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3,53

sur 411 notes
"On pourrait dire que nous sommes dans la même branche, vous et moi, nous travaillons tous les deux dans la lumière." Voilà ce que Dýja dit à l'électricien, mari d'une jeune accouchée dont elle s'est occupée.

Dýja est sage-femme.
D'ailleurs, cette année-là, le mot préféré des Islandais est Ljósmóđir...sage-femme. Mère de la lumière. C'est l'occasion pour Dýja de parler de son métier et surtout de sa Grand tante Fífa qui l'exerçait avant elle. de cette lignée de sage-femmes à laquelle seules sa mère et sa soeur échappent. Une qui travaille dans les pompes funèbres et l'autre météorologue. Des tempêtes entre la vie et la mort.
Dýja a récupéré l'appartement de sa grand'tante, ses énergies et ses écrits surtout qu'elle s'efforce de retranscrire. Comprendre l'être humain fragile et vulnérable.
Tout comme ce touriste australien installé au-dessus de chez elle. Qu'est-il venu faire ici ?

Un roman sensible, drôle et poétique comme l'aurore boréale inonde la nuit obscure.

"Planifier, c'est mourir, de même qu'achever quelque chose."

[Il s'agissait]..."mais aussi de comprendre pourquoi certains cherchent la beauté et d'autres non."
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Audur Ava Olafsdottir met en scène Dyja, sage femme, qui retourne vivre dans l'appartement de sa tante disparue, elle même sage femme.
Ce livre est une "tranche de vie", son quotidien dans cet appartement où tout appartient au passé, à un moment particulier : Noël approche et une tempête est annoncée.
En retrouvant une ancienne caisse de bananes Chiquita contenant des écrits de sa tante, elle va au fur et à mesure de sa lecture, mettre en lumière un patchwork de ses réflexions(et interrogations...) sur la naissance / la mort, la lumière (on est en Islande...), la fragilité de l'homme par rapport à l'animal.
Ce livre est une lecture très agréable, poétique, voire mélancolique par moments mais déroutante: il n'y pas vraiment de début ni de fin; les réflexions (ou obsessions ? ) de la tante sont un peu répétitives sur certains sujets.
Il faut se laisser porter par l'histoire, et apprécier: le format plutôt court du livre convient au sujet.
Pour moi ce livre est une réussite mais je comprends que pour certaines personnes, le sujet un peu particulier du livre fasse que "ça passe ou ça casse" !




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Savez-vous comment en Islande s' appellent les sage-femmes ? ljόsmόđir, mot à mot « mère de la lumière » , c'est le mot de leur langue préféré des islandais . Avec cette traduction vous avez tout suite une idée de la tonalité de ce roman.
Auđur Ava Όlafsdόttir y évoque mine de rien et sans en avoir l'air le deuil, la transmission entre générations , le sens de la vie  ; des mots bien ronflants jamais écrits. On est touché par la simplicité et la légèreté avec laquelle elle suggère ces questions existentielles au travers du quotidien et des pensées de D'yja , sage femme qui met au monde son 1922 ème bébé …
un vrai régal à lire et à relire !
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J'achève à l'instant La vérité sur la lumière et comme toujours avec Audur Ava Ólafsdóttir, j'ai envie de rester encore un peu avec ses personnages. Malgré la longue nuit qui s'éternise, on ne perd pas espoir de revoir un jour la lumière, partout présente dans ce livre. Dyja, sage-femme descendante d'une lignée de « Mères de la lumière » nous fait part de ses réflexions à propos des écrits hétéroclites de sa grand-tante, qui cherche à percer les mystères de la vie, de l'humain autant que de la nature. Un récit tout en poésie qui confirme le talent d'Audur Ava Ólafsdóttir pour nous conter des histoires si originales.
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Cette critique est susceptible d'être biaisée. Babelio ne garantit pas son authenticité

Un récit chaotique, bourré de citations soit disant de sagesse. Les descriptions sont trop détaillé et sans intérêt. Peu d'actions. Les quelques dialogues sont pauvre de contenue, style : T'es où ? Tu fais quoi ?Beaucoup de réflexions sur le sens de la vie , qui ne dépassent pas des généralités vide.
Des sage femmes pris pour des femmes de sagesse, quoiqu'elle disent. le titre exprime bien le caractère du livre: LA vérité sur LA lumière.
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