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Heureusement que j'aime me promener à Édimbourg et que j'aime l'Écosse, ses pubs, sa bière et son whisky. James Oswald, cet écrivain fermier, nous livre ici un premier roman. de mort naturelle est un policier pur jus dans sa construction et dans sa livraison. Rien de bien nouveau mais tout est maîtrisé.
Cet inspecteur, Anthony McLean, ce nouveau personnage, ne m'a toutefois pas séduite. Je n'ai adhéré ni à ses états d'âme ni à ses coups de gueule. Était-il trop "Scottish" ? Trop gentil ou pas assez croquignole ? En tout cas, il m'a laissé une impression bonbon caramel mou. Et quand on tombe dans le surnaturel intense, moi on m'y perd.
Toutefois, l'enquête sur tous ces morts, meurtres horribles il faut le dire (et oui il y en a à profusion) est menée rondement avec une fluidité intéressante.
De mort naturelle est le premier opus mettant en vedette l'inspecteur McLean. J'espère que d'ici les parutions des autres titres, il saura se servir d'un téléphone intelligent.
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Anthony McLean est le héros de cette enquête policière pas tout à fait classique qui se déroule en Ecosse, plus précisément à Edimbourg, ville où la bière coule à flots.
En effet, en plus de la découverte d'un cadavre vieux de plus de 50 ans, d'une avalanche de meurtres ultra violents et d'une série de suicides étranges, l'auteur nous emmène dans un univers policier plutôt traditionnel mais fait également une légère incursion dans le domaine du fantastique et de l'ésotérisme, où la magie noire aura une place prépondérante.
Les personnages sont bien campés, que ce soit les inspecteurs, le médecin légiste ou les techniciens scientifiques, chacun ayant une personnalité bien définie.
L'enquête reste relativement classique mais est très bien menée, sans aucun temps mort.
Le style est fluide et j'ai très envie de continuer à lire d'autres enquêtes de cet auteur, dont ce titre est le tout premier d'une série.
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Lorsque Bragelonne, excellent éditeur indépendant, lance une nouvelle collection, cela mérite sérieusement que l'on s'y penche. Jusqu'alors surtout orienté Fantasy et SF, l'arrivée d'une nouvelle collection « thriller / polar » ne pouvait que titiller ma curiosité, vu la qualité des livres édités habituellement (que ce soit le roman, comme l'objet).

De mort naturelle de James Oswald est donc le premier titre proposé dans cette collection. Ceux qui imaginent un roman décalé, à l'image d'une partie du reste du catalogue, risquent d'être surpris.

Le roman d'Oswald, à la fois thriller et polar, est dans la plus pure tradition de ces récits venant d'outre-manche. Une construction classique, un ton « very english » (enfin écossais, je vais me faire lyncher !), ce roman suit les codes de ce genre littéraire.

Quoi de neuf sous le soleil alors (enfin sous la brume) ? L'auteur ne réinvente pas le genre, mais le maîtrise parfaitement et nous délivre surtout une sacrément bonne histoire. Glauque sans tomber dans la violence gratuite, qui prend son temps sans être trop lente, et qui nous immerge dans une enquête policière (et dans ses méandres).

C'est sombre, travaillé et James Oswald n'a pas oublié de bien bosser l'autre point essentiel : les personnages. L'inspecteur McLean, comme tout le monde traîne des casseroles, mais c'est (enfin) un flic qui n'est pas complètement dépressif ou alcoolique (il picole quand même, on se trouve à Édimbourg !).

Le personnage principal est attachant, et les seconds couteaux bien dessinés, tout comme les relations amicales ou conflictuelles au sein même de la police.

Bref, les ingrédients sont bien présents pour passer un bon moment de lecture et on se pose plein de questions au fur et à mesure de l'avancée de cette intrigue énigmatique, fouillée et prenante. Même si j'ai trouvé le final (moins classique, paradoxalement) pas tout à fait à la hauteur du reste du bouquin, c'est une belle découverte qui donne envie de retrouver cet inspecteur McLean à l'avenir.

