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3,32

sur 153 notes
Il est difficile parfois d'entretenir la flamme d'une fresque telle celle qu'avait allumée François Roux dans son roman "Le bonheur national brut". Après les années 80, l'auteur renouvelle l'expérience avec la décennie suivante, sans y insuffler, cette fois-ci, le souffle romanesque du premier. Brouillon, empâté, le récit n'arrive pas à donner corps à des personnages qui deviennent caricaturaux.

Entre Adèles, « petite bille de ressentiment », révoltée contre le monde que lui laisse ses parents, et Justine la désabusée aux prises avec « une colère assourdissante, incontenable et silencieuse », il n'y a pas beaucoup de place pour la nuance.
Extrême gauche ou extrême droite semblent mués par un même combat, celui de la haine. La haine d'un système qu'il ne faudrait surtout pas changer...
Vision manichéenne, centrée sur une causalité psychologique des événements, rétrograde selon moi.
Je préfère passer mon tour, pour cette fois.

Abandonné en avril 2019.
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Une histoire somme toute assez banale qui pourrait ressembler à notre histoire ou celle du voisin ou d'un proche. François Roux dépeint la descente aux enfers d'un couple suite à des événements de la vie de tous les jours.

Justine s'éprend au départ d'Alex, un grand séducteur instable et coureur de jupons. Quand elle se fait évincée pour une autre, elle va s'attarder sur son frère aîné Nicolas, plutôt gentil, attentionné, stable et attachant. de cette idylle, un couple va se former de manière très aléatoire car Justine n'est jamais satisfaite, elle court d'hommes en hommes. Pourtant deux enfants arriveront de cette union et les années finiront par passer. Chacun y trouvera son compte, son épanouissement dans des boulots épanouissants. Jusqu'au jour où Nicolas est licencié de son poste de directeur pour cause de restructuration. Malgré ses compétences, Nicolas peine à décrocher un nouvel emploi. Quarante-neuf ans, certains trouvent cet âge trop vieux... La descente est annoncée. le décalage entre Justine surchargée de boulot et Nicolas vide de tout travail, la confiance qui s'étiole, les amis qui s'éloignent, le couple qui prend l'eau. Tout ce dont rêvaient ces deux-là étaient pourtant d'être heureux mais le bonheur n'est pas monnaie courante quand le pessimisme ouvre s'est grands yeux.

Ce roman dessine très bien les contours du couple et du quotidien. Son bémol est qu'il est raconté à la troisième personne, et surtout, d'une manière très factuelle et détachée. Difficile de s'attacher aux personnages. Il y a peu de dialogues ce qui est dommage car ceux-ci permettaient de rentrer davantage en contact avec les personnages. Un ton un peu trop neutre et descriptif à mon goût, j'aurai préféré plus d'émotions et plus de subtilités. Sinon cela n'en reste pas moins une histoire fluide et intéressante pour son côté réaliste.
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Je suis bien contente que Babelio ait pensé à moi pour découvrir ce livre en avant première !
Je les remercie, ainsi que les éditions Albin Michel.

Je suis heureuse, parce que ce roman m'a beaucoup plu !

L'immersion au sein de la famille que composent Justine et Nicolas est très aisée.
Il est assez naturel de s'identifier à au moins l'un des personnages.
J'aime particulièrement cela dans mes lectures. Me sentir concernée, un peu comme si j'étais prise en otage par le déroulement de l'histoire.
Les événements qui se produisent sont d'actualités, font état de notre société.
C'est le quotidien de nombreux français.
Réaliste et criant de vérité.

Justine et Nicolas sont mariés et parents de 2 grands enfants, lorsque monsieur perd son emploi à l'aube de ses 50 ans.
Il ne réalise pas tout de suite, l'impact que ce bouleversement aura sur sa vie et celle de sa famille, de ses proches.

Tout ce dont on rêvait, c'est l'histoire d'une descente aux enfers, d'un combat aussi...
Un combat face à la conjoncture actuelle,
un combat face au regard des autres,
contre l'image que l'on renvoie,
contre soi,
surtout,
la baisse de l'estime et de la confiance en soi....

Comment surmonter une telle épreuve ?
Comment faire face quand on est confronté à cette situation ? Qu'on ne se sent plus utile à rien ?
Où trouver la force d'avancer et de conserver le peu qu'il nous reste ?
L'essentiel, sans aucune doute,d'ailleurs...

