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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Chardons sanglants.
Un auteur écossais assez atypique, fermier le jour, écrivain la nuit ! Qui semble-t-il lui porte conseil. Un nouveau personnage récurrent dans la littérature noire, dans ce premier ouvrage traduit en français.
Un début terrifiant avec le viol et la crucifixion d'une jeune femme par plusieurs hommes dont un qu'elle connaît.
Un corps est découvert par des maçons qui restauraient une maison bourgeoise. La mise en scène est macabre, six alvéoles et six bocaux. Un mystérieux signe cabalistique au sol complique le mystère qui s'épaissit encore, la mort remonte à une cinquantaine d'années !
Les anciens et les modernes rivalisent allégrement !
Mais la vie actuelle n'est guère plus apaisée et les cadavres s'accumulent autour de l'inspecteur McLean, tous trépassés de morts violentes !
Le premier de cette longue liste est Barnaby Smythe, égorgé ; signe particulier, un morceau de rate lui manque… On le retrouve dans sa bouche.
Grâce à la perspicacité de l'inspecteur en chef Duguid, ce meurtre est rapidement élucidé ; le coupable, un demandeur d'asile, donc sans papier, a eu la bonne idée de se suicider en s'égorgeant !
McLean a sa grand-mère qui se meure lentement dans un hôpital, comme c'est elle qui l'a élevé, elle compte beaucoup pour lui. Mais il a aussi quelques parts d'ombre dans sa propre existence.
Il se passionne aussi pour la défunte cherchant à savoir qui elle est et pourquoi ce crime sauvage et rituel . Peu à peu, à partir de la maison, il retrouve son propriétaire de l'époque, un nommé Menzie Farquhar, banquier de son état.
Entre en scène un nommé McReadie, voleur chevronné, au train de vie plutôt aisé.
Les morts fleurissent et pourtant ce n'est pas encore la saison, on égorge beaucoup dans la vieille Écosse… et tous ces morts ont parfois de loin ou de près un rapport avec McLean ou avec sa grand-mère Esther récemment décédée, faisant de McLean un homme très riche.
Le passé rattrape le présent…, mais l'enquête sera longue et mouvementée !
Tony McLean est le personnage central de ce roman, policier à l'ancienne dirons-nous, loin des standards actuels ; il boit modérément, ne se drogue pas et a une vie relativement rangée. Un brave homme en définitif. Mais un enquêteur tenace et habile…
Ce qui n'est pas le cas de son supérieur hiérarchique, Duguid, qui lui est le mouton noir du commissariat.
Beaucoup de personnages secondaires dans ce livre dont aucun à dire vrai (sauf Esther, la grand-mère) ne mourra de « Mort naturelle ! ».
Un récit sombre, très sombre qui mêle le roman noir, et une part non négligeable de sciences occultes avec la recherche de l'éternelle jeunesse. Pour cela, tous les coups sont permis, même les pires.
Un très bon livre qui tient en haleine jusqu'au bout des 450 pages.
Lien : http://eireann561.canalblog...
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De mort Naturelle - James OSWALD
Merci aux éditions Bragelonne pour cette découverte.
Très bon livre. Lecture claire et fluide, se lit vite.
Au début, j'ai eu un peu de mal à m'attacher au personnage principal mais l'envie d'en savoir plus sur les secrets de famille et sachant ce qu'il avait vécu nous permettent d'avoir un petit pincement au cœur pour lui à chaque coup dur.
Je lirai d'autres romans de cet auteur avec plaisir.
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Je remercie les éditions Bragelonne et Masse Critique, de Babelio, de m'avoir permis de lire et de réaliser la critique du roman de James Oswald, de mort naturelle.

De mort naturelle s'ouvre sur un prologue particulièrement difficile….la description détaillée d'un viol et d'un meurtre en réunion épouvantable…