De mort naturelle, ou une nouvelle preuve que la littérature populaire peut être synonyme de qualité, même en utilisant des ingrédients classiques.

Lien : https://gruznamur.wordpress...
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Je vais commencer tout d'abord par remercier Aemilia d'avoir sorti ce titre de ma PAL. Il faisait partie de ces tristes « oubliés » et c'est, en vérité, une super découverte.

Entre occultisme et hémoglobine à fond les ballons, on suit le quotidien d'Anthony McClean, jeune inspecteur écossais, tristement abonné aux drames familiaux et très intuitif dans son travail.
L'enquête s'est avérée très intéressante, avec de multiples ramifications. Des meurtres sanglants avec leurs meurtriers qui se suicident immédiatement après, un cambrioleur très doué qui entre par effraction dans des maisons marquées par le deuil et, surtout, un meurtre ritualiste qui date d'une soixantaine d'années. L'action ne manque pas et l'auteur permet au lecture d'en savoir un peu plus que l'inspecteur en nous plaçant quelques fois dans la tête des « meurtriers ». de quoi aiguiser la fibre apprenti-inspecteur du lecteur. J'avoue avoir juste trouvé qu'il y avait trop de coïncidences, rendant le tout « très gros ». Mais, apparemment, ça se justifie à la fin. Très dynamique avec ses chapitres courts, on ne sent pas ce pavé passer et on arrive rapidement à la fin de cette histoire originale et distrayante.

Entre temps, l'auteur fait le choix de nous familiariser avec son protagoniste principal. On s'attache indubitablement à lui tout en apprenant par morceau les différents pans de son passé. Aussi, je lirai non sans plaisir la 2e enquête de cet inspecteur !

Challenge Mauvais Genres 2021
Challenge Pavés 2021
Challenge Bragelonne
Challenge Multi-défis 2021
Challenge Cluedo littéraire V
Challenge Séries 2021
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Je remercie les éditions Bragelonne et Masse Critique, de Babelio, de m'avoir permis de lire et de réaliser la critique du roman de James Oswald, de mort naturelle.

De mort naturelle s'ouvre sur un prologue particulièrement difficile….la description détaillée d'un viol et d'un meurtre en réunion épouvantable…

Le roman se déroule à Edimbourg, de nos jours.
Dès le tout début du roman, nous faisons connaissance de l'Inspecteur Anthony McLean, qui, attiré par les gyrophares, les fourgonnettes de la police scientifique et les agents, s'invite sur une scène de crime. Un notable d'Edimbourg, Barnaby Smyrthe, a été retrouvé assassiné dans sa superbe maison, la gorge tranchée…. L'assassin s'est acharné sur le vieil homme qui a été éviscéré…
Pas de répit pour l'inspecteur McLean… Des ouvriers travaillant sur un chantier de rénovation viennent de mettre à jour, dans une chambre hermétiquement scellée, une nouvelle scène de crime. Il y a soixante ans, il semble qu'au cours d'un crime rituel, une jeune fille a été assassinée de manière horrible. Disposés dans des niches murales tout autour de la victime, les enquêteurs retrouvent des bocaux contenant les organes de la jeune femme, ainsi que de mystérieux objets…
De nouveaux meurtres sont perpétrés…. On retrouve le même mode opératoire. A chaque fois il s'agit d'un vieil homme à la gorge tranchée, qui a été éviscéré….
L'inspecteur McLean, aidé par le jeune agent Stuart MacBride, et le sergent Bob Laird, surnommé affectueusement Bob La Grogne tente de résoudre plusieurs énigmes… Quel est le lien entre tous ces crimes… et alors que les assassins sont rapidement retrouvés, pourquoi se suicident-ils ? Et que penser de cette vague de cambriolages qui touche les domiciles de personnes récemment décédées….
C'est une voyante, Madame Rose, qui va mettre l'inspecteur sur la voie, en lui parlant, pour la première fois, de crimes rituels et de l'Opus Diaboli, l'oeuvre du diable. Tout se passe comme si un groupe d'hommes avait réalisé un meurtre rituel, satanique, pour piéger un démon et utiliser son pouvoir pour obtenir l'immortalité… mais il est connu que les démons n'existent pas. Alors qui s'attaque à l'Inspecteur McLean ? quelle est cette voix d'outre-tombe qui le commande et le menace ?

