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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Max Wolfe est un policier de la brigade contre le terrorisme qui , après un coup d'éclat, se voit transférer aux homicides.
Max Wolfe vit seul avec sa petite fille de 5 ans et leur chien.
Voilà le nouveau détective est né.
La brigade des homicides aura à résoudre les meurtres de 4 anciens d'un collège privé et renommé. Vous me voyez venir ? Lutte des classes, arrogance, hiérarchie anglaise, traditions, $$, aristocratie, collège privé, accents, loyauté et silence. Des sujets tellement discutés, qu'il est bien difficile de leur trouver un angle de traitement plus original et différent.
Cela dit, revenons aux meurtres.
4 meurtres, finement exécutés, c'est net et précis: on leur coupe la gorge avec un couteau spécial.
Cela dit, revenons au récit.
Celui-ci s'ouvre sur le viol collectif d'une ado dans cette institution prestigieuse vingt ans plus tôt. Et à partir de là, nous voilà à faire des liens et à tirer des conclusions. On sent la vengenace à plein nez, on voit de loin le déjà vu, on connnait déjà la cause et/ou le mobile de ces meurtres sanglants.
Bon l'évaluation maintenant.
Est-ce bien écrit ? C'est correctement écrit, c'est fluide et très clair.
Est-ce la naissance d'un détective auquel on s'attachera? Peut-être oui le trouverons-nous attachant ce policier père célibataire mais sans plus. Disons qu'il est un peu terne.
Est-ce que les personnages ont du mordant ? Non. Une bizarre d'impression en ce qui concerne le rôle des femmes dans ce livre. Pour les autres, c'est du remâché. Psychologie peu fouillée.
Est-ce une intrigue captivante ? Non. Rien ne nous motive à tourner les pages, rien de bien prenant.
Est-ce que la chute est bien amenée ? Des indices gros comme le bras parsemés le long du récit nous font presque tout deviner. Et l'intrigue est, à mon avis, dénouée un peu trop rapidement.
Je donne toutefois du crédit à l'alliance entre scènes de crimes, actions, violence, enquête. Tout cela est très bien présenté.
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Dans Des Garçons bien élevés, on suit l'enquête du DC Max Wolfe, enquête qui gravite autour d'une photographie vieille de 20 ans sur laquelle un groupe de sept jeunes hommes prend la pose. Parmi ces sept personnages, deux viennent d'être égorgés et c'est loin d'être fini.

L'atout majeur de ce polar anglais reste sans conteste le parti pris de l'auteur de mettre de suite le lecteur dans la confidence : le 1er chapitre nous donne à voir le viol et le meurtre d'une jeune fille par un groupe de jeunes garçons, à travers le regard de la victime. Ainsi, le lecteur connaît tout de suite le mobile des meurtres qui auront lieu vingt ans plus tard. L'enjeu est alors presque inversé : on en vient à espérer que le meurtrier ne sera pas arrêté avant d'avoir eu le temps de se venger de tous.

L'intrigue est intelligente, les rebondissement nombreux et totalement imprévus. Le bât blesse par contre avec les personnages dont la psychologie n'est pas assez approfondie. Quand il est question de leur vie personnelle, on voit clairement les fils du marionnettiste et c'est sans surprise aucune que l'on voit les liens se tisser entre eux (ou se défaire).

Pour ma part, n'ayant aucune notion sur la police britannique, j'avoue avoir été un peu déboussolée lors de la présentation des personnages (leur grade et la place de chacun par rapport aux autres). Mais les notes de bas de page m'ont éclairée et j'ai fini par m'y faire.

En résumé : un bon polar qui se dévore, une intrigue bien menée et sous une forme innovante mais des personnages pas assez développés qui m'empêchent de mettre 4 étoiles.

Je remercie Babelio et les éditions de la Martinière pour cette découverte que je prolongerai probablement avec le prochain Max Wolfe, déjà sorti en Grande Bretagne.

Challenge ABC 2015/2016
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1988. Une bande de jeunes garçons violente une fille. Moment épouvantable qui sera d'ailleurs tragique à la fille.
Vingt ans plus tard. Quelqu'un s'acharne sur des hommes. Après les avoir tué, nous retrouvons PORC près des cadavres. Un premier meurtre sur un banquier. Puis, plus tard, c'est un SDF qu'on retrouve sans vie. Quel est le lien entre eux ? Il s'avère que ces deux hommes ont fréquenté le même établissement dans leur jeunesse, l'école privé Potter's Field. Ces deux hommes étaient apparemment deux amis issus d'une même bande. Quatre hommes de leur bande sont encore vivants. Qui leur en veut ? Pourquoi maintenant ? L'inspecteur Max Wolfe, père d'une petite fille qu'il élève seul, se retrouve chargé de l'enquête.