Le roman se déroule à Edimbourg, de nos jours.
Dès le tout début du roman, nous faisons connaissance de l'Inspecteur Anthony McLean, qui, attiré par les gyrophares, les fourgonnettes de la police scientifique et les agents, s'invite sur une scène de crime. Un notable d'Edimbourg, Barnaby Smyrthe, a été retrouvé assassiné dans sa superbe maison, la gorge tranchée…. L'assassin s'est acharné sur le vieil homme qui a été éviscéré…
Pas de répit pour l'inspecteur McLean… Des ouvriers travaillant sur un chantier de rénovation viennent de mettre à jour, dans une chambre hermétiquement scellée, une nouvelle scène de crime. Il y a soixante ans, il semble qu'au cours d'un crime rituel, une jeune fille a été assassinée de manière horrible. Disposés dans des niches murales tout autour de la victime, les enquêteurs retrouvent des bocaux contenant les organes de la jeune femme, ainsi que de mystérieux objets…
De nouveaux meurtres sont perpétrés…. On retrouve le même mode opératoire. A chaque fois il s'agit d'un vieil homme à la gorge tranchée, qui a été éviscéré….
L'inspecteur McLean, aidé par le jeune agent Stuart MacBride, et le sergent Bob Laird, surnommé affectueusement Bob La Grogne tente de résoudre plusieurs énigmes… Quel est le lien entre tous ces crimes… et alors que les assassins sont rapidement retrouvés, pourquoi se suicident-ils ? Et que penser de cette vague de cambriolages qui touche les domiciles de personnes récemment décédées….
C'est une voyante, Madame Rose, qui va mettre l'inspecteur sur la voie, en lui parlant, pour la première fois, de crimes rituels et de l'Opus Diaboli, l'oeuvre du diable. Tout se passe comme si un groupe d'hommes avait réalisé un meurtre rituel, satanique, pour piéger un démon et utiliser son pouvoir pour obtenir l'immortalité… mais il est connu que les démons n'existent pas. Alors qui s'attaque à l'Inspecteur McLean ? quelle est cette voix d'outre-tombe qui le commande et le menace ?

C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai lu de mort naturelle. J'aime les romans policiers britanniques, et Edimbourg est une de mes villes préférées. L'inspecteur McLean, Stuart MacBride, Bob la Grogne et même l'inspecteur en chef Charles Duguid, surnommé Dugland, sont attachants. L'intrigue est bien menée ; James Oswald nous dépeint habilement l'inspecteur, pris entre une vie personnelle difficile, le décès de sa grand-mère auquel il était particulièrement attaché, et des enquêtes complexes.

J'aime l'écriture de James Oswald, son humour (Stuart MacBride est un écrivain, ami de l'auteur), sa façon de mêler le passé au présent. La part faite au surnaturel dans le dénouement me gêne pas. Chacun pourra à sa manière trouver une explication aux crimes et à leur déroulement…
J'aimerais terminer cette critique en évoquant le texte original du roman. J'ai lu Natural Causes en anglais. J'ai été très étonnée de voir que les deux versions du roman ne commencent pas de la même manière : en effet, la version anglaise « omet » la scène de prologue particulièrement difficile. Elle se trouve reléguée à la fin du roman, et sa lecture est en quelque sorte « optionnelle ».
Je regrette que la traduction du texte en français ne mette pas mieux en valeur et ne respecte pas toutes les nuances du texte original. Je l'ai trouvée très inégale.C'est dommage, car le texte anglais est vraiment bien écrit.

Enfin, à la grande question, James Oswald est-il le nouveau Ian Rankin, je réponds, non. Les deux écrivains, certes, décrivent des enquêtes qui se situent à Edimbourg. Mais, pour moi, le rapprochement s'arrête là. Les styles des deux écrivains ne se ressemblent pas. . Par ailleurs, alors qu'Ian Rankin s'attache, dans des romans « noirs » à dépeindre Edimbourg et plus particulièrement la corruption, on ne retrouve pas cette dimension dans le roman de James Oswald. Je pense que James Oswald est plus tenté par la science-fiction, la "fantasy", ses premiers domaines d'écriture, on retrouve cette influence, même minime, dans l'aspect "surnaturel" de Mort Naturelle.
Chacun à leur manière, les deux écrivains brossent des tableaux au final très différents. Un combat Rebus contre McLean ? Selon moi, il n'a pas lieu d'être.... Mais le débat reste ouvert….





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On l’appelle déjà le nouveau Ian Rankin ! C’est vrai que les références sont sérieuses… James Oswald, ce nouvel auteur, est comme son compatriote écossais pur malt, son héros policier McLean enquête à Édimbourg, ne dédaigne pas traîner au pub pour se changer les idées (à défaut de les éclaircir) et a une fâcheuse tendance à désobéir à sa hiérarchie… Les ressemblances pourraient s’additionner, mais on irait trop vite, dire que le second a copié le premier, ce qui serait injuste et sans aucun doute faux, car ce nouvel auteur a son style bien à lui.

L’histoire ; « De Mort Naturelle » trompe bien le lecteur par son titre, parce qu’à part une ou deux personnes, toutes les autres victimes le sont de mort violente ! On pouvait s’y attendre, car la quatrième de couverture nous met tout de suite dans l’ambiance, et dès le prologue on plonge vite dans l’horreur et l’insoutenable.
L’inspecteur McLean rentre chez lui, quand, passant devant une maison, il reconnaît toute la panoplie de l’intervention policière : voitures sérigraphiées aux lumières clignotantes, techniciens de la police scientifique, et collègues affairés. Évidemment sa curiosité est trop forte, il pénètre dans la maison, découvre un cadavre dans un sale état, et le temps d’en faire le tour, se fait sortir par l’Inspecteur-chef Duguid qui veut se garder l’affaire pour lui… Soit, son tour viendra.
Dès le lendemain il est appelé sur une autre scène de crime pour le moins insolite. Le corps d’une jeune femme gisant, crucifiée au sol et terriblement mutilée, dans une pièce apparemment close toutes parts. Sitôt les premières constatations, il apparaît que ce crime, à la mise en scène particulièrement sordide, a été commis… au siècle dernier !