C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai lu de mort naturelle. J'aime les romans policiers britanniques, et Edimbourg est une de mes villes préférées. L'inspecteur McLean, Stuart MacBride, Bob la Grogne et même l'inspecteur en chef Charles Duguid, surnommé Dugland, sont attachants. L'intrigue est bien menée ; James Oswald nous dépeint habilement l'inspecteur, pris entre une vie personnelle difficile, le décès de sa grand-mère auquel il était particulièrement attaché, et des enquêtes complexes.

J'aime l'écriture de James Oswald, son humour (Stuart MacBride est un écrivain, ami de l'auteur), sa façon de mêler le passé au présent. La part faite au surnaturel dans le dénouement me gêne pas. Chacun pourra à sa manière trouver une explication aux crimes et à leur déroulement…
J'aimerais terminer cette critique en évoquant le texte original du roman. J'ai lu Natural Causes en anglais. J'ai été très étonnée de voir que les deux versions du roman ne commencent pas de la même manière : en effet, la version anglaise « omet » la scène de prologue particulièrement difficile. Elle se trouve reléguée à la fin du roman, et sa lecture est en quelque sorte « optionnelle ».
Je regrette que la traduction du texte en français ne mette pas mieux en valeur et ne respecte pas toutes les nuances du texte original. Je l'ai trouvée très inégale.C'est dommage, car le texte anglais est vraiment bien écrit.

Enfin, à la grande question, James Oswald est-il le nouveau Ian Rankin, je réponds, non. Les deux écrivains, certes, décrivent des enquêtes qui se situent à Edimbourg. Mais, pour moi, le rapprochement s'arrête là. Les styles des deux écrivains ne se ressemblent pas. . Par ailleurs, alors qu'Ian Rankin s'attache, dans des romans « noirs » à dépeindre Edimbourg et plus particulièrement la corruption, on ne retrouve pas cette dimension dans le roman de James Oswald. Je pense que James Oswald est plus tenté par la science-fiction, la "fantasy", ses premiers domaines d'écriture, on retrouve cette influence, même minime, dans l'aspect "surnaturel" de Mort Naturelle.
Chacun à leur manière, les deux écrivains brossent des tableaux au final très différents. Un combat Rebus contre McLean ? Selon moi, il n'a pas lieu d'être.... Mais le débat reste ouvert….





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Tony Mc Lean est un inspecteur très doué pour résoudre les enquêtes qu'on lui confie,mais qui supporte mal les contraintes d'une hiérarchie timorée.En lui confiant la résolution d'une affaire très ancienne sur un meurtre rituel,on veut l'écarter d'une autre sur des crimes récents qui semblent avoir une relation avec lui et ses proches.L'enquête sur les crimes rituels m'a intéressée et j'ai trouvé la fin de l'histoire très bien amenée.
Ce roman est très bien écrit même si parfois j'ai trouvé quelques longueurs dans le déroulement de l'action.Je suis partagée dans mon appréciation de ce texte car si je l'ai plutôt apprécié,je ne suis pas complètement séduite.Peut-être me faudra-t-il lire un autre roman de l'auteur pour déterminer la place qu'il pourrait avoir dans ma bibliothèque.
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On l’appelle déjà le nouveau Ian Rankin ! C’est vrai que les références sont sérieuses… James Oswald, ce nouvel auteur, est comme son compatriote écossais pur malt, son héros policier McLean enquête à Édimbourg, ne dédaigne pas traîner au pub pour se changer les idées (à défaut de les éclaircir) et a une fâcheuse tendance à désobéir à sa hiérarchie… Les ressemblances pourraient s’additionner, mais on irait trop vite, dire que le second a copié le premier, ce qui serait injuste et sans aucun doute faux, car ce nouvel auteur a son style bien à lui.

