Sorcery of Thorns

Un livre qui parle de livres....magiques !
Des livres interdits car ils contiennent des sorts réputés comme dangeureux à tel point que ses livres sont imprégnés de la puissance révélée dans leurs pages et cela leur confère une personnalité assez impressionnante. Gare à celui qui laisserait trop de liberté à ses grimoires...
Une jeune gardienne de bibliothèque en apprentissage va devoir déjouer un plan machiavélique d'un sorcier fourbe qui comptent bien utiliser ces grimoires à des fins terrifiantes...
L'univers m'a bien plu même si je regrette que celui ci ne soit pas plus approfondi.
En dehors des bibliothèques, il y a peu d'informations sur Austermeer et la relation entre les sorciers et les gardiens des bibliothèques qui pourtant semblent complexes sans vraiment savoir pourquoi.
La romance est assez convenue pas de surprise.
Le personnage de Silas le démon est celui que je préfère de loin. Beaucoup plus profond que les autres.
L'écriture est fluide.
L'histoire est originale mais il me manque un peu plus de profondeur.
A recommander pour des ados/jeunes adultes.

Commençons par le positif : c'est son univers livresque qui m'a attirée vers ce livre et c'est que je retiendrai le plus. Nous évoluons dans un monde où les livres et autres grimoires sont magiques, développant pour certains une personnalité propre, le don de parole, constituant parfois même un danger pour autrui. Ces ouvrages aussi puissants que dangereux sont soigneusement conservés dans les bibliothèques d'Austermeer. A travers ce concept, nous voyons l'amour de l'autrice envers les livres et je pense que tous les lecteurs s'y reconnaîtront. C'est mon aspect préféré de Sorcery of Thorns (peut-être même l'un des seuls) et je regrette qu'il ne soit pas exploité davantage.

Car c'est là ma principale déception. Ce roman regorge de bonnes idées, sans jamais allé plus loin que le bout de leur nez. Il ne parvient pas à se démarquer de schémas classiques, voir des archétypes du Young Adult. Ce manque d'originalité et de parti-pris est frustrant. Par exemple, le système de magie est peu explicité et parfois incohérent. On nous répète que les sorciers sont vus comme maléfiques par les bibliothécaires, pourtant ces derniers ont pour mission de conserver les livres de magie des sorciers. Pourquoi cette méfiance envers la magie ? Elle me semble peu fondée, si bien que ce manque de repère rend les relations entre les personnages, censées naître dans l'adversité, peu bouleversantes. J'aurais également aimé en savoir plus sur le système politique, la société d'Austermeer. Là, elle est à peine ébauchée.

Pourtant, l'esthétique me plaisait. Au détour des pages, on croise un esprit sylvestre semblant tout droit sorti d'un film de Miyazaki. Un personnage nous apprend qu'ils sont en train de disparaître. Intéressant, mais… On n'en reparle plus jamais dans le reste du roman. Quel était l'intérêt de cette scène ? L'intrigue est cousue de fil blanc et n'est jamais parvenue à me surprendre. On sait par avance ce qu'il va se passer, qu'une trahison va avoir lieu, qu'un imprévu va venir tout chambouler, qu'une aide inespérée va sauver la mise… Parfois, l'autrice nous sort des « tais-toi, c'est magique ! » pour résoudre les problèmes de ces personnages : l'objet enchanté trouvé comme par hasard quand l'héroïne en a besoin, le sort parfait comme ressort scénaristique, le personnage lambda qui apparait seulement pour sauver quelqu'un du pétrin avant de disparaître et n'être jamais plus mentionné… Je trouve ça dommage. Ce n'est pas parce que le livre est davantage destiné aux adolescents qu'il faut prendre ses lecteurs pour des cruches.

