La femme qui prend la parole, dans le roman Les Vivantes, fait partie de ceux-là, qui ont traversé les ténèbres et dont les mots s'emploient à raconter ce crime sidérant : la faim, la soif, les sévices. L'assassinat de masse et la déshumanisation systématique de l'individu.
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Libération de la parole : pourquoi tant de haine? .Rencontre avec Richard Rechtman, anthropologue et psychiatre, Directeur d'études à l'EHESS (Ecole des Hautes études en Sciences Sociales), sur le thème de notre dossier de la semaine : Pourquoi tant de haines ?