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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Le voyage en compagnie de Bernard Ollivier continue. Jours après jours, pas après pas, aventures après mésaventures, rencontres après rencontres... Ce livre, ce guide, ces souvenirs de l'auteur retranscrits nous emportent un peu plus loin vers l'Est, sur la route de la soie, du coton, de l'or, de l'Histoire. Magnifiques rencontres, découverte d'autres cultures, ce texte de voyage inspire.
J'ai hâte de partir pour la 3ème année avec M. Ollivier.
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L'auteur, la soixantaine passée, bon marcheur, décide de suivre la route de la soie d'Istanbul à Shanghai en quatre fois, entre 1999 et 2001.
Je n'ai pas lu le premier livre, mais cela n'a pas d'importance. Je vais m'attaquer aussi au troisième que je viens d'emprunter à la bibliothèque car je trouve ce récit intéressant.
Dans le tome 2, Bernard Ollivier marche d'Anatolie jusqu'à Samarcande en passant par l'Iran, le Turkménistan et le Kazakhstan. Si l'administration douanière de chaque pays est pesante, le reste de la population se montre en général très hospitalière et chaleureuse.
Ces contrées sont vues par l'oeil d'un occidental, avec ses défauts, mais la relation de voyage ménage un certain suspense : appréhensions lors de la traversée du désert et peur justifiée des voleurs. Et quel courage !
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Je continue la marche sur la route de la soie, au côté de Bernard Ollivier. Mais pour moi, pas de sueur, ni poussière et chaleur, encore moins de courbatures... Mais de belles rencontres, de beaux paysages, quelques mésaventures; tout ceci sans quitter mon canapé, virtuellement: merci à Bernard, merci au carnet de voyages!!!!!
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Le premier récit du voyage à pied de Bernard Ollivier le long de l'ancienne Route de la Soie s'achevait avec son rapatriement en France pour raisons sanitaires. Quelques mois plus tard, l'auteur revient à l'endroit de son abandon, puis reprend sa marche en direction de Samarcande, via l'Iran, le Turcménistan et l'Ouzbékistan.
Sur la forme, ce récit de voyage ressemble beaucoup au premier : paysages très variés et échanges enrichissants avec les personnes croisées.

La traversée de l'Iran amène l'auteur à exprimer franchement ses critiques négatives sur le régime politique iranien et sur l'omniprésence et l'hypocrisie de classes religieuses influentes. B. Ollivier met notamment en évidence le décalage entre les attentes d'une grande partie de la population iranienne (de religion musulmane) et les élites religieuses (ou politiques) qui prétendent les représenter.
La traversée d'autres pays montre quelques dégâts du totalitarisme et de l'impérialisme soviétique. L'auteur constate cependant que le chute de l'Empire n'a pas forcément amélioré les choses dans certaines de ses anciennes républiques : régimes politiques de même nature, importance de la corruption, activités économiques encore tournées vers l'extérieur au détriment de l'environnement et de productions locales pourtant nécessaires (spécialisation dans la culture du coton).

En résumé j'ai trouvé ce second tome aussi intéressant que le premier, même si a priori les pays traversés ici éveillaient moins ma curiosité que la Turquie.
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Ce second tome démarre là où s'était arrêté le premier : à la frontière turco-iranienne. L'auteur reprend sa marche, au départ avec peine puis avec allégresse. le pays traversé est différent, et sa culture et ses coutumes le sont également.
Il semble à première vue plus difficile de se loger et de voyages en toute sécurité. de plus, un grand désert à traverser s'annonce, de près de 200 kilomètres. L'auteur va user de toute son astuce pour transporter les 10 litres d'eau qui lui sont nécessaires uniquement pour boire chaque jour.
Les paysages changent mais le même esprit de marche est là : marcher pour voir des beautés architecturales, rencontrer des peuples plus que réaliser des prouesses. L'écriture est simple et moins de détails quotidiens sont donnés, mais plus une vue globale tous les deux ou trois jours des événements vécus.
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Notre auteur reprend du service après quelques mois pour récupérer et se retaper!