Venons-en à un autre point qui avait pourtant du potentiel : les personnages. le trio principal, formé par Elisabeth, Nathaniel et Silas avaient tout pour me séduire. Déjà, car l'autrice évite le piège trop évident du triangle amoureux. Mais également, parce qu'ils me faisaient pensé à Sophie, Hurle et Calcifer du Château de Hurle. Mais ils ne sont qu'une pâle copie de ces protagonistes hauts en couleurs. Comme pour l'intrigue, les personnages ne parviennent pas à être davantage de ce qu'on attend d'eux, et à cause de cela ils ne sont pas marquants.

Commençons par Elisabeth Scrivener, notre héroïne. Si durant les premiers chapitres je la suivais avec intérêt, la suite a été plus laborieuse. Elisabeth est l'héroïne transparente par excellence, qui se caractérise de la sorte : un peu naïve car elle découvre un monde nouveau, pas comme les autres filles (attention, Elisabeth est très grande pour son âge !) et maligne et courageuse seulement lorsque le scénario l'exige. Car dans la majeure partie du roman, soyons francs : Elisabeth n'est pas le couteau le plus aiguisé du tiroir. Il lui faut souvent du temps pour comprendre ce qui se passe, parfois bien après le lecteur (cela est dû à l'intrigue peu surprenante). Et puis, elle est assez fade. Franchement, je ne pourrai pas lui donner un trait de caractère à part le fait qu'elle est… Grande ? Les grimoires magiques sont plus caractérisés qu'Elisabeth, c'est pour dire !

Nathaniel Thorn m'a également laissé indifférente. C'est l'archétype du garçon brun aux yeux clairs, mystérieux et sarcastique, mais jamais plus. Son histoire aurait pu être intéressante, mais elle n'est guère parvenue à m'émouvoir plus que cela. Et puis même : je vois ce qu'essayait de faire l'autrice, mais elle n'y parvient pas. La plupart des remarques sarcastiques de Nathaniel ou ses blagues tombent à plat, j'ai même levé les yeux au ciel quelques fois. (Tout le monde n'est pas un Nikolai Lantsov, n'est-ce pas ? Promis, j'arrête de parler du Grishaverse !) J'apprécie tout de même le fait qu'il soit bisexuel, ce qui est assez rare en YA.

Ce qui me permet d'enchainer avec un autre point : la romance. Je ne l'ai pas détestée, mais elle m'a laissé indifférente (là ça commence à faire beaucoup de points qui m'indifférent). Alors certes, pour une fois l'intérêt amoureux respecte notre héroïne et ne développe pas l'une de ses relations toxiques. Mieux, il a seulement deux ans de plus qu'elle et non deux siècles (Coucou Edward, Rhysand & Cie). Mais voilà : Nathaniel et Elisabeth ont plus d'alchimie avec les autres personnages qu'entre eux d'eux. Leur « amour » arrive trop rapidement et si leurs échanges étaient amusants au début, ils s'essoufflent bien vite. Nathaniel la taquine, lui lance des petites piques, mais Elisabeth répond à peine. Il n'y a pas de réelle répartie, pas d'étincelle.

Pour finir sur du positif, je ne parlerai pas du méchant aux motivations et caractérisation vues et revues, et son identité révélée bien trop tôt. Non, je préfère terminer sur Silas, le démon au service de Nathaniel. S'il campe dans l'archétype attendu du personnage, je l'ai apprécié car j'ai un faible pour ce genre de dynamique. J'aurais préféré qu'il soit mis davantage en avant, ce que j'aurais fait si je pouvais réécrire le roman (et mettre Katrien à la place d'Elisabeth, elle a plus de caractère et ferait un personnage plus attrayant). Sa relation avec Nathaniel est plus intéressante, ils ont plus d'alchimie Par exemple, pourquoi ne pas exploiter la bisexualité de Nathaniel et l'attachement étrange que Silas éprouve pour lui ? Elisabeth, par sa naïveté et son amour des livres, aurait pu se contenter de rester une amie, pas besoin de toujours donner une histoire d'amour à l'héroïne, surtout quand celle-ci empiète sur l'intrigue.

