Au sommaire de ce numéro :
* conversation avec Vianney : "Tendre la main est une nécessité pour un chrétien"
* carnet de bord : Ardevon, une halte vers le Mont-St-Michel
* dossier : grands-parents/petits enfants, comment éveiller le goût de Dieu ?
* portrait : Olga Lossky romancière
* petite bibliothèque spirituelle : Jean-Pierre Lemaire
Parmi les articles de ce numéro de la revue, une belle rencontre avec Olga Lossky. Héritière d'une longue lignée de théologiens orthodoxes, ses romans sont empreints de spiritualité et nous ouvrent à la certitude de l'invisible.
Regarder un visage, c'est une façon d'interroger notre monde. Sous un angle spirituel, la foi c'est prendre conscience qu'on est sous le feu d'un regard décortiquant. La foi, c'est la certitude de l'invisible. Quelque chose qui nous dépasse, auquel on est appelé à participer.
(Olga Lossky)
Avec mes frères, nous partageons cette même philosophie : vivre, c'est se remettre en question, s'envoler vers d'autres horizons. C'est ce qui fait grandir intérieurement et prendre conscience que nous sommes vivants.
(Vianney, chanteur)
On raconte que Schubert l'aurait composée (La Mélodie hongroise) à partir de petites notes que fredonnait une servante. J'aime cette idée de prendre quelque chose de populaire pour l'offrir en oeuvre d'art. C'est la mission de l'écrivain.
(Olga Lossky)