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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
première enquête de l, inspecteur max wolf.flic et père célibataire depuis que sa femme et parti refaire sa vie.il élève seul sa fille de cinq ans.un triller aux scènes d, action efficace, mais qui réserve de jolie moment de comédie dans la relation père - fille.
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Un policier divorcé qui élève seul sa fille avec son jeune chien, un personnage attachant (même si il pratique la boxe, tout le monde n'est pas parfait). Il n'hésite pas à donner de sa personne pour découvrir la vérité.

Un roman intelligent sur fond d'école ultra-élitiste.

Réalité ou fiction : il existe un Musée Noir dans lequel sont conservés toutes les armes imaginées pour tuer des policiers.

Un auteur que je découvre avec plaisir.

L'image que je retiendrai :

Dans la fameuse école huppée, Henri VIII avait fait enterrer ce qu'il avait de plus cher : ses chiens….
Lien : http://alexmotamots.fr/?p=2136
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Très belle écriture, une intrigue comme je les aime, ou l'on est exalté à lire et à s'impatienter à comprendre l'énigme.
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Passée la première scène vraiment insoutenable (âme sensible s'abstenir) on suit l'enquête menée tambour battant avec un sentiment d'urgence. Les meurtres se succèdent au rythme d'un combat de boxe entre un inspecteur et un assassin insaisissable. Même si l'intrigue se devine tout de suite et qu'on comprend immédiatement pourquoi certains sont assassinés, reste à découvrir le comment et surtout par qui !
Un thriller nerveux et bien écrit avec des personnages bien campés et attachants. Un auteur à suivre.
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« La force de tes coups n'a pas d'importance. [...] Ce qui compte, c'est la force des coups que tu es capable d'encaisser tout en continuant à te battre. »

Je suis très impressionné par la qualité du texte de Tony Parsons (bien traduit par Pierre Brévignon), auteur dont je découvre la prose via Des garçons bien élevés.

Alors oui, le pitch de départ est un classique du genre (des assassinats dans le présent qui déciment un groupe d'anciens pensionnaires d'une école militaire, une mystérieuse disparition à l'époque qui les concernent, etc.).

Mais la caractérisation des personnages et la trame narrative sont parfaitement maitrisées. Bon tempo, belle musicalité, Tony Parsons en véritable chef d'orchestre gère son univers avec maestria.

Avec un casting aussi attachant, on ne peut que se réjouir de savoir que Des garçons bien élevés est le premier opus d'une série qui compte déjà une suites en anglais, The Slaughter Man et un titre à paraitre en 2016, The Hanging Club.

L'occasion pour moi de féliciter les éditions De La Martinière pour cette nouvelle collection thriller et ses deux derniers titres prometteurs, ce roman de Tony Parsons donc, et Le Festin des fauves de Dominique Maisons, à paraitre et tout aussi incontournable (chronique à venir).

En conclusion, deux dates à noter sur vos tablettes : le 22 octobre pour la parution du roman de Tony Parsons, des Garçons bien élevés et le 5 novembre pour Le Festin des fauves de Dominique Maisons, aux éditions De La Martinière.

Frédéric Fontès, www.4decouv.com
Lien : http://www.4decouv.com/2015/..
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À gorges déployées !
Nouvel auteur anglais, pour moi qui ne suis pas vraiment un fan des romans policiers de la Perfide Albion. Malgré que je reconnaisse bien volontiers que certains auteurs, je pense à Martin Waitts et donc Tony Parsons, les ont fait remonter dans mon estime.
Un prologue (1988) et trois parties, « Octobre #mortauxporcs » « Novembre. À quoi rêvent les morts » « Décembre. Perdu de vue », le tout en 38 chapitres sur pratiquement 430 pages que l'on ne voit pas passer.
1988. Des garçons courageux, élèves d'une grande école, violent en réunion une jeune fille ; dans une dernière tentative de fuite, elle crève l'oeil d'un de ses assaillants.
L'inspecteur Max Wolf après avoir déjoué en désobéissant à sa hiérarchie un attentat terroriste commence une nouvelle carrière. Il fait dorénavant partie de la section « Homicides » et c'est un début en fanfare qui l'attend. Un banquier Hugo Randolph Buck est trouvé égorgé, du beau travail, mais avec quelle arme cette blessure a-t-elle été infligée ? Sur les lieux, un somptueux bureau, il découvre un simple mot écrit avec le sang de la victime « Porc ». Il interroge sa veuve, grande et belle russe, qui lui avoue qu'elle a surpris son époux avec la gouvernante, puis se dénude pour lui montrer son corps plein de bleus. Une femme battue.
Changement d'univers pour le second cadavre, un SDF drogué, le mot « Porc » est aussi inscrit par terre. La même blessure, le même assassin ? Quel lien entre eux ? Et encore quelle arme est-elle capable d'infliger cette blessure ?
Pendant ce temps sur Internet une journaliste écrit un papier au vitriol et affuble le tueur d'un surnom ce qui se fait beaucoup, « Bob le boucher ».
Le SDF est identifié, Adam Jones, son lien avec Buck, l'école Potter's Field. Wolf découvre rapidement qu'ils appartenaient à une sorte de clan de 7 « Soldats », groupe très uni ! Que sont-ils devenus ?
Les morts vont se suivre, mais pas forcément se ressembler !
Wolf ne se doute pas qu'il va falloir briser bien des portes et raviver bien des rancunes pour avoir la clé de l'énigme… le système scolaire britannique n'a pas que des qualités. Que vous soyez riches ou pauvres !
Max Wolf est une figure très attachante, un peu à l'opposé des flics modernes, il élève seul sa fille avec amour, carbure au triple expresso et plus rarement aux boissons alcoolisées. Bref un brave homme !
De très nombreux personnages, divisés grosso modo en deux catégories, les bons et les victimes ! Les policiers et les trépassés, plus, malgré tout, quelques seconds rôles, une journaliste Scarlet Busch ou Peregrine Waugh, figure de proue et autoritaire de Potter's Field, est sur place depuis des années et a très bien connu tous les garçons passés par cet établissement, des anciens combattants, des policiers dévoués et des gens cachant un terrible secret !
Tous les ingrédients pour faire un excellent roman noir, très noir.
Débuter un récit par un viol collectif suivi d'une vengeance très longtemps après est très en vogue cette année. Après l'écossais James Oswald avec « de mort naturelle », c'est au tour de l'anglais Tony Parsons d'exploiter le filon avec ce titre et la même réussite, deux très grands romans ! Des découvertes pour bien terminer l'année !
En prime pour moi, une balade dans certains quartiers de Londres où j'ai travaillé durant trois ans.
Lien : http://eireann561.canalblog...
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