Le Murder Club du jeudi

Un mystère confortable britannique , mais j avoue ne pas y avoir retrouver l humour godon qui me plaît sans remonter à Jérome K Jérome ou Oscar Wilde celui de Graham Greene par exemple , mais plutôt celui grosse farce lourdingue des Yankees ou alors à la limite Mister Bean ( voir le chapitre du thé avec les policiers) .L intrigue s 'enroule en noeuds plus ou moins Gordiens qui se révèlent au final peu crédibles , limites ridicules . Les personnages maintenant , certes il faut avoir une vision particulière pour se réunir afin de résoudre des crimes passés , mais quelle vie ont donc eu ces vieillards pour cacher tant de malhonnêtetés , de crimes ?Aucun ne semblent avoir vécu l' existence simple du commun des mortels , espionnage, assassinat , psy déjanté ( cousin d'Hannibal Lecter pi t'-être ) syndicaliste ringard avec progéniture limite braqueur . Les protagonistes secondaires sont tout aussi inquiétants , escrocs , trafiquants de drogues , plusieurs assassins et parfois récidivistes dans le meurtre , suicidés à la chaîne de chagrin ou de remord , cette peur permanente de la maladie et de la mort ( cela est plus réaliste).Les flics sont d utiles débiles gentillets . Je me suis demandé par instant si toutes ces effrayantes vieilles personnes n 'étaient pas enfermées dans un centre pénitentiaire ou un asile pour privilégiés dans lequel l une des pensionnaires ( ancienne infirmière dragueuse soft )rédige des chapitres fantasmés de sa vie avec des amis imaginaires ? Si c est cela bien joué l 'auteur .Sinon effrayant vous dis - je !!

Avec ce roman, j'ai fait du patinage artistique, mais à ma manière personnelle, c'est-à-dire que j'ai fait beaucoup de surplace, patiné beaucoup pour avancer peu et que je me suis gamelée souvent durant ma lecture.

Et oui, je suis passée artistiquement à côté de cette lecture que ma copinaute de LC m'avait proposée et qui me tentait bien.

Le courant entre le roman et moi n'est pas passé, et ce, dès, le départ.

Pourtant, le pitch était intéressant, mais voilà, le style d'écriture m'a semblé plombant, les personnages inintéressants, casse-pieds à la limite et lors de mes pitoyables débuts, je ramais grave dès le premier chapitre.

Comme parfois ça se débouche après un certain moment, j'ai persévéré, je me suis accrochée à tout ce qui passait devant ma main, j'ai tenté d'avancer pour tomber sur le moment où, enfin, nous allions nous rencontrer, le récit et moi, mais peine perdue, ce moment n'est jamais venu.

Sautant des lignes, puis des paragraphes, puis des pages, j'ai essayé d'avancer en mode rapide en espérant, lors de mes arrêts, trouver lecture à mon pied, mais jamais ce n'est arrivé !

Merde alors, ce roman est N°1 des ventes en Angleterre et avec moi, il finit dans les lanternes rouges des lectures 2021 ! Là, j'ai vraiment tiré le gros lot…

Puisque je voulais connaître la fin, je suis allée lire les derniers chapitres afin de tout savoir, mais même là, cela n'a pas éveillé plus d'intérêt que pour l'étude des bousiers en milieu naturel. Rien, nada, encéphalogramme tout plat, aucun plaisir de lecture, du début à la fin.

Sans Bianca pour me proposer ce roman en LC, jamais je ne l'aurais coché, mais j'espérais faire une agréable découverte, comme avec d'autres romans qu'elle m'a déjà proposés en lecture. Ben, c'est loupé pour moi, mais pour elle, c'est une réussite totale ! Je vous laisse aller lire son avis, meilleur que le mien.

Lien : https://thecanniballecteur.w..

Ça part dans tous les sens, et souvent de manière anecdotique. L'auteur est fâché avec la conjugaison, c'est agaçant et la lecture est parfois pénible.
Je n'ai pas trouvé les personnages sympathiques.
De rares traces d'humour
Et pour finir, ce pourquoi on lit un polar c'est pour la résolution des énigmes La fin n'est pas claire du tout, il manque un bout, à mon avis.
L'auteur s'est tellement démené pour multiplier les indices et les fausses pistes, qu'à la fin je n'ai pas compris pourquoi l'assassin avait tué. A mon avis, y a un bout qui s'est perdu dans le trou où finissent tous les bouts.

