Les loups s’adaptent grâce à leur épaisse fourrure et les bêtes se réchauffent, les unes contre les autres, dans ce pays glacé où seul le corps à corps rapproche les âmes.
Deux semaines de pluie intense sur ce versant, c’est chose courante. Hommes et bestiaux en ont fait leur quotidien. Autour du troupeau dissipé, un chien rugueux fait des va-et-vient, aboyant plus souvent qu’à son tour pour rappeler à l’ordre les fortes têtes.