Avec un rare talent, James Oswald va mener son inspecteur, flanqué d’un jeune assistant et d’un autre vieux de la vieille, au cœur d’un labyrinthe morbide, truffé de portes derrière lesquelles il trouvera certes des indices mais pas de lien entre eux. L’écriture est fluide, riche et très abordable (la traduction doit être soignée). Les personnages sont bien campés, hauts en couleurs parfois, certes nombreux, mais aux caractères souvent très forts, ce qui les rend attachants. La sensibilité et une pointe d’humour ne sont pas absents, donnant ainsi au texte une réelle consistance. L’auteur en fin d’ouvrage adressera un clin d’œil à son compère Ian Rankin, qu’on ne présente plus, et que les premières critiques « De Mort Naturelle » ne peuvent s’empêcher de rattacher à ce nouveau venu dans la cour des auteurs écossais.

Un excellent polar, rythmé, sombre et violent, au suspense mesuré et qu’on ne lâche pas facilement ! Pour un coup d’essai, quasiment un coup de maître, et surtout un auteur à suivre.

Merci encore à Babelio et aux Éditions de Bragelonne pour cette nouvelle découverte.
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Les éditions Bragelonne ont eu la bonne idée de publier ce premier roman et je remercie beaucoup Babelio de me l'avoir proposé parce que je l'ai vraiment apprécié.
Je ne suis pas une experte en thrillers, étant plutôt portée sur les romans "tasse de thé et scones" mais si les premières pages se veulent un peu terrifiantes, le mot adrénaline n'apparaît pas immédiatement, l'auteur ne s'épate pas lui même à chaque page des horreurs qu'il nous raconte et l'enquêteur n'est pas systématiquement au bord de la crise de nerfs ou au bord de la crise cardiaque;
Il y a un nombre de morts respectable, certaines étranges et bien sanglantes, d'autres spectaculaires, mais l'inspecteur McLean mène son chemin tranquillement de l'une à l'autre appuyé par une équipe soudée et proche de lui. Les personnages secondaires m'ont convaincue de même que les problèmes d'ego et d'incompétence que l'on rencontre dans le commissariat. La ville d'Edimbourg est bien présente également.
Je ne dirais pas que je n'ai jamais rien deviné d'avance et qu'aucune petite phrase ne m'a alertée mais pour un premier roman il est quand même remarquable. Quand à l'aspect surnaturel, "les démons n'existent pas" ou "ils sont là, dit McLean en se tapotant la tempe"...alors quels aspects surnaturels ?
Un regret quand même : j'aurais aimé savoir à qui appartenait les objets et qui désignaient les surnoms découverts dans la vieille maison.


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Je remercie Babelio ainsi que les Editions Bragelonne pour
cette merveilleuse découverte.
C'est donc un premier roman d'un homme pas comme les autres : fermier le jour et écrivain la nuit. Rien que cela, ça nous titille déjà.

Pour un premier essai, je dois dire qu'il est concluant et j'espère retrouver l'inspecteur McLean très bientôt. le début est un peu gore et le supplice de la jeune fille un peu trop détaillé à mon goût. Mais une fois que l'on a passé ce chapitre, c'est un régal. Une enquête menée tambour battant même si parfois on a envie de mettre un coup de pied au fesse à Tony pour qu'il ouvre les yeux un peu plus vite. Associé Satan à un tueur en série permet de mettre une touche d'originalité au polar mais à mon avis cela n'était pas nécessaire. L'enquête en elle même s'autosuffisait. le lieu, aussi, est bien choisi : l'Écosse le pays de tous les fantômes et légendes nous permet de rentrer pleinement dans cette histoire.
Un bon polar qui nous apportera fraicheur par ce temps de canicule.
Lien : http://jelisquoi.blogspot.fr..
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Précision liminaire : James Oswald est fermier en Écosse. Il élève des moutons et à ses heures perdues, il écrit. D'abord de la fantasy, puis du thriller, sur les conseils d'un collègue romancier dont il use du nom dans ce roman, Stuart McBride. Ce roman est la première enquête de Tony McLean, et pour être franc, j'espère que ce ne sera pas la dernière...

