On ne dira jamais assez que les vaccinations sont le fruit d’une médecine monopole d’État, comme naguère il y avait une église d’État, qui imposait la Scolastique médiévale, une école de pensée qui avait inventé le diable comme cause des maladies infectieuses, et le bûcher promis à ceux qui entraient en contact (origine du mot contagion) avec le diable. Depuis on a diabolisé le microbe, en le qualifiant de pathogène, en occultant le terrain ; c’est comme si l’Institut Pasteur était une délocalisation du Vatican, et Louis Pasteur un substitut du Pape, avec pour conséquence le décret d’Infaillibilité Vaccinale à l’image de l’Infaillibilité Pontificale. C’est de l’humour mais les faits historiques réels rendent cette analogie un peu moins humoristique et cependant d’actualité.
Nous avons tous un système immunitaire pour adapter tout seul notre corps, pas celui d’un autre, de façon autonome à l’évolution du monde, de la vie qui est là depuis des lustres après avoir traversé victorieusement combien de pandémies ?
Nous avons tous un cerveau pour penser par nous-mêmes, de façon autonome, et non pour répéter sans cesse la pensée des autres. Nous avons tous un cœur pour vivre et ressentir par nous-mêmes, de façon autonome, pas à la place d’un autre ; pour aimer et comprendre cet autre, pour se comprendre tous ensemble afin de partager la Vie.
Évoquer l’argent, l’efficacité douteuse et la toxicité certaine pour condamner le système vaccinal, ne sont pas des critiques que l’on peut adresser de façons exclusives aux vaccinations. N’est-ce pas toute la médecine officielle qui est concernée par ces critiques ?
Dans ces conditions, les vaccinations apparaissent comme étant l’arbre qui cache la forêt. Malgré tous ces livres, richement documentés, les vaccinations perdurent. Même dans les pays où il n’y a pas d’obligation vaccinale aussi dictatoriale qu’en France, les populations se font vacciner autant que dans notre pays. Je pense que la raison vient du fait que tous les livres écrits au sujet des vaccinations, hormis l’ouvrage impressionnant du Professeur Georget, utilisent la même méthode que celle utilisée par les vaccinations dans leur principe microbien: c’est la faute aux autres, principe sur lequel est fondée la notion arbitraire de maladie infectieuse; c’est la faute aux microbes qu’un autre m’a transmis…
On peut être efficace pour construire, bâtir, édifier, mais aussi pour détruire. Ne sommes-nous pas en train de détruire et d’intoxiquer, avec une rigueur scientifique qui fait peur, la flore, la faune, les mers, les océans, les rivières, l’atmosphère… toute la biosphère ? Les techno-sciences sont très efficaces. Dans le domaine médical, certaines autorités osent dire : la toxicité des médicaments est au moins une preuve de leur efficacité, par rapport au placebo.
Vacciner consiste donc à inoculer avec une seringue dans un corps, un antigène de nature microbienne. Celui-ci étant considéré comme le seul et unique responsable de la maladie infectieuse, on entend ainsi en protéger le corps. Le fabriquant certifie avoir rendu auparavant l’antigène inoffensif, c’est-à-dire « non pathogène».