L’histoire ; « De Mort Naturelle » trompe bien le lecteur par son titre, parce qu’à part une ou deux personnes, toutes les autres victimes le sont de mort violente ! On pouvait s’y attendre, car la quatrième de couverture nous met tout de suite dans l’ambiance, et dès le prologue on plonge vite dans l’horreur et l’insoutenable.
L’inspecteur McLean rentre chez lui, quand, passant devant une maison, il reconnaît toute la panoplie de l’intervention policière : voitures sérigraphiées aux lumières clignotantes, techniciens de la police scientifique, et collègues affairés. Évidemment sa curiosité est trop forte, il pénètre dans la maison, découvre un cadavre dans un sale état, et le temps d’en faire le tour, se fait sortir par l’Inspecteur-chef Duguid qui veut se garder l’affaire pour lui… Soit, son tour viendra.
Dès le lendemain il est appelé sur une autre scène de crime pour le moins insolite. Le corps d’une jeune femme gisant, crucifiée au sol et terriblement mutilée, dans une pièce apparemment close toutes parts. Sitôt les premières constatations, il apparaît que ce crime, à la mise en scène particulièrement sordide, a été commis… au siècle dernier !

Avec un rare talent, James Oswald va mener son inspecteur, flanqué d’un jeune assistant et d’un autre vieux de la vieille, au cœur d’un labyrinthe morbide, truffé de portes derrière lesquelles il trouvera certes des indices mais pas de lien entre eux. L’écriture est fluide, riche et très abordable (la traduction doit être soignée). Les personnages sont bien campés, hauts en couleurs parfois, certes nombreux, mais aux caractères souvent très forts, ce qui les rend attachants. La sensibilité et une pointe d’humour ne sont pas absents, donnant ainsi au texte une réelle consistance. L’auteur en fin d’ouvrage adressera un clin d’œil à son compère Ian Rankin, qu’on ne présente plus, et que les premières critiques « De Mort Naturelle » ne peuvent s’empêcher de rattacher à ce nouveau venu dans la cour des auteurs écossais.

Un excellent polar, rythmé, sombre et violent, au suspense mesuré et qu’on ne lâche pas facilement ! Pour un coup d’essai, quasiment un coup de maître, et surtout un auteur à suivre.

Merci encore à Babelio et aux Éditions de Bragelonne pour cette nouvelle découverte.
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Plusieurs citoyens respectés d'Edimbourg sont assassinés. A chaque fois, le meurtrier est identifié mais se suicide dans la foulée. de son côté, l'inspecteur Anthony McLean enquête sur la découverte du cadavre d'une jeune fille, emmurée dans la cave d'un vieux manoir après avoir été brutalement assassinée. McLean suspecte un lien entre les meurtres, les suicides et la jeune fille.
Voici une belle découverte. James Olwald nous propose un enquête policière somme toute classique mais il y ajoute un petite touche très écossaise qui n'est pas pour me déplaire. Un peu à l'instar  de John Rebus, Anthony McLean aurait pu dire "La vie est une comédie noire". Et comme chez Ian Rankin, Edimbourg tient une grande place dans ce roman. le décor est un personnage à part entière, il imprime aussi l'ambiance de ce roman. La ville bat au rythme de ce roman, elle en donne le ton.
Une autre qualité de l'auteur c'est aussi ses personnage qu'il dépeint avec minutie. Surtout son flic McLean, qui nous semble un héros familier alors que nous découvrons seulement sa première enquête. Pour autant il soigne autant ses personnages secondaires.
Et puis il y a l'histoire, prenante à souhait et juste assez tordu pour nous tenir en haleine.
Bref tous les ingrédients d'un très bon roman sont réuni ici pour me faire dire que ce premier roman est un sacre bon polar.
Lien : https://collectifpolar.com/
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Je découvre le premier roman policier de cet auteur, plus connu en littérature fantastique. Et je ne suis pas déçue, tant par l'intrigue que par les personnages, sans oublier la ville en toile de fond.