Au final, je pense ne pas simplement ne pas être le bon public. J'ai souffert de certaines longueurs et j'ai dû lire les derniers chapitres en diagonale pour ne pas abandonner. Mais je sais que ce livre a ses fans et je suis certaine qu'il pourra plaire à certains d'entre vous. Ayez seulement conscience que si vous aimez le Young Adult, ce ne sera pas le roman le plus original de votre vie de lecteur.
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L'originalité de Sorcery of Thorns c'est véritablement son univers de vieux grimoires magiques grincheux, catégorisés selon leur degré de dangerosité. Ça m'a de suite fait penser au Monstrueux Livres Des Monstres dans Harry Potter, mais ici, c'est comme si les bibliothèques en étaient remplies ! C'était plutôt chouette de mettre le nez dans ces étagères remplies de livres magiques poussiéreux.

Le monde imaginé par l'autrice est très riche, mais l'intrigue est plutôt simple. Elisabeth, Nathaniel et Silas forment un trio attachant. Néanmoins, les personnages sont assez lisses. Elisabeth est le cliché de l'orpheline au caractère bien trempé, avec un brin de naïveté. Nathaniel est issu d'une grande famille de sorciers et n'a pas envie de suivre les traditions. Il n'y a que Silas, le démon-servant, qui est le plus travaillé, car le plus nuancé.

Les personnages secondaires n'ont que peu d'intérêt, et on devine qui est le méchant avant qu'on nous le dévoile.

L'écriture fluide et très imagée nous permet de vivre l'histoire comme si on y était, avec son lot de péripéties qui tiennent le lecteur en haleine jusqu'à la fin. Je ne peux enlever à Margaret Rogerson son talent de garder le lecteur captivé. Cependant, à aucun moment je n'ai été ni décontenancée ni surprise par l'enchaînement des évènements ou par les « révélations ». Tout est très prévisible.

Pour moi, Sorcery of Thorns reste un livre très agréable et distrayant, mais sans plus.

Je pense honnêtement que si je l'avais lu en ayant 14-15 ans, j'aurais vraiment adoré !

Mouais bof. Ce livre a un unique point fort selon moi, c'est cet univers original de grimoires vivants, qui peuvent se transformer en créatures maléfiques. Quand j'ai commencé à le lire, et que j'ai vu qu'il y avait des détails sympa comme les poux de livres, je m'attendais à une très bonne lecture. Mais en fait non, parce que cet univers n'est pas très développé, et c'est bien dommage puisque c'est là tout l'intérêt de ce roman. En dehors de cela, nous avons des personnages qui n'ont pas franchement de personnalité. Mon préféré c'est Silas, c'est le seul qui m'aie un tant soit peu intriguée, et d'ailleurs j'aurais bien aimé en savoir plus sur lui. Nathaniel, et bien, on le connaît à peine en vérité, et c'est l'une des raisons pour lesquelles la romance m'a laissée indifférente. Ce n'est pas parce qu'il a un passé tragique et qu'il fait des cauchemars la nuit qu'on va s'attacher à lui instantanément. Et puis Élisabeth, tantôt elle est plus grande et plus forte qu'un homme (je lève les yeux au ciel), tantôt elle s'évanouit sans raison... Quelques petites incohérences sont à noter de-ci de-là. le fait que Nathaniel soit bisexuel c'était plutôt intéressant, mais c'est juste posé là, ça devient anecdotique. Bref, ce roman avait du potentiel. Peut-être que le fait d'être un one shot n'a pas laissé la place à l'autrice pour fouiller d'avantage ses personnages et les relations entre eux. J'ai eu du mal à le terminer. Dommage.

Malgré quelques bémols (qui peuvent sembler rédhibitoire, et je comprends tout à fait !), j'ai passé un bon moment avec ce roman de fantasy jeunesse. L'univers inventif, l'action rondement menée et quelques petites trouvailles sympa ont suffi à me faire oublier l'intrigue parfois trop faciles et des personnages avec quelques stéréotypes. Une bonne découverte dans l'ensemble !
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Vous aussi vous avez le don de communiquer avec les livres ? Moi non hélas mais c'est le cas de Elisabeth Scrivener qui a grandi entre les murs de la Grande Bibliothèque d'Estive.