Vous voulez un thriller pour les vacances ? Eh bien en voici un. Tout ce qui fait le charme du genre est dedans : une rivalité entre flics, l'un des deux étant meurtri par un passé qu'on devine et dont on aura d'autres bribes dans les numéros suivants, un vieux sergent bougon et une jeune recrue très compétents et travailleurs -enfin, surtout le jeune-, une idylle naissante, des coupables vraiment méchants et un rien de fantastique, juste une larmichette. Secouez le tout et vous pouvez obtenir le pire des bouquins à vous tomber des mains ou alors un bon roman qui ne vous lâchera plus et vice-versa. James Oswald a choisi la seconde option, tant mieux pour nous.

Il est sympa Tony McLean. Il cherche. Il engrange. Fouille toutes les pistes. Part de très loin. Abat avec McBride et Bob la Grogne un boulot de titan. Méticuleux. Travailleur. Opiniâtre. N'hésite pas à prendre des risques pour sa carrière s'ils peuvent faire avancer son enquête ou sauver une vie. Il n'est pas dupe de l'estime en laquelle on le tient en haut lieu et sait pourquoi, lorsque la victime est un VIP on lui demande de collaborer : "McIntyre l'affectait à cette enquête parce qu'il y avait un risque très élevé d'échec. D'autres meurtres de citoyens importants par exemple. Ou la disparition pure et simple du coupable, dont on n'entendrait plus jamais parler. Si ça tournait mal, il ne fallait pas que ce soit la faute de la superintendante en chef McIntyre. Ni de l'inspecteur en chef Duguid. Si McLean était "invité" à participer, c'était pour que la police de la région du Lothian et des Marches Écossaises ait une victime expiatoire à jeter en pâture aux fauves, si ça devenait nécessaire." (p.64/65) Rien n'entame sa détermination. Dans le même temps, sa vie n'est pas folichonne, sa grand-mère meurt et sa vie sentimentale est plate pour ne pas dire creuse. Il fonctionne beaucoup à l'intuition, il comprend vite, avant tout le monde parce qu'il observe finement et se sert de chaque détail.

Thriller parfois un peu crade sur certaines descriptions de cadavres -mais on peut passer vite- qui tient en haleine jusqu'au bout et qui se lit très agréablement, notamment parce qu'il est construit en courts chapitres rapides qui permettent de lire un petit peu, de poser l'ouvrage pour préparer le repas -ce sera sans doute un peu dur- avant de le reprendre en pleine digestion pour le reposer, le temps de coucher les petits et de s'y replonger goulûment.

Une belle découverte, je suivrai très volontiers Tony McLean dans ses prochaines aventures qui ne manqueront pas de paraître, qui me permet au passage de découvrir également les éditions Bragelonne qui s'enrichissent donc d'une belle série à venir.
Lien : http://lyvres.over-blog.com
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Lorsque Bragelonne, excellent éditeur indépendant, lance une nouvelle collection, cela mérite sérieusement que l'on s'y penche. Jusqu'alors surtout orienté Fantasy et SF, l'arrivée d'une nouvelle collection « thriller / polar » ne pouvait que titiller ma curiosité, vu la qualité des livres édités habituellement (que ce soit le roman, comme l'objet).

De mort naturelle de James Oswald est donc le premier titre proposé dans cette collection. Ceux qui imaginent un roman décalé, à l'image d'une partie du reste du catalogue, risquent d'être surpris.

Le roman d'Oswald, à la fois thriller et polar, est dans la plus pure tradition de ces récits venant d'outre-manche. Une construction classique, un ton « very english » (enfin écossais, je vais me faire lyncher !), ce roman suit les codes de ce genre littéraire.

Quoi de neuf sous le soleil alors (enfin sous la brume) ? L'auteur ne réinvente pas le genre, mais le maîtrise parfaitement et nous délivre surtout une sacrément bonne histoire. Glauque sans tomber dans la violence gratuite, qui prend son temps sans être trop lente, et qui nous immerge dans une enquête policière (et dans ses méandres).

C'est sombre, travaillé et James Oswald n'a pas oublié de bien bosser l'autre point essentiel : les personnages. L'inspecteur McLean, comme tout le monde traîne des casseroles, mais c'est (enfin) un flic qui n'est pas complètement dépressif ou alcoolique (il picole quand même, on se trouve à Édimbourg !).

Le personnage principal est attachant, et les seconds couteaux bien dessinés, tout comme les relations amicales ou conflictuelles au sein même de la police.

Bref, les ingrédients sont bien présents pour passer un bon moment de lecture et on se pose plein de questions au fur et à mesure de l'avancée de cette intrigue énigmatique, fouillée et prenante. Même si j'ai trouvé le final (moins classique, paradoxalement) pas tout à fait à la hauteur du reste du bouquin, c'est une belle découverte qui donne envie de retrouver cet inspecteur McLean à l'avenir.

De mort naturelle, ou une nouvelle preuve que la littérature populaire peut être synonyme de qualité, même en utilisant des ingrédients classiques.

Lien : https://gruznamur.wordpress...
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