L'intrigue est intéressante et bien menée, avec le collègue empêcheur d'enquêter en rond et qui n'a de cesse de mettre des bâtons dans les roues.

Les personnages, ensuite, qui sont esquissés, laissant prévoir une suite afin d'approfondi leur caractère et leur passé respectif.

La ville, enfin, en toile de fond.

Un bémol tout de même pour les noms de famille des différents intervenants qui commencent tous par Mac…..

Et puis un rien de fantastique en toute fin d'enquête.

Bref, j'ai passé un bon moment avec ce roman.

Mon Cher et Tendre n'a pas aimé du tout la fin, trop fantastique et incrédule à son goût.

L'image que je retiendrai :

Celle de l'amie de McLean qui tient une boutique de fripes et qui s'habille avec de vieux vêtements des années 30-40.
Lien : https://alexmotamots.wordpre..
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Après avoir découvert dans le prologue le meurtre d'une jeune fille l'histoire nous transporte environ cinquante plus tard lorsque lors de travaux dans un ancien manoir à la découverte de ce corps momifié emmurée dans une cave. La jeune fille a été tuée selon un rituel, des parties de son corps se trouvant dans des bocaux ont été trouvés dans des niches où l'on a aussi découvert des objets de luxe. L'affaire est confiée à l'inspecteur McLean récemment promu dans la fonction.
Dans le même temps le corps d'un homme influent de la ville est découvert assassiné et éviscéré, l'enquête est confiée à l'inspecteur-chef Duguid. Assez rapidement l'inspecteur McLean commence à suspecter que les deux enquêtes sont liées ce qui ne va pas sans poser problèmes car une forte inimitié règne entre les deux policiers.
L'enquête du point de vue de l'inspecteur McLean est bien maîtrisée, on suit pas à pas son développement. du côté de don supérieur sur les meurtres des hommes assassinés elles sont classées dés que le coupable est identifié : des hommes qui se suicident après leurs méfaits mais on ne cherche pas à comprendre qui les manipule. Seul l'inspecteur McLean voit le lien qui lient les différentes affaires, mais l'auteur en fait un peu trop, certes il veut mettre en avant son personnages central mais c'est au détriment de ses supérieurs qui se révèlent de ce fait caricaturés.
Mc Lean nous apparaît comme tenace et droit comparé à l'inspecteur-chef mais c'est un homme solitaire et qui est comme il est de coutume dans les policiers marqué par son passé. Mais ici l'auteur n'entre pas dans le cliché du protagoniste déchiré tout au long du roman. C'est certes positif mais le lecteur peut toutefois craindre que cela ne survienne dans les opus qui vont suivre. Sur le côté sentimental là encore on est épargné : une seule allusion, mais que va-t-il se passer par la suite.
La plume de l'auteur est entraînante, fluide et nous entraîne sans difficulté au travers des différentes qui dans le final vont se rejoindre. le synopsis se révèle complexe mais est maîtrisé de bout en bout, le lecteur à aucun moment ne se sent perdu et la dynamique de lecture est bonne malgré un nombre de pages conséquent.
Une intrigue originale, du suspense et des rebondissements présents tout au long du roman mais un final un peu trop rapide et trop simple et une touche de fantastique qui arrive brutalement sans qu'on s'y attende et qui n'est pas sans déstabilisé quelque peu le lecteur.
Lien : http://imaginaire-chronique...
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