L'histoire est vivement intéressante, le style de l'auteur, très fluide. On est facilement embarqué dans l'histoire. Cependant, nous ne sommes pas dans un thriller ordinaire où le lecteur est tenu en haleine par de nombreux rebondissements. Pourtant, on est poussé à poursuivre notre lecture. Par curiosité. Mais peut être également car les personnages sont tous humains et vivement bien détaillés. La psychologie est un point fort à cette histoire. L'inspecteur lui-même est humain, il fait lui-même face à ses propres démons. de ce fait, on s'attache facilement à lui.

L'enquête suit son cours, ce n'est pas long, les pages défilent plutôt rapidement. Il m'a été impossible de découvrir le fin mot de l'histoire, qui était responsable de ses meurtres. Pas de déception pour moi de ce fait. Cela dit, étant une fan inconditionnelle des thrillers aux nombreux rebondissements, je pense que c'est la raison pour laquelle, je n'ai pas eu de coup de coeur pour ce livre. Malgré tout, une très bonne lecture et une histoire réussie de la part de l'auteur.
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Ce n'est pas vraiment un polar noir noir noir mais en fait la couleur de celui là serait plutôt un ton hémoglobine ! Parce que de l'hémoglobine il y en a !
Et ce n'est pas le petit monde gentil en surface d'un collège anglais very chic qui va éponger les flaques de sang.

Dans le rôle du flic : Max Wolfe un ancien de l'anti-terrorisme à qui il est arrivé des bricoles, il vient d'être affecté aux homicides mais finalement ça ne s'avère pas un plan pépère car quelqu'un a décidé de s'en prendre aux banquiers d'affaire. Prenez Hugo Buck, bon un rien addicte au sexe mais c'est quand même pas une raison pour lui trancher la gorge, et quand je dis tranché ...c'est pour de bon.

C'était un ancien élève de Potter's Field, collège luxueux et branchouille, sa veuve ferait un parfait suspect si ce n'était que le fou du couteau va continuer sa sarabande et s'en prendre à un SDF qui cache bien son jeu.

C'est partie pour une course au joueur de couteau pour Max. le soir il rentre retrouver Scout et Stan, sa fille et son chien dans l'ordre et le plus terrible des deux n'est pas celui que l'on pense.

L'auteur nous sème des indices par ci par là mais la progression est difficile car les cadavres pleuvent et bientôt il est question de passer l'affaire à Scotland Yard.

Une intrigue assez classique mais qu'on suit avec plaisir et un brin d'excitation, et puis il y a quelques pages assez spéciales comme la visite du musée de Scotland Yard dont je vous laisse la surprise.

J'ai marché même si les ficelles sont présentes c'est un polar qui se lit avec plaisir sauf si on n'aime pas du tout la couleur rouge.
Lien : http://asautsetagambades.hau..
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Très intriguée par la couverture représentant des cochons, plutôt contradictoire avec le titre, j'ai été ravie d'être sélectionnée à cette masse critique spéciale.
L'intrigue : le prologue 20 ans plus tôt, une jeune fille malmenée et assassinée ; aujourd'hui : un jeune inspecteur, une succession de meurtres par égorgement, le décor est planté. Une bande de 7 amis, tous anciens élèves de la même école. Je me suis vite rendue compte à la lecture des premières pages que je ne serai pas tenue en haleine comme j'ai pu l'imaginer avant de me lancer dans ce roman. le personnage principal, l'inspecteur Wolfe, reste trop dans le cliché des héros des polars, flic célibataire, élevant sa fille seule, insomniaque, à la recherche d'une aventure. Déjà vu et déjà lu ! Dommage.
Le style littéraire est un peu simple, manque même parfois de profondeur, mais toutes ces abréviations de toutes les instances de l'organisation policière anglaise et une multitude de personnages secondaires, rendent finalement la compréhension compliquée par moment.
La quatrième de couverture nous promettait pourtant le thriller de l'année : « vous avez le coeur bien accroché ? Plongez dans les recoins les plus sombres de l'âme humaine avec le meilleur thriller anglais de l'année ». Je ne suis pas une grande spécialiste des thrillers mais j'en ai lu de bien plus prenants. Pour autant, je n'ai pas passé un mauvais moment non plus, ce fut une lecture divertissante ; mais dont je ne garderai pas un souvenir inoubliable non plus.

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L'auteur anglais Tony Parsons n'en est pas à son premier livre. Par contre, il s'agit de sa première incursion dans le genre policier-thriller, et bien lui en a pris !
En 1988, une jeune femme est violée par sept jeunes tortionnaires. 
Vingt ans plus tard, sept anciens étudiants de la prestigieuse école privée britannique Potter's Field se font égorger les uns après les autres…
Max Wolfe, inspecteur de police affecté au service des homicides, va mener l'enquête et tenter de découvrir qui est le justicier. L'intrigue, assez classique, reste toutefois prenante : une affaire de vengeance terrifiante qui nous entraîne des bas-fonds aux hautes sphères de la société londonienne. On y découvre notamment que Potter's Field, fondée par Henri VIII, attire la jeunesse issue de la classe huppée britannique, mais ne fait pas honneur à la perfide Albion. Sous couvert d'éducation militaire, on y enseigne la soumission, la violence, l'humiliation. Un beau jour, tout dérape ! Comme quoi, des garçons bien élevés peuvent être des porcs ! Il reste à découvrir qui est susceptible de mener une telle vengeance. Il faudra pourtant attendre la fin du livre pour aller de surprise en surprise jusqu'à la divulgation finale de l'intrigue.
Le style, vif et soutenu, rend la lecture agréable. Max Wolfe est un flic avec des faiblesses et des problèmes personnels, ce qui le rend d'autant plus attachant. Séparé de sa femme, il vit avec Scout, sa fille de 5 ans, et Stan, un chien cavalier King Charles adorable. Les passages plus familiaux permettent une pause détente avant de replonger de plus belle le lecteur dans l'intrigue.
J'émets donc un avis positif pour un auteur dont je lirai certainement les prochains ouvrages.
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Max Wolfe est un policier dont la carrière prend un tournant inattendu. D'abord, officier de surveillance auprès de la section anti-terroriste britannique, puis suite à un acte héroïque médiatiquement retentissant (il a tué un terroriste qui s'apprêtait à se faire sauter), Max se fait reclasser en tant qu'enquêteur au sein de la brigade criminelle. C'est ainsi dans cette nouvelle section où il n'a aucune expérience qu'il rencontrera son supérieur hiérarchique Mallory qui deviendra son mentor. Débutera alors pour lui une enquête des plus sinistres et glauques. En effet, tout commence par le meurtre d'un jeune banquier de la City à qui tout semble réussir. Il est retrouvé égorgé dans son bureau, à ses côtés une photo de sa scolarité à la célèbre et prestigieuse école Potter's Field, entouré de ses acolytes de l'époque. Puis suivra un deuxième meurtre selon les mêmes procédés, d'un homme SDF et toxicomane dont la même photo de bande sera retrouvée chez sa mère peu après.

Max est un personnage vraiment attachant. Il vit seul avec sa fille et se démène corps et âme pour la rendre heureuse depuis la disparition de sa femme. Il essaie à juste titre de combiner vie privée et vie professionnelle, mais cette enquête est chronophage et il veut découvrir la vérité, interroger des personnes, faire le lien entre toutes ces victimes.

L'écriture est fade, et il manquait à la lecture de ce roman du suspense. En effet, j'ai vite dénoué le fil de l'histoire et trouvé le ou les coupables. de plus j'ai pris un certain temps à le lire, ce qui est rarement bon signe chez moi ! La psychologie plus que l'enquête est mise en avant ici.
C'est dommage car j'avais eu de nombreux bon échos de ce polar que l'on me vantait être original à souhait...
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Nous faisons donc connaissance avec l'inspecteur Wolfe, qui va fouiller le présent et le passé des protagonistes pour découvrir qui en leur en veut et pourquoi. Quant à nous, l'auteur nous l'a raconté dès le prologue et c'est avec le coeur battant que nous suivons les investigations de Max dans la société anglaise contemporaine. Médias avides de sensationnel morbide, réseaux sociaux déments qui encensent le meurtrier, victimes cachant de noirs secrets, intrigue à tiroirs et non-dits forment la trame de ce roman très prenant.

Les personnages forment un tout crédible, mais souvent inquiétant, voire flippant. le point de vue est celui de Max, très humain et très attachant, un peu paumé, mais décidé à découvrir le fin mot de l'histoire.

Le roman est assez angoissant, baigne dans une atmosphère malsaine entrecoupée de moments rendus lumineux par l'amour du héros pour sa fille. Certaines choses sont prévisibles, d'autres créent la surprise, même si le cheminement pris par l'auteur ne pouvait conduire qu'à cette fin. Une fin qui laisse un goût amer et donne des frissons.

Le style est très agréable, redoutablement efficace lorsqu'il s'agit de plonger le lecteur dans les méandres de l'enquête. L'auteur fait une critique acerbe de notre société qui consomme l'info sordide comme une drogue, de la violence de notre époque et de la starisation des criminels.

