Death Note, Tome 8

Ces dernières semaines, c'est compliqué au niveau lecture, j'ai besoin de récits rapides, mais bien faits. Donc j'hésitais à lire ce huitième tome : certes l'histoire est bien ficelée, mais elle est aussi très dense… comme les précédents, en fait.
Et puis, j'avoue que dans l'animé, je ne suis pas fan de la partie avec Near et Mello, les successeur du véritable L, cependant dans le manga, c'est bien plus intéressant.

Mello a enlevé Sayu, la soeur de Light afin d'obliger leur père, qui a pris la relève du directeur de la police japonaise suite à son assassinat orchestré par Kira, à lui remettre le death note en sa possession. Vous avez réussi à suivre ?
Light est totalement dépassé par les événements et c'est étonnant de découvrir son incompétence face à une situation mondiale et une organisation criminelle qui met les moyens financiers et humains pour arriver à ses fins.
C'était presque décevant de sa part, mais c'est presque normal, ça fait 4 ou 5 ans qu'il se complaît dans son petit monde de psychopathe, il est rouillé. En tout cas, il a sacrément vrillé.
Misa est toujours aussi conne, elle est énervante , heureusement qu'elle n'est pas trop présente.
Elle n'est d'ailleurs pas la seule, l'équipe de policiers avec qui Light fait équipe sont tout aussi stupides. Ils se laissent tous manipuler et personne ne voit rien, personne ne doute parce que Light est génial, intelligent itou… bougre d'imbéciles !

En ce qui concerne l'intrigue, je n'ai rien vu venir de ce qui se passe au fil des pages. J'ai bien eu quelques certitudes, notamment sur les engagements De Mello, mais pour le reste… nada. C'est tellement agréable de se laisser surprendre.
Les dessins sont superbes comme toujours. J'ai parfois du mal à me dire que cette saga a plus de quinze ans. Je prends un plaisir fou à m'attarder sur chaque détail que ce soient les vêtements, les positions corporelles, les cheveux…
J'ai adoré ce huitième tome. J'ai hâte de lire le prochain.
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• Death Note, Tome 8
• Tsugumi Ohba (Scénario) & Takeshi Obata (Dessin)
• Kana

Le tournant de la série à eu lieu. l'est mort, Light a ainsi pris sa place, il est désormais l'et Kira !
Enfin ça c'est si tout c'était passé pour le mieux selon ses plans.
Bien entendu, avant de mourir, l'avait prévu quelques précautions, parmi lesquelles, un successeur, ou même plutôt deux successeurs !
Ainsi, Light ne se retrouve pas contre un mais deux nouveaux L.

Si j'avoue accroché un peu moins à ce changement, il faut avouer qu'il y a tout de même du bon et que le scénariste a encore des idées en tête.

Un tome 8 qui voit débarquer de nouveaux personnages après quelques années de suprématie pour Kira qui le replonge dans les stratagèmes et les rebondissements. Encore un excellent moment d'enquête et de tension.
Une série cultissime et on comprend pourquoi avec le développement psychologique des personnages, les dessins qui sont saisissants d'expressivité et de détails. L'humour acide, l'action s'en cesse renouvelée... du must !

Avec ce nouveau tome, on en découvre un peu plus sur les personnages De Mello et Near. Pour moi, ce tome est légèrement en deçà des tomes précédents, conséquence logique de la mort de L, personnage central que j'aimais particulièrement. Fait intéressant, j'ai la sensation que Light perd un peu pied et se montre moins intelligent dans ce tome-ci...

Je retire ce que j'ai dit ! Finalement cette seconde partie est tout aussi bien que la première !! Je trouve même qu'il y a bien plus d'action et de suspense ! C'est chaud tout le long !
J'ignore si c'est voulu ou non, mais Light est complètement dépassé dans ce tome ! Mais je suppose que c'est bien volontaire puisque ça fait 4 ans qu'il se repose sur ses lauriers, et puis à la fin il se reprend un peu. En tout cas c'est très réaliste !
J'avais oublié qu'un nouveau dieu de la mort fait son apparition, il est génial en tout cas ! Il m'a bien amusé, ce Sidoh !
J'ai pu me rendre compte avec ce tome que Light est vraiment très impulsif, fier et orgueilleux, encore plus que d'habitude, ce qui m'a amené à comprendre le pourquoi de la fin de la série. Ça ne pouvait pas se passer autrement.
Bref, dans ce volume il est encore plus abject, notamment avec Misa, il ne pense qu'à lui ! Il a de la chance qu'elle reste avec lui !
Le thème de l'antihéros est vraiment bien maîtrisé, car on a malgré tout envie que ce soit lui qui l'emporte, parce que c'est lui que l'on suit depuis le début. de plus, son principal opposant manque de charisme et paraît un peu fade...
En bref, un huitième tome sur les chapeaux de roues, impossible à lâcher ! Un pur régal ! C'est sans aucun doute mon tome préféré des 8 premiers !