J'ai eu beaucoup de mal avec ce cosy mystery. J'ai trouvé que l'intrigue était longue à se mettre en place et j'avais une impression de ne pas avancer dans l'histoire. Les personnages trop nombreux font qu'on ne s'y retrouve plus et que du coup on a du mal à s'y attacher. le suspens est omniprésent mais sans plus. Première fois que je suis déçu par ce genre littéraire.

Un quatuor octogénaire décide de vaincre l'ennui en enquêtant sur le meurtre d'un associé du directeur du village de retraités dans lequel ils habitent. Ils vont combiner leurs instincts et leurs compétences professionnelles passées (voire leur influence) pour arriver à leurs fins dans une ambiance bon enfant enfant mais non moins périlleuse. 

C'est avec regret que j'abandonne cette lecture dans laquelle je ne parviens pas du tout à me plonger...J'ai eu beau résister, je n'ai pas pu aller au-delà des 232 pages...Et autant dire qu'abandonner une lecture avant la fin est un échec pour moi :(.
Après avoir lu deux polars, j'ai voulu (re)tenter un cosy mystery, j'avais envie de rester dans une enquête mais avec un registre moins grave, dans quelque chose de plus léger : malheureusement "Le murder club du jeudi" n'aura pas eu l'effet escompté. Je n'ai pas eu d'attachement particulier envers les personnages, le côté humour british ne m'a pas convaincue et les nombreux narrateurs m'ont un peu perdue (déjà que j'avais du mal à tenir le livre ouvert). En effet, on passe de pages du journal intime de Joyce (l'une des héroïnes enquêtrices) à un narrateur omniscient qui peut-être tantôt l'un des quatuors qui constituent le murder club tantôt des protagonistes/suspects de l'histoire. Ce ping-pong dans la narration m'a clairement décontenancée. Par ailleurs, la candeur liée à l'âge des héros octogénaires pourrait être attendrissante mais cela manquait d'action, sans compter que le récit combine à mon sens trop d'histoires externes à l'enquête coupant net le fil d'ariane qu'on tente (en vain ?) de tenir.

Est ce le genre cosy mystery qui ne m'emballe tout simplement pas où est-ce le style comique dramatique de l'auteur qui n'a pas réussi à m'attirer dans ses filets ? En toute honnêteté, n'étant pas à mon coup d'essai en matière de cosy mystery (j'ai tenté Agatha Raisin, sans succès), je pense que le genre n'est tout simplement pas un met apprécié par mon cerveau.

Après avoir lu Les dames de Marlow enquêtent, j'ai été un peu déçue par ce cosy mystery.
L'énigme est bien ficelée et on a envie de connaître le meurtrier mais j'ai trouvé qu'il y avait trop de longueurs et que l'histoire manquait un peu d'action.
J'ai bien aimé la troupe de retraités menant l'enquête, mais je ne me suis pas plus que ça attachée à ces personnages, que j'ai par ailleurs trouvé trop nombreux... Et il m'a manqué cette pointe d'humour décalé que j'aime retrouvé dans ce genre de policier.
En bref, une intrigue longue à se mettre en place, des policiers du troisième âge sympas mais sans plus et trop nombreux... Ce cosy mystery est numéro 1 des ventes en Angleterre mais pour moi, il sera numéro 1 des déceptions du mois de mai...

Le murder club du jeudi nous entraîne dans un village où Elizabeth, Joyce, Ibrahim et Ron se retrouvent une fois par semaine pour ressortir les vieilles affaires de meurtre et tenter de les résoudre.

J'ai eu du mal à me mettre dans l'histoire, il m'aura fallu une centaine de pages pour adhérer à cette écriture un peu particulière et susciter un minimum d'intérêt.

Le livre terminé c'est plutôt un retour mitigé que je vais vous faire. Je n'ai pas su m'attacher à cette troupe de retraité. Aucun des personnages a su m'attirer ses faveurs. Je suivais leurs aventures sans réel enthousiasme.

Quelques longueurs et facilités narratives, par exemple les infos qu'Elizabeth récolte avec beaucoup d'arrangement m'ont fait ressentir un manque de crédibilité face à cette histoire.

J'ai récemment découvert une « petite » addiction pour les cosy mystery. Malheureusement, cette lecture fut un flop pour moi. Je ne suis généralement pas difficile, car les cosy mystery sont cosy, cocooning, sans prise de tête, mais ici ce fut un peu pénible pour moi.

La particularité de ce cosy mystery c'est qu'il se déroule avec un murder club du jeudi de 4 personnes âgées. J'ai trouvé que c'était assez orignal, l'intrigue était bien ficelée, l'humour piquant est drôle et rafraichissant, mais c'était beaucoup trop lent pour moi. Je me suis souvent ennuyée, même si je comprends le choix de l'auteur. C'est dommage.