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3,56

sur 309 notes
Londres 1941.
Un obscur service de presse dirigé par une vieille rédactrice « dragon », incompétente et dépassée, une jeune femme aux ambitions légitimes de réussite professionnelle, contrainte à gérer les lettres des lectrices en demande de conseils personnels, la guerre aux frontières, le froid londonien, le black-out, les hommes partis combattre... le décor est planté.

Un livre féminin, délicieusement British qui ravira les amateurs du genre, d'autant que la période du Blitz a toujours fasciné et effrayé à la fois, accompagnant des histoires fortes de Londoniens droits dans leurs bottes, flegmatiques sous les bombes.

Le décalage entre courrier du coeur et situation internationale est original, dans son incongruité et sa désuétude, illustrant néanmoins une société dans son époque, et les interrogations féminines concernant les relations amoureuses et/ou conjugales, le sexe, les maternités, toutes choses alors tues ou dissimulées par la bienséance.
L'ensemble se veut porter haut les valeurs de courage, de résistance, d'amitié et de persévérance à se réaliser.

Malgré tout, pas trop ma « cup of tea », car mes goûts littéraires sont désespérément plus sombres. C'est gentillet, déjà souvent utilisé en littérature, pas toujours très subtil dans la crédibilité des personnages.
Bien obligée de reconnaître que l'ennui a parfois pointé son nez, bien que cette thématique de légèreté, agréablement écrite et bien troussée, ait fait récréation sans prétention.
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Londres, 1941. La capitale anglaise croule sous les bombes des avions de la Luftwaffe. C'est l'époque du Blitz et du blackout.
C'est la guerre et la jeune Emmy, 22 ans, ne rêve que d'une chose : devenir reporter de guerre. Lorsqu'une annonce pour un poste d'assistante apparaît dans le London Evening Chronicle, Emmy saute sur l'occasion. Elle postule, décroche un entretien et est embauchée. Victoire ! Ce poste à mi-temps lui permettra de continuer son travail de bénévole à la caserne des pompiers. Mais Emmy va vite déchanter car en guise de correspondante sous le feu de l'action, elle se retrouve à trier le courrier des lectrices de l'hebdomadaire Woman's Friend que Mrs Bird, l'autoritaire et rigide rédactrice en chef par intérim, dirige d'une main de fer. C'est la guerre, tout le monde doit se montrer courageux et patriote, alors pas de place dans ce magazine aux sujets polémiques comme la politique ou aux futilités. Ainsi, pas question de répondre à des lectrices qui se lamentent sur leur solitude ou leurs problèmes de coeur. Pourtant, Emmy pense que ces femmes ont également besoin de soutien en ce temps de guerre. Armée de son courage, Emmy décide de répondre à ces femmes parfois désespérées dans le dos de sa patronne, pensant de cette façon pouvoir elle aussi contribuer à l'effort de guerre.

Reposant sur une riche documentation, « Chère Mrs Bird » est un roman qui se révèle bien plus intéressant et plus grave que ne le laissent présager le résumé de la quatrième de couverture et la jolie couverture vieux rose. Certes, le ton y est léger, mettant en scène des personnages enjoués. Emmy et ses amis représentent une jeunesse sympathique qui ne se laisse pas aller mais sait faire preuve d'un optimisme à toute épreuve. Malgré le Blitz qui détruit Londres, on pense encore à faire la fête, à rire et à aimer. Mais si ces jeunes gens profitent comme ils le peuvent de la vie, ils n'en restent pas moins courageux.

Au côté d'Emmy, on découvre ainsi le rôle des pompiers, professionnels et bénévoles, qui chaque nuit partent à l'assaut des flammes pour sauver des vies, bien souvent au péril de la leur. On découvre également des femmes qui à la caserne répondent aux appels des gens désespérés. J'ai beaucoup apprécié les descriptions des bombardements, très réalistes et la découverte de la vie londonienne en cette époque très troublée.

Mais il y a aussi toutes ces femmes esseulées, délaissées ou trompées, qui doivent faire face vaille que vaille. Dans une société où le patriotisme, la morale et l'effort de guerre sont considérés comme essentiels pour montrer à Hitler que le peuple britannique ne se démoralise pas, on ne tolère guère la compassion pour des problèmes de coeur. Et bien ce sont elles justement, ces femmes un peu perdues, qu'Emmy décide d'aider à sa manière. Car quoi que l'on puisse penser, pendant la guerre, la vie continue et l'amour aussi. Avec les problèmes que cela implique.

Avec des moments légers, d'autres nettement plus graves, « Chère Mrs Bird » est un beau roman sur la force de l'amitié, sur le courage d'une jeunesse qui ne veut pas non plus renoncer à ses plaisirs, sur des femmes qui se battent, qui endossent tous les rôles et qui, surtout, veulent continuer à aimer et à rêver. Même si c'est la guerre.