Après le jeu à deux entre Kira et L, on poursuit le récit avec un jeu à 3 bien complexe : N (Near), Mello et Light qui joue lui 3 rôles ! L, Light et Kira… de quoi s'arracher les cheveux ou avoir des troubles de l'identité pour Light ! D'ailleurs celui-ci devient de plus en plus calculateur et insensible - au delà de son peu de considérations pour Missa dont il se sert comme d'un pion, il exprime à peine des émotions pour sa famille, notamment lors de l'épisode du rapt de sa soeur.
C'est toujours un récit très prenant et finalement pas si compliqué à suivre malgré les multiples plans des protagonistes. Je commence tout de même à saturer de ces histoires de récupérations de cahiers, de ses combats dans l'ombre et ces multiples rebondissements qui font que le jeu du chat et de la souris continue sans fin.
Il faut reconnaître que l'on ne s'ennuie pas une seconde dans la lecture de ces albums mais le but de chacun des camps devient de plus en plus obscur et les actions des personnages deviennent de plus en plus irréalistes (comme le coup de l'avion détourné) ou trop facile (le Dieu de la mort qui arrive au bon moment par exemple).
Bref, une série toujours très passionnante mais dont l'histoire commence a être à bout de souffle, il est temps de conclure les aventures de Kira !

L est mort mais il avait prévu des successeurs qui vont s'affronter pour savoir qui est le meilleur. C'est toujours un combat pour trouver qui est Kira. Je trouve ça formidable, car on s'attendais à la fin d'une sage, mais la relève arrive, prouvant que l'est un géni.

Un grand tournant est pris avec le tome 8 de Death note, en effet, l'est mort et j'ai bien du mal à le croire, j'attends désespérément le revirement de situation qui le ramènera à la vie, mais aura-t-il lieu ?
En attendant, Light est obligé de composer avec deux nouveaux ennemis, Near avec qui il collabore et Mello, qui semble prêt à tout pour posséder le carnet.
Ce nouveau tome se passe principalement aux Etats-Unis, Light agit toujours avec son exceptionnelle intelligente qui en fait un personnage vraiment très intéressant, Misa est peu présente dans ce nouveau volet, servant plus de personnage secondaire et le reste de l'équipe d'enquêteur est toujours fidèle à Light, écoutant ses conseils et ses raisonnements.
J'apprécie toujours autant l'univers de Death note, c'est avec beaucoup d'intérêt que je me plonge dans cette série de manga, est-ce que j'apprécierai autant ce genre de lecture quand cette série sera terminée, à suivre !!!

Pas de tranquillité pour le lecteur non plus. Au lieu d'avoir un seul ennemi, Kira en a maintenant 2. Et pas des gens sans envergure, ni intelligence, des vrais adversaires à sa mesure. On connaît les identités de tous les joueurs, il reste à définir des règles du jeu. Un trio où tous veulent sortir vainqueur qu'importe le nombre de morts laissés sur le chemin. Quelles compromissions sont-ils prêts à faire ? A la fin, peut-il vraiment en rester qu'un ? Tous les ingrédients sont posés pour inciter le lecteur à poursuivre la série pour savoir comment chacun va essayer de piéger l'autre. Un nouvel acteur apparaît avec un nouveau dieu de la mort au physique d'une glace qui fond. Va-t-il apporter quelque chose ? On le sera dans la suite. Les pages se tournent avec curiosité et attention car beaucoup d'informations sur les personnages. Mello malgré une apparence féminisme est un garçon. (N'y voyez là aucune remarque transphobe.) Dommage d'avoir choisi un combat de coq sans y mettre une pointe féminine à part Misa, jeune femme assez simplette. Espérons qu'il ne faut pas y voir un message que seul les hommes sont doués d'intelligence. Fermons la parenthèse. La fin de la série va arriver assez vite, espérons que Tsugumi Ohba a su trouver tous les éléments pour surprendre et combler son lectorat. Nous le serons bientôt.
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Exit l'mais Light découvre ses avatars : N (Near, blondinet maussade et au dessin inachevé qui donne une impression de surexposition lumineuse) et Mello (dadais androgyne léchant comme un bébé son éternelle tablette de chocolat), rivaux dans un orphelinat où l'on formait les futurs L. Non, la vraisemblance n'est depuis longtemps plus une priorité de ce manga... Grosse artillerie : détournement d'avion, missile, corruption de président des Etats-Unis... Light est devenu très tranquillement cynique et mauvais et on commence à douter même de l'affection pour ses proches (quant à Misa, il est douteux qu'il la voie seulement comme un être humain) : crée-t-il vraiment un monde idéal ? cette question ne l'effleure pas.

Je commence à m'embrouiller un peu dans les échanges de cahiers ; je crois que je ne sais plus comment cela fonctionne et quel était le début de la chaîne d'échange. La nouvelle d'un "troisième cahier" m'est un peu tombé dessus : quand ? où ? qui ?!... J'ai dû avoir une absence. du coup, entrée en scène d'un troisième dieu de la mort, un peu nigaud mais très embêté de s'être fait voler son cahier par Riûk... un peu les seuls bons moments du tome 8.
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