Et une étape de plus de 2700km de l'Iran jusqu'à Samarcande ! D'abord une très grosse étape en Iran qui donne vraiment envi de découvrir ce pays et ses habitants, puis le désert de Karakoum où les températures flirtent les 50 degrés ! Puis le Turkménistan et l'Ouzbékistan ! Bref j'ai hâte de démarrer le troisième tome pour continuer à voyager et rêver au côté de Bernard Ollivier !
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Bernard Ollivier a repris sa route là où, malade, il l'avait laissée 8 mois plus tôt, à l'est de la Turquie, à deux pas de la frontière Iranienne. Et ce deuxième parcours devra le mener à Samarcande: toujours seul, et toujours à pied.
Il se retrouvera - en plein été - dans un désert torride et face aux reliefs d'immenses chaînes de montagnes. Entre le "grand" Iran et l'immense Chine, 3 "petits" pays: le Turkménistan, l'Ouzbékistan (fin de ce second livre à Samarcande), et (mais ce sera pour le troisième livre), le Kirghizstan. Il rencontrera, encore et encore, toujours les mêmes embûches: tracasseries des policiers et des douaniers, parfois corrompus, filous petits et grands prêts à fouiller son sac, prix multipliés par dix, cadeau à l'étranger. Mais la force de B.Ollivier est qu'il sait se détacher de ces aléas, et ne voir, ne retenir, que ce qu'il y a de positif dans son expérience. Il y a des filous, mais aussi beaucoup de gens généreux, simples, souriants, accueillants, désintéressés: ce sont ceux-là qui l'intéressent, et il est probable que cela se sent, car la facilité avec laquelle il obtient presque chaque jour le gite et le couvert de la part d'inconnus est certainement du à son attitude, sa façon d'être, naturellement tournée vers les autres.
Aussi ce second tome apparait-il plus intéressant que le précédent. On comprend au fil des pages que l'expérience de B.Ollivier, folle, évidemment, a un sens, et que ce n'est en rien par vantardise qu'il nous la conte. Il a voulu voir le monde, le sentir au plus près. Et pour cela, en marchant. A la fin de ce second volume, il nous conquiert davantage, et sa générosité, ressentie par ses hôtes éphémères tout au long de son parcours, agit aussi en séduction, finalement, vis-à-vis de ses lecteurs.
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Passionnant. On suit les angoisses, les inquiétudes, les attentes du marcheur. Sesdéceptions et ses incroyables rencontres. On découvre un pays fascinant, riche de ses habitants et de sa culture, l'Iran.
Je vais poursuivre avec B. Ollivier la marche vers Xi'An dans le tome 3, mais d'abord, je fais une pause, comme lui!
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Véritable invitation au voyage... L'auteur nous embarque avec lui dans son périple (dans ce deuxième tome : l' Iran) et nous fait partager avec style ses découvertes et ses réflexions. Passionné par la Route de la Soie, il nous fait partagé ses connaissances sans transformer son carnet de voyage en livre historique. Bref, carnet de voyage très bien écrit, nourri de descriptions géographiques, de découvertes, d' anecdotes et de rencontres émouvantes, drôles et parfois effrayantes.
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J'ai poursuivi ma lecture avec le second tome. B.OLLIIVIER repart exactement, et il y tient, de l'endroit où il avait dû abandonner.
Les premiers pas sont difficiles, il faut une remise en route !!!Mais vite, le rythme est retrouvé pour poursuivre en direction de Samarcande, via l'Iran, le Turkménistan.
L'envie de partager avec les habitants le pousse en avant ; il rencontre plus de difficultés à se loger en Iran, et la sécurité n'est pas assurée car même les policiers sont des voleurs.
Les paysages changent, et l'approche du désert lui doit d'être très ingénieux pour emporter l'eau nécessaire. Il se fabrique un petit chariot « EVNI » qu'il doit tirer.
L'écriture est toujours aussi simple, mais le quotidien n'est pas relaté systématiquement, et laisse place à plus de réflexions ; l'auteur nous livre ses pensées sur l'Iran, et l'emprise religieuse, ou avec les autres pays, les dégâts du passé du totalitarisme soviétique et l'obligation d'une production intensive de coton.
Ce second tome, par sa découverte, culturelle et humaine, des pays traversés, me donne davantage envie de continuer cette lecture…..donc, je prends en mains le Troisième tome.
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