J'ai trouvé le début de Sorcery of Thorns hyper enthousiasmant ! On y découvre un univers où les bibliothèques ont pour mission de protéger des grimoires magiques…et vivants ! J'ai adoré toute cette première partie : qu'il s'agisse de l'univers, la plume de l'autrice, la magie autour des livres et la dynamique qui s'installe rapidement entre notre héroïne, Nathaniel et Silas. Tous les éléments étaient réunis pour une excellente lecture.

Cependant j'ai trouvé qu'il y avait un problème de rythme vers la moitié du roman, je n'étais plus autant à fond et investie dedans. On s'attarde beaucoup sur le quotidien d'Elisabeth au sein du manoir ainsi que sur sa relation avec Nathaniel, ce qui est très chouette, mais j'ai trouvé dommage que ce soit au détriment de l'intrigue principale (peu intéressante au final) et de l'antagoniste (dont les motivations étaient peu convaincantes).

Au final j'ai passé un bon moment avec ce roman mais ce n'était pas vraiment le coup de coeur espéré. Tout était là mais il manquait à mon goût une intrigue plus solide qui aurait mieux exploité l'univers ainsi que des personnages secondaires (autre que le trio) plus étoffés. Une duologie n'aurait pas été de refus (je ne compte pas le tome 1.5). Ça reste quand même une bonne lecture que je recommande aux amateur.ices de romantasy.

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Je suis déçue par cette lecture.
Je n'ai pas grand chose à en dire de plus. On me l'a clairement vendu comme une romantasy, mais je trouve que l'histoire d'amour n'est pas vraiment le centre de cette histoire. Je trouve ça un peu dommage, mais soit.

L'univers en soi est assez intéressant : des bibliothèques, des livres, des grimoires magiques, de la sorcellerie, un complot… Les éléments étaient pourtant tous là pour me faire apprécier l'histoire.

Et pourtant…
L'héroïne ressemble à toutes les autres : naïve, courageuse et indépendante quand l'histoire l'exige… Bref, elle n'a rien d'exceptionnel. Je n'ai pas su m'attacher à elle.
Puis, au bout de presque 200 pages de lectures, je me suis rendue compte qu'il ne s'était quasiment rien passé de très intéressant…

J'ai d'ailleurs mis un long moment à finir ce livre, pensant que je finirais pas trouver un élément qui me ferait changer d'avis… mais rien.

"Sorcery of Thorns" est ma première lecture de Margaret Rogerson. Une lecture qui me laisse un sentiment partagé. J'ai passé un bon moment, ai apprécié l'univers, mais ne suis pas sûre de m'être attachée aux personnages.

Un résumé pour commencer : dans un monde où la magie est considérée comme dangereuse, et ses pratiquants comme étant maléfiques, les Grandes Bibliothèques assurent ordre et protection à la population. Elles contiennent les grimoires dans lesquels les arcanes se sont accumulés au fil du temps. Les plus puissants ouvrages peuvent se transformer en créatures, des Maléficts, c'est pourquoi les Grandes Bibliothèques forment des gardiens : des individus exceptionnels capable d'affronter ces monstres. Elizabeth a toujours vécu dans la Grande Bibliothèque d'Estive, et rêve d'être gardienne depuis le plus jeune âge. Un soir, alors qu'elle ne parvient pas à trouver le sommeil, son refuge fait l'objet d'une attaque sordide... Elle n'a alors pas d'autre choix que de s'allier à Nathaniel, un magister puissant et craint, pour démêler de sombres complots...