François Roux nous immerge au sein de cette famille, assez commune et nous plonge dans leur quotidien semé de doutes, de questionnements, de découragements, mais aussi d'espoir, d'envie... tout cela avec brio.

J'ai combattu avec lui,
j'ai tenté de comprendre et d'épauler avec elle,
j'ai soutenu et me suis révoltée aussi,
exprimé mes idées et balancé mes 4 vérités !
Et je me suis surtout posé de nombreuses questions... sur ma vie, mes à priori, mes convictions, ma situation, mes envies...
et... sur MA vie, oui... Ce qu'elle est et ce que j'ai envie d'en faire.

Vous l'aurez compris, ce roman m'a un peu secouée...
Je vous invite à le découvrir dès sa sortie, le 04 janvier 2017.
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Tout ce dont ils rêvaient et pourtant le bonheur de ce couple n'est pas au rendez-vous.
Justine en quête du grand amour rencontre Alex. Mais pour Alex, Justine n'est qu'une passade, une fille de plus. Par défaut, elle finira par se mettre en couple avec Nicolas, frère de. Nicolas est l'opposé, droit, serein, travailleur, sûr de lui.
Le père de Justine est du genre vieux con aigri par la société, les parents des frangins sont morts dans un accident d'avion. Nicolas se sent coupable, il a tout géré.
La vie de ce couple va basculer le jour où Nicolas perd son emploi de directeur financier. Toute cette jolie façade va s'écrouler pour révéler les traumatismes liés à l'enfance.
Je ne connais pas les personnages de l'histoire mais immanquablement ils nous entourent, on connaît tous des Nicolas, des Justine et tous les autres.
Un roman qui sonne vrai par tous les événements qui servent de toile de fond : mai 1968, l'attentat de Charlie Hebdo, les restructurations industrielles … Mais surtout ce couple qui n'est qu'un exemple de ce que bien d'autres traversent.
La famille qui sert de havre de paix se déchire, se réconcilie, s'oppose, se rapproche ou s'éloigne.
La plume de François Roux dépeint à merveille cette histoire, nous pousse à découvrir la suite, malheureusement nous sommes en terrain connu.
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"Tout ce dont on rêvait", le titre du roman sauf que Justine, mon personnage préféré, ne rêvait à rien.
On la rencontre jeune tout à fait perdue dans les désillusions, détruite par un père négatif à son égard, loser, révolté. Elle vit une vie débridée, dégoûtée par les hommes, et elle rencontre Nicolas, le frère de celui qu'elle convoitait.
Ils se marient, ont deux enfants. Nicolas dirige un service financier dans un palace, Justine est infirmière en psychiatrie.
Elle veut se rendre aussi utile que son père a été inutile.
Justine montre une face extérieure rassurante et cache une face intérieure tourmentée.
C'est un personnage étonnant.
Je ne dévoile pas la suite, ce serait gâcher le plaisir du lecteur.
J'ai beaucoup apprécié le style de l'auteur qui analyse en profondeur les personnages et la société dans laquelle ils évoluent .
J'ai par exemple beaucoup aimé la scène où Justine se rend à une réunion de l'extrême droite avec son père pour observer l'auditoire. C'est plein d'empathie pour ces personnes déçues par la société .
François Roux n'est jamais ennuyeux même quand il aborde les conversations politiques à travers la bouche de Joseph, le grand-père, et Adèle, la petite-fille.
Il est très réaliste, il me semble.

Je remercie Babelio et les éditions Albin Michel pour m'avoir permis de découvrir l'auteur et son livre.
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Au travers de l'histoire d'une famille parisienne, bien contemporaine, l'auteur nous parle des plaies de notre époque : le couple, le chômage, les enfants qui grandissent, la famille…

On a un couple étrange, Justine ayant épousé Nicolas alors qu'elle était tombée amoureuse de son frère, Alex, lors de sa période alcool, boîtes de nuit, sexe à tout crin. Un couple où a priori tout va bien, l'argent entre à flots, l'appartement douillet… les enfants poussent bien, le dernier étant hyperactif sans que cela semble trop perturber tout le monde.

Mais, une ombre surgit sur ce tableau idyllique, un peu trop nombriliste : le chômage brutal de Nicolas qui se fait licencier, pour cause de doublon et trop vieux (49 ans), par un jeune homme dont les dents rayent le parquet ; du jour au lendemain il se sent devenir inutile alors que sa femme Justine est surchargée de travail.