Jolie découverte donc avec cet auteur qui a su me faire découvrir une page de l'histoire de la bataille d'Angleterre autour d'une intrigue et de personnages des plus sympathiques.

A noter que je n'ai pas retrouvé le même humour que dans "Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates" auquel ce livre est comparé. De plus, il ne s'agit pas d'un roman épistolaire.

Merci à Babélio et aux éditions Belfond pour ce livre reçu dans le cadre d'une Masse critique privilégiée.
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1940, Londres est sous les raids des avions allemands. Emmy, une jeune secrétaire, rêve d’être journaliste, correspondante de guerre. Elle lit dans le journal une annonce, le London Evening Chronicle recherche une assistante, c’est un poste pour elle, la chance de sa vie, cela prendra du temps, mais elle va s’accrocher.

Elle se retrouve en fait dans un minuscule bureau d’un journal féminin et est chargée de taper les réponses au courrier des lectrices sous les ordres de l’intransigeante Mrs Bird. Emmy vient de quitter une place respectable dans une étude notariale pour taper des niaiseries, quelle gourde elle fait. D’autant plus que Mrs Birds a sa liste des sujets inacceptables et les lettres sincères où les lectrices livrent leurs secrets, leurs angoisses ou leurs désespoirs finissent dans la corbeille à papiers. Parmi ces lettres éliminées, celle de « Dans la mouise », une jeune fille de 17 ans amoureuse d’un garçon qui est dans la marine. Alors Emmy prend sur elle de répondre à ces courriers rejetés.

Un livre drôle et émouvant sur l’amitié et le courage, un livre qu’on lit avec son cœur, un roman résolument optimiste. L’écriture légère de AJ Pearce nous entraîne dans Londres, sous les bombardements, les immeubles incendiés, les maisons effondrées, les cratères dans les rues laissées par les bombes.

Un hommage aux femmes qui ne sont peut-être pas au front, mais qui se doivent de combattre de leur côté. Le ton est très anglais et un peu désuet, mais ce n’est pas pour nous déplaire, car le style est plein d’entrain et le lecteur se laisse emporter dans la vie quotidienne de Londres en temps de guerre. Le portrait d’une jeune femme enthousiaste, généreuse et pleine d’empathie.

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Londres 1941, Emy s'apprête a changé de vie et devenir correspondante de guerre. Oui enfin c'est ce qu'elle avait compris de l'offre d'emploi. Mais quand elle se présente le jour même sur site elle comprends que son métier sera légèrement différent !

Mais Mrs bird qui a esprit très aiguë ne compte pas se laisser marcher sur les pieds par Emy, se livre alors une drôle de guerre silencieuse entre les deux femmes dont personne ne cède un pouce juste Kathleen qui compte les points entre.

Sur fond de bombardements allemands, on voit comment le peuple londonnien a survécu pendant cette 2ème guerre mondiale et la fierté que celui-ci avait a participé à "l'effort de guerre "

Inspirant !
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C'est indéniable, ça partait d'un bon sentiment. Malheureusement, moi qui m'attendais à un Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates plus court (Chère Mrs Bird ne fait que 370 pages), j'ai été déçue. le roman est léger, ce que l'on comprend dans le synopsis mais je l'ai trouvé trop peu consistant pour être sauvé. le problème de ces romans où l'on nous vante des héroïnes engagées est souvent le même : les héroïnes en question ne sont pas assez charismatiques. C'est le cas d'Emmy dont on apprend peu de choses en 100 pages sinon qu'elle n'imaginait pas tomber sur le poste où elle a atterri. Elle se voyait grand reporter, la voilà trieuse de lettres pour une rubrique de ménagères. 

Emmy nous lit de nombreuses lettres auxquelles sa supérieure, Mrs Bird, ne répondra jamais. Sa rubrique est coincée et Emmy ne supporte pas la censure que Mrs Bird impose. Cette dernière refuse de répondre à tout courrier évoquant de près ou de loin la sexualité, le mariage, la religion, la politique, etc. 

Le roman consiste à nous faire lire des lettres de jeunes femmes qui écrivent au journal pour obtenir une réponse de Mrs Bird… Il énumère aussi les remarques d'Emmy, navrée que ces lettres ne trouvent jamais de réponse. 

Il y avait trop peu d'actions à mon goût. L'histoire ne décolle pas assez vite et Emmy ne fait que lire et se plaindre de son nouveau travail.

On est dans le Londres des années 40 et on ne nous le décrit pas. Pas d'ambiance, pas de costumes, peu de sentiments, etc. Bref, on ne nous aide pas à entrer dans le cadre et on ne visite aucun endroit hormis le journal où Emmy est employée, et encore.

J'ai pour habitude de ne pas m'accrocher à un livre si je m'ennuie une fois la 100ème page dépassée. Malheureusement donc, Chère Mrs Bird va demeurer sur l'étagère des in-finis.

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Cela faisait longtemps que j'avais envie de lire ce roman et je n'ai pas été déçu. AJ Pearce avec ce récit à su concilier drame et légèreté tout en intégrant une pointe d'humour dans cette période difficile qu'est la seconde guerre mondiale.
J'ai beaucoup aimé le personnage d'Emmy qui en plein blitz veut apporter aide et réconfort. Elle va pour cela enfreindre les règles et répondre aux lettres de ces femmes qui vivent des drames personnels. Un livre qui nous raconte une belle histoire d'amitié et de courage. J'ai trouvé ce roman émouvant et les personnages attachants. Un très très bon moment de lecture et j'attend avec impatience la sortie du deuxième tome.
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Au départ, c'est la couverture qui m'a fait craquer. Je n'ai jamais lu le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, aussi, je ne savais pas à quel type de livre m'attendre.

Je remercie Netgalley et les Éditions Belfond pour cette découverte.

Alors qu'Emmy croyait avoir décroché un poste de reporter de guerre, son travail consiste à sélectionner pour la redoutable Mrs Bird, les courriers des lectrices qui recevront une réponse. Mais attention, certains thèmes et mots sont complètement bannis par la rédactrice en chef. Emmy, malgré le risque, décide d'aider les personnes en détresse.

Alors que ce roman, au premier abord, paraît léger, il devient de plus en plus profond au fil des pages. Emmy, comme d'autres femmes en période de conflit, veut participer à l'effort de guerre. Pour cela, elle est standardiste pour les pompiers. Ce livre m'a fait découvrir le rôle et le sauvetage effectué par les soldats du feu dans cette période tragique. Je n'avais jamais réfléchi au sujet, ni lu de livres traitant de ce thème.

Notre héroïne, avec l'insouciance de la jeunesse, veut aussi aider les femmes qui se tournent vers le courrier du coeur pour parler de problèmes qu'elles ne peuvent évoquer avec leur entourage. Les lettres qui figurent dans le roman montrent les préoccupations de cette époque, dans un monde féminin en pleine évolution. Certaines lettres font sourire, d'autres sont émouvantes.

L'histoire se passe pendant le blitz anglais. Deux événements m'ont particulièrement touchée, c'est à ce moment-là que j'ai compris que ce livre n'était pas qu'un roman feel-good. Je ne vous révélerai pas ces passages, afin que vous puissiez vous aussi les ressentir.

L'auteure parle de la vie sous les bombardements. La population veut continuer à s'amuser, à sortir, montrer à Hitler qu'il n'a pas détruit leur envie de vivre. Ces réactions m'ont fait penser à ce qui a été dit après les attentats de Paris, en novembre 2015, qu'il fallait continuer à aller en terrasse, etc. pour ne pas laisser gagner le terrorisme. Aussi, lorsque des drames se produisent, le livre gagne en intensité.

La suite sur mon blog.
Lien : http://www.valmyvoyoulit.com..
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J'ai failli abandonner le livre au cours du premier tiers. Mais j'ai lu ce roman dans le cadre d'un Spécial Masse Critique (merci aux Editions Belfond et à Babélio) et je me devais d'aller au bout pour pouvoir rédiger une critique en connaissance de cause.
Pourquoi cette tentation d'abandonner ? J'ai trouvé les personnages exagérément caricaturaux : l'héroïne (Emmy) et sa meilleure amie (Bunty) sont immatures, bien qu'âgées de plus de vingt ans et vivant dans Londres en plein blitz ; la supérieure hiérarchique d'Emmy est une caricature outrancière d'une gorgone, le fiancé d'Emmy, bien qu'engagé dans la guerre, est une chiffe molle (j'exagère à peine), etc… etc… Et l'auteur délaie, délaie, délaie avec une foule de détails sans intérêt… sans doute pour appuyer son propos.
Deuxième tiers : à peine plus intéressant, les expériences d'Emmy dans son job au journal et dans son activité bénévole dans la caserne de pompiers étant très répétitives.
Dernier tiers : un peu plus intéressant car un événement dramatique secoue tout ce petit monde et il y a nettement moins de répétitions et délayages. C'est la raison pour laquelle j'attribue 3 étoiles au livre et non 2, comme j'en avais l'intention.

La 4e de couv. indique : ‘'dans la droite ligne du ‘'Cercle littéraires des amateurs d'épluchures de patates'', un premier roman plein de charme et d'humour british'' (je cite). J'ai aimé le roman de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows, subtil et drôle ; je n'ai pas retrouvé ces qualités dans le livre de A.J. Pearce à quelques rares passages près.
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Je ressors légèrement déçue de cette lecture qui ne m'a pas plu autant que je ne l'espérais.
J'ai trouvé l'intrigue "déséquilibrée" : elle part dans une direction, puis une autre, puis s'attarde sur un autre sujet et au final j'ai eu l'impression que toutes ces pistes n'étaient pas pleinement exploitées. Vu la période historique et la jeunesse et l'énergie de l'héroïne, cela aurait pu être fait exprès par l'auteur pour montrer le quotidien agité, foisonnant, périlleux des londoniens pendant le Blitz ; mais ce n'est pas l'effet que cela m'a fait.
En plus, je ne me suis pas attachée à l'héroïne qui m'a trop souvent paru un peu puérile et velléitaire. Elle a de grandes idées, de grands projets, mais ne les met pas en oeuvre (même pas à l'approche du dénouement où elle prétend pourtant avoir retenu les leçons de ses erreurs…). Et puis s'agissant de la forme, cette manie de mettre des majuscules un peu partout pour souligner l'importance ou la particularité de ce qui est dit m'a agacée : il y en a dans toutes les phrases, ou presque ! Cette surabondance fait perdre de son efficacité au procédé : tout ne peut pas être souligné ainsi.
Bref, je n'ai pas été convaincue par ce roman qui, s'il n'est pas désagréable à lire, me laisse néanmoins avec le sentiment que l'auteur ne maîtrisait pas vraiment son sujet...
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Tout d'abord je remercie les éditions Belfond et Netgalley de m'avoir permis de découvrir ce livre et cette auteure. J'ai passé un excellent moment dans la compagnie d'Emmy et de sa meilleure amie Bunty. L'action se passe pendant la Seconde guerre mondiale, à Londres, au moment où l'Allemagne essaie de faire flancher les anglais en bombardant toutes les nuits la capitale. Mais il faudrait plus d'un bombe pour ruiner le moral de cette chère Emmy qui, presque toutes les nuits, rejoint une équipe de pompiers pour faire son devoir. Emmy n'a qu'un rêve, celui de devenir grande reporter, et lorsqu'elle voit une annonce dans le London Evening chronicles, elle saute sur l'occasion sans chercher à savoir exactement le profil du poste proposé. Las, au lieu de courir les champs de bataille ou les coulisses du parlement à la recherche de scoops, la voici coincée au dernier étage d'un immeuble à supporter la vindicte de Mrs Bird qui l'a a chargée d'une unique tâche : sélectionner les lettres des anglaises à qui elle aura l'honneur de répondre. le problème c'est que cette femme très digne et conservatrice lui a fourni une liste tellement longue de sujets Indésirables qu'il ne reste pratiquement rien, à part discuter de la longueur de cheveux ou de l'inquiétude d'avoir perdu son chat. Pour Emmy c'est un crève-coeur que de mettre à la poubelle les messages de ces femmes qui s'inquiètent pour leur mari, de ces jeunes filles qui s'interrogent sur la conduite à tenir envers un jeune homme. Aussi, après avoir bien réfléchi et sans penser à mal, Emmy va se substituer à la redoutable Mrs Bird dont les hurlements pourtant terrifient tout le monde.
J'avoue que j'ai bien ri en lisant ce roman, par exemple lorsqu'Emmy se retrouve confrontée à la terrifiante dame et à sa liste de « mots et expressions qui ne seront ni publiés ni soumis à Mrs Bird pour réponse ». On rit aussi beaucoup quand l'auteur évoque la vie d'Emmy, ses déboires avec son fiancé, ses soirées avec sa meilleure amie. Mais pas seulement. AJ Pearce a su aussi restituer avec beaucoup d'authenticité le quotidien des londoniens pendant cette période et il y a quelques chapitres saisissants sur les bombardements nocturnes, notamment celui où Emmy tente de rejoindre le Café de Paris où elle a rendez-vous. On s'y croirait presque au milieu du hurlement des bombes qui s'abattent autour d'elle. Chère Mrs Bird est donc un roman plein de bonnes surprises qui aborde l'amitié, la force du peuple anglais qui a su résister à l'acharnement allemand, leur flegme et leur humour malgré la guerre et les morts. Je ne regrette qu'une chose c'est qu'il se termine aussi brutalement alors qu'il y a tant de choses laissées en plan. Doit-on comprendre qu'il y aura une suite ? Si c'est le cas je suis partante !

Lien : https://labibdeneko.blogspot..
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