Comme dit, l'univers est très plaisant. J'ai beaucoup aimé l'ambiance des Bibliothèques, ces lieux protecteurs du savoir, mais pouvant s'avérer aussi être geôlier. Tout le traitement des grimoires est très intéressant, tout comme celui de la magie : j'ai beaucoup aimé qu'elle vienne de pacte avec des démons, par exemple. Les péripéties donnent envie d'en savoir plus, certains éléments sont certes rapides, mais l'histoire s'enchaîne bien et l'écriture est fluide.

Ce qui m'a sorti plusieurs fois de ma lecture sont les personnages. Déjà, ils ont entre seize et dix-huit ans, mais paraissent plutôt en avoir vingt-cinq. Ils correspondent à de nombreux clichés qui me gênent aujourd'hui quand je lis de la littérature jeunesse ou Young Adult. Lui, sombre et mystérieux, bien évidemment incroyablement séduisant, a en fait un coeur doux comme celui d'un agneau quand on connaît son passif terrible et torturé. Elle, pure et ingénue, est la seule capable de briser sa carapace, la seule à le faire rire et à le voir comme personne d'autre ne l'a jamais vu, quand bien même ils dialoguent très peu, au fond. Leur attirance est immédiate, et m'a parut très forcée. Elizabeth m'a vite fait l'impression d'une Mary-Su, ce qui m'a donné peu de matière pour m'attacher à elle. Finalement, mon personnage favori a probablement été le démon de Nathaniel, Silas.

Cette lecture m'a donné la curiosité de découvrir d'autres romans de Margaret Rogerson, notamment "Vespertine", mais je ne pense pas lire la suite de "Sorcery of Thorns" venant tout juste de sortir chez nos libraires. le second tome semble encore plus porté sur la romance entre les protagonistes, et si j'apprécie les histoires d'amour, force est de constater que je me sens de moins en moins en phase avec celles représentées.

J'ai entendu énormément de bien sur ce livre et en voyant la version reliée sortir un peu partout, je me suis dit que c'était le bon moment pour découvrir l'histoire. Malgré tous les avis bons avis que j'ai pu lire, je me retrouve déçu de cette lecture et je reste sur ma faim.

Elisabeth a été élevée au milieu de grimoire magique dans l'une des grandes bibliothèques. Des grimoires magiques qui peuvent se transformer en monstres ! Elle va se retrouver confronter au beau milieu de la nuit à l'un d'eux et elle va voir sa vie changer après cet événement. Elisabeth se retrouve accusée à tort d'avoir libéré ce grimoire et va devoir comparaître devant la justice. Elle se retrouve dans une conspiration vieille de plusieurs siècles et décide malgré tous les principes qu'elle a pu apprendre étant jeune de se tourner vers un sorcier et son serviteur pour tenter de sauver le monde.

J'ai beaucoup apprécié la plume de l'auteure, les descriptions sur les lieux, les personnages sont vraiment bien écrits. Par contre, je ne comprends pas pourquoi les gens parlent de ce livre comme ayant de la romance ? Pour moi, celle-ci est complétement mise de côté et ce n'est clairement pas la chose que je mets en avant après cette lecture (j'avais du coup une grande attente sur la romance et je suis déçu de voir qu'elle n'existe pas.) de plus, je suis quelqu'un qui adore avoir des vraies fins dans les histoires et je déteste devoir imaginer la suite des événements avec les fins ouvertes et... c'est ce qui arrive dans ce livre. Je suis incapable d'imaginer la suite des événements et j'aimerais en savoir plus pour être complétement satisfaite de ma lecture. Je ne dis pas que le livre est mauvais loin de là l'histoire en elle-même est très intéressante et bien écrite (même si j'aurais voulu en savoir plus sur certains points)

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Vu l'engouement que provoque ce roman, j'avais placé la barre assez haut et mes attentes n'ont malheureusement pas été atteintes. Je visais le coup de coeur ou presque et finalement j'en suis assez loin. Je me suis ennuyée pendant quasi toute la lecture. J'ai aimé l'histoire et les personnages mais il manquait quelque chose pour que j'accroche vraiment et j'ai survolé plutôt que lu. Dommage !