Le personnage de Justine est intéressant : son père, Joseph, hyper autoritaire, pervers, et frontiste, (qui se dit artiste mais vit aux crochets de sa femme qu'il traite comme une servante), l'a rabaissée durant toute son enfance et adolescence, ce qui a provoqué bien sûr une estime de soi au ras de pâquerettes, qu'elle va tenter de sublimer par des études d'infirmière psy (pour fuir au plus vite la maison familiale) et reprendre des études de psychologie pour s'occuper de… personnes atteintes d'addictions diverses. Ce que j'appelle « le syndrome de Mère Térésa ».

« Contrairement à Joseph, Justine voulait être utile, donner du sens à ses actions et, pour y arriver, il n'y avait pas meilleur chemin à ses yeux que de s'engager dans une activité à caractère médical. » P 80

Le chômage va mettre en évidence ce qui était latent dans leur couple, les non-dits, les vieilles jalousies, les culpabilités enfouies ; de ce fait, la communication va devenir de plus en plus difficile.

Une mention spéciale pour le pseudo stage de réinsertion bidon, oups, pardon, on parle de « outplacement » !!!! avec son cortège de winners, killer… « vous n'êtes pas licencié, vous êtes sorti de l'entreprise. Vous n'êtes pas en recherche d'emploi, vous êtes en repositionnement professionnel »

François Roux décrit très bien la société urbaine actuelle, son nombrilisme, ses valeurs bien peu affirmées, enfermée dans métro boulot dodo et qui ne voit pas la détresse des laissés pour compte, des campagnes.

J'ai bien aimé, même si elle est souvent insupportable, le personnage d'Adèle, la fille de Justine car elle s'engage, elle ne reste pas passive devant l'évolution de la société (crise de la banque HSBC, attentat de Charlie Hebdo, la marche où on voyait trôner des dictateurs…), sans tomber dans la violence.

J'ai passé un bon moment avec ce livre mais j'ai moins accroché qu'avec le précédent de l'auteur : « le bonheur national brut », probablement car il parlait des années 80 donc plus proche de ma « jeunesse », avec un idéal politique alors que celui-ci m'a irritée par son côté autocentré, mais aussi désenchanté, branché fric et subissant sans espoir. Ceux qui ont un travail deviennent addicts et ne comptent plus leurs heures et les autres se sentent inutiles et perdent toute confiance en eux.

Une fracture entre deux mondes qui est le reflet de notre société et fait réfléchir… forcément on se sent responsable quelque part… « tout ce dont on rêvait », le titre sied à merveille….