Parmi les défauts de ce livre, on notera pas mal de longueurs et une enquête souvent laissée au second plan. J'ai également été gênée dans ma lecture par les sigles utilisés, qui sont ceux en usage en Angleterre et qui m'étaient inconnus pour la plupart. Des notes en bas de pages les explicitent, mais cassent le rythme de lecture. J'ai trouvé aussi qu'il était facile de confondre certains des personnages secondaires, qui ne se différenciaient pas assez les uns des autres.

Un polar original et glauque, qui bénéficie d'une ambiance réaliste, de bons protagonistes et d'une intrigue bien ancrée dans notre société. Dérangeant et prenant, mais pas inoubliable malgré tout.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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C'est une impression en demi-teinte que me laisse ce roman. Notamment, je pense, parce que j'en attendais trop, en raison de la com' qui l'entoure.

J'ai trouvé que c'était un polar honnête, réunissant des éléments classiques du genre, du flic un peu solitaire et électron-libre à la chef casse-bonbons, de la journaliste mêle-tout à l'ancien élève d'une école privée huppée qui se croit sorti de la cuisse de Jupiter, même si on échappe ici à quelques clichés éculés. le principal intérêt, de mon point de vue, est que l'histoire se déroule en Angleterre, ce qui nous change un peu des polars français et américains, l'organisation des services de police étant par exemple quelque peu différente. L'intrigue se tient, le rythme et l'écriture font que le tout se lit rapidement, qu'on a envie de savoir la suite. Contrairement à bien d'autres romans, je n'ai pas vu venir le coupable, rien à redire de ce point de vue-là, d'autant que l'auteur nous évite les 25 rebondissements successifs qui m'ont tant énervée dernièrement. Par contre, la toute dernière révélation était prévisible depuis le milieu du roman...
L'auteur avance doucement, à son rythme, sans multiplier les surprises excessives, sans jouer du cliffhanger à chaque fin de chapitre, mais il mène malgré cela son train de façon à ce que les pages se tournent toutes seules, et sur ce plan c'est donc très réussi.

En revanche, j'avoue avoir eu beaucoup plus de mal avec la gestion des personnages. Aucun ne m'a réellement intéressée, accrochée, touchée (même si tout est fait pour amener le lecteur à s'attacher à Max et à sa fille, qu'il élève seul). J'ai également regretté chez ce dernier une tendance à la jouer un peu Rambo : plusieurs fois blessé, agressé, le dos en vrac, le voila de retour sur le ring et au boulot en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire (un scénariste de "Plus belle la vie" serait-il passé par là?). Enfin, une amorce d'amourette tombe comme un cheveu dans la soupe, sans grande crédibilité, et je me demande encore ce qu'elle venait faire là...

En outre, je m'interroge encore sur l'intérêt ou non d'annoncer dès la quatrième de couverture et le premier chapitre le mobile des meurtres. Certes, la scène d'ouverture est réussie - prenante et choquante - mais je pense que j'aurais préféré découvrir le lien entre les victimes en même temps que les enquêteurs. Question de point de vue personnel, cela dit.

En bref, j'ai trouvé que c'est un policier qui "fait le job" et qui pourrait, comme le vin, bonifier avec le temps, mais dont la présentation trop enthousiaste a placé un peu trop haut la barre de mes attentes, d'où une déception non négligeable.
Lien : http://margueritelit.canalbl..
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L'histoire débute en 1988, par un viol collectif, 7 étudiants s'en prennent à une jeune fille, la fin sera tragique.

20 ans plus tard
Max Wolfe est affecté aux Homicides, il est père d'une petite Scout qu'il élève seul, sans oublier le chien Stan.
Max est appelé sur les lieux d'un crime, puisqu'un dénommé Hugo Buck, banquier, vient de se faire trancher la gorge. Sur le bureau du mort, une photo des années 80, sept jeunes gens en tenue militaire, à la célèbre pension de Potter's Field .
Une inscription a été peinte sur un mur : PORC
Très rapidement, un second meurtre, puisqu'un homme est découvert dans la rue, égorgé, bien que l'homme soit un SDF, très vite il s'avère que celui ci provient pourtant d'un milieu aisé, le dénommé Adam Jones a lui aussi fréquenté la pension de Potter's Field. La même inscription : PORC, est retrouvée sur les lieux. En se rendant chez la mère d'Adam Jones, Max Wolfe aperçoit une photo des 7 étudiants, il apprend également qu'un des protagonistes de la photo s'est suicidé voilà plusieurs années, sur les 7 jeunes hommes de l'époque, il en reste donc 4 vivants.
L'enquête commence, et les meurtres continuent...
Bien que l'histoire se lise facilement, je n'ai pourtant pas eu de coup de coeur pour ce livre.
Commenter  J’apprécie          20




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