur de « L'étrange disparition d'Esme Lennox » (entre autres, mais s'il n'y en a qu'un…) nous offre des récits autobiographiques avec pour points communs des instants où sa vie aurait pu se terminer prématurément.
Et il faut reconnaître que Maggie O'Farrell a un sacré passif en la matière ! Dès l'enfance, petite fille agitée, elle a failli se faire couper la tête par le coffre de la voiture parentale. Puis à 11 ans, elle tombe gravement malade et connait de nombreux mois d'hospitalisation et de rééducation (encéphalite).
Tout cela aura de nombreuses conséquences dans les années qui suivront et notamment des accouchements difficiles (ainsi que des fausses couches). Mais aussi, Maggie O'Farrell nous raconte comment elle fut agressée au Chili, ou lors d'une randonnée solitaire, elle croisa un homme qui s'avérera être un meurtrier.
Enfin la dernière nouvelle nous raconte la difficulté que rencontre sa fille avec de graves allergies, et la vie angoissée des parents qui en découle.
Tout cela pourrait paraître macabre, mais ce recueil de récits est avant tout un hymne à la vie, nous décrivant la rage de vivre d'une jeune fille, puis jeune femme, puis mère face à une adversité souvent invisible.
Avec parfois une pointe d'humour, et souvent beaucoup de sensibilité, l'auteure nous montre également le regard des autres face à de tels événements : parfois une réelle empathie, souvent une gêne ou une pitié déplaisante et même parfois un dédain qui peut s'avérer tragique si cela vient du personnel médical.
Sans être le meilleur livre de Maggie O'Farrell (« L'étrange disparition… », je vous dis), ce livre ne peut que plaire aux aficionados de l'auteure.
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A travers l'histoire de ses petites morts, ces instants fugaces où elle est passée près du vide, Maggie O'Farrell crée une oeuvre sensible, pudique et saisissante. Une plongée dans l'intime qui dévoile, à travers une écriture fluide, une délicatesse des mots et une douceur des sens parfaite, mettant en valeur ces instants où tout peut basculer. de sa rencontre avec la maladie, très jeune, à celle qu'elle fait avec le Mal en passant par les accidents évités de peu, l'auteure nous plonge dans un inventaire autobiographique surprenant et humaniste. Une ode à la vie, une invitation à la vivre pleinement et sans retenues. Un récit – classé par organes – tour à tour glaçant, émouvant, intriguant, mais toujours magnifique sous la plume sûre et vivante de Maggie O'Farrell.
Lien : https://leblogdeyuko.wordpre..
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Avec singularité sensibilité et sincérité, Maggie O'Farrell confie au lecteur des épisodes de sa vie. Une vie chahutée qu'elle déplie en morceaux choisis. Chacun des dix-sept récits évoque une partie de son corps. Un corps à plusieurs reprises, heurté. Et la mort convoquée, toujours. Des cicatrices, des blessures, des angoisses qui, visibles ou non ne se refermeront jamais. Maladies, accidents, agressions, grossesse difficile, fausse couche, encéphalite, autant d'épreuves douloureuses racontées sans pathos et sans effet de manche. On est dans l'intime. Sur et sous la peau, dans la tête et le regard. Les expériences de la vie de l'autrice déferlent et résonnent parfois au fil de la lecture. Des échos universels. I am I am I am, un titre emprunté à Sylvia Plath qui dans son roman La cloche de détresse écrivait : « I took a deep breath and listened to the old brag of my heart. I am I am I am » – J'ai respiré profondément et j'ai écouté le vieux battement de mon coeur; Je suis je suis je suis. » À travers ce livre dévoilant ses propres souffrances et la mort s'immisçant Maggie O'Farrell écrit – décrit – le souffle de vie, la survie. Chance, résistance, courage, destin, création littéraire, on ne sait pas ce qui à chaque fois, la sauve, – et en même temps on est abasourdi devant tant de malheur – mais avec empathie on avance à ses côtés. Ses récits détaillés, précis, sensitifs, émaillés de colères de peines d'espoir d'autodérision aussi sont prenants et puissants. Et en filigrane, elle parle de la place de la femme, des défaillances dans le système de santé de son pays, de la violence que peut parfois revêtir la parole. Et quand le dernier récit, sur sa fille, a défilé sous mes yeux – une course haletante contre le temps/ un temps précieux pour une vie -, les larmes retenues jusqu'alors se sont mises à couler… puis j'ai respiré profondément.
Lien : https://lesmotsdelafin.wordp..
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