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« Tout ce dont on rêvait » , voilà un titre qui promet beaucoup mais j'ai été déçue, car il s'agit du quotidien d'un couple dont l'un perd son travail. Bien sûr je résume beaucoup mais cette histoire est malheureusement tout à fait banale. Je rencontre dans mon travail des tas d'histoires semblables. La seule différence c'est qu'elles me touchent bien plus car je vois les gens et ressent leur détresse et leurs attentes . Ici dans ce livre , seul Nicolas a su m'interpeller un peu mais je suis restée la plupart du temps distante à l'histoire de cette famille.
Ce livre n'est pas désagréable à lire mais n'a pour moi que peu d'intérêt. Plusieurs thèmes sont abordés, le chômage, l'amour, les attentats, mais aucun n'est traité avec suffisamment de force pour m' interpeller . Est-ce la faute des personnages qui ne sont pas assez charismatiques ? ou pas assez attachants ou encore pas assez détestables ? est-ce l'enchaînement de tous ces thèmes qui empêche d'en approfondir un? Je ne sais pas, mais ce roman ne m'incite pas à lire « le bonheur national brut » qui est pourtant chez moi depuis un certain temps. Il attendra donc encore un peu avant de descendre de son étagère…
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Après "Le bonheur national brut", François Roux continue d'ausculter des personnages lambda confrontés à la violence de notre époque (la crise de 2008 jusqu'aux attentats commis contre Charlie Hebdo en toile de fond). Ici un couple, Justine et son mari Nicolas tout les deux solidement installés socialement qui voit son équilibre menacé par la perte d'emploi de Nicolas à l'approche de ces 50 ans. Si les sujets abordés font écho à nos angoisses, notamment sur le chômage et tout les traumatismes que celui-ci engendre, le livre perd de sa force lorsque François Roux s'intéresse à la déliquescence du couple, le désir et la routine qui s'installe fatalement dans une relation au long cours. L'autre défaut majeur vient du regard pas forcément empathique pour ces personnages. Bien en deçà de son précédent roman pour ma part.
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Difficile de faire plus contemporain que ce livre qui se termine quelques mois après l'attentat de Charlie Hebdo. C'est toute une famille qui passe au scalpel, une famille normale, peut-être vous, vos voisins, vos amis.
François Roux passe presque tout en revue des dernières décennies: mai 68, le socialisme, puis la crise, le chômage, la radicalisation, la pollution, la frontière entre trois générations, l'une engagée, la deuxième désabusée, affaiblie par tous ces messages médiatiques qui nous sautent à la figure, et une troisième qui apparaît plus sûre d'elle, unie par les réseaux sociaux et un nouveau modèle d'engagement.
Heureusement, ce roman n'est pas juste un kaléidoscope de ce qui a fait les années 90 et 2000; Justine, Nicolas, leur fille Adèle existent réellement dans ses mots et souffrent, pensent, changent, espèrent, se dépatouillant tant bien que mal dans ce monde moderne étriqué. Bien que commençant par Justine, c'est la perte d'emploi de Nicolas qui devient le sujet principal du roman. le sujet n'est sans doute pas nouveau, mais la manière dont l'auteur nous mène à considérer la lente chute de Nicolas et de son couple est tout simplement bouleversante. Pas d'exagération, de trémolo ni de pathétisme dans ces quelques années qui vont peu à peu détruire le couple, seulement une étude de cas lucide et déprimante.
Et puis il y a le père de Justine, aigri, devenu fasciste et qui n'a jamais eu un mot encourageant envers sa fille; sa mère, qui accepte de sacrifier sa vie à cet homme repoussant. Il y a Adèle, jeune adolescente porteuse d'espoir et de maturité, et Alex, le frère de Nicolas par qui tout a commencé, séduisant et sûr de lui. Au centre de tout ça, il y a surtout Justine elle-même, révoltée, porteuse d'une colère qu'elle ne sait plus vers quoi diriger, embourbée dans la surcharge des problèmes dont nous assènent les médias jour après jour.
J'ai eu peur en lisant les premières pages du livre qui ne font pas honneur au reste, trop caricaturales et dures quand la suite est tellement plus travaillée. C'est un constat malheureusement bien déprimant de la société actuelle mais pas défaitiste ni moraliste.
Je ne sais pas si ce roman franchira les années tellement il est ancré dans une période bien précise, donc je vous conseille fortement de le lire aujourd'hui, tout de suite, parce que c'est à nous qu'il parle.
Lien : http://pourunmot.blogspot.fr..
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Avec Tout ce dont on rêvait, François Roux nous montre comment le chômage modifie la perception que l'on peut avoir de nous. Il nous dépeint aussi le quotidien d'un couple qui s'unit plus par raison que par amour.

Une histoire passionnelle, puis un mariage de raison

Justine aime la fête, elle enchaîne les liaisons sans lendemain jusqu'au jour où elle rencontre Alex. Il est très séduisant, et elle tombe immédiatement sous le charme. Mais le jeune homme aime séduire... 20 ans plus tard, Justine est mariée avec Nicolas, le frère d'Alex. Plus discret, que son frère, il a su conquérir Justine. le couple mène une vie tranquille jusqu'au jour où Nicolas perd son emploi. Au fur et à mesure que les mois passent, l'homme perd confiance en lui et les liens qui unissaient le couple semblent se distendre

Mon avis :

Tout ce dont on rêvait aborde 2 thèmes, le chômage et l'amour.
Commençons par l'amour qui au début du roman se traduit par une forte passion. Justine est complètement sous le charme d'Alex qui lui est encore très immature. Elle ne vit que pour leurs rendez-vous, alors qu'il se contente de l'appeler épisodiquement. Cette histoire sera classée sans lendemain et c'est une Justine mariée et mère de deux enfants que l'on retrouve 20 ans après cette première rencontre. Elle aura choisi d'épouser le frère d'Alex. Plus sérieux, l'homme est fortement épris de son épouse, mais un spectre rôde... celui d'un amour que l'on a pourtant tenté d'étouffer. Difficile toutefois d'oublier un homme qui fait partie de la famille.

Le chômage est le drame de ce roman. Nicolas cadre dans une grosse entreprise, se fait remercier. Les mots sont clairs, il faut optimiser les coûts, le lean management vient de mettre un terme à 20 ans d'une carrière brillante. le bourreau de Nicolas prend la forme d'un jeune salarié sans scrupule qui lui renvoie l'image de ce qