" Comme Josef l'a dit, nous croyons que ce que nous voulons croire, que ce en quoi nous avons besoin de croire. De même, nous décidons de ne pas voir ce que nous préférons tenir pour inexistant." p.243
Je crois que l'extraordinaire prend chaque jour la meilleure part sur l'ordinaire. Je crois que le fait d'avoir quelque chose à espérer, même si ce n'est qu'un lendemain meilleur, est la drogue la plus puissante de la planète.
Cela apporte un peu d'espoir à des gens qui n'en ont plus.
Le véritable amour est comme le pain ; il lui faut les bons ingrédients, de la chaleur et un peu de magie pour s'épanouir.
J'imagine que c'est parce que la communication ne s'effectue que dans un sens, qu'il n'est jamais possible de demander au cher disparu s'il a souffert, s'il est heureux là où il est désormais... s'il se trouve quelque part.
S'il est important de croire en quelque chose, c'est parce que tu en as la possibilité.
Peu importe ce qui laisse un vide en vous, ce qui compte, c'est la présence de ce vide.
Tel est le paradoxe de la perte : comment se fait-il que ce qui n'est plus nous pèse tant ?
« - Si je ne reproduisais pas ce que j’avais fait, alors cette première fois lors de laquelle je n’avais pas dit « non », me revenait en mémoire. Répétez à l’infini la même action, elle finiras par vous paraître juste. Au final vous n’éprouverez même plus de culpabilité. »
Extrait : Josef Weber.
Ceux qui l'ont vécue savent que les mots ne pourront jamais la décrire.
Et ceux qui ne l'ont pas vécue ne comprendront jamais.