La littérature n'avance que par ses coups de folie, ses entreprises excessives. Et, surtout, elle n'avance que lorsqu'elle surgit d'elle-même, s'avale au passage. Ainsi, je ne suis pas sûr que Jérôme Pintoux puisse séparer son itinéraire de lecteur, les auteurs qui sont pour chacun notre bibliothèque, toutes époques, tous pays, de ce que je suppose qu'il a fait si longtemps : faire travailler des classes de lycéens sur les grands noms du passé, mais en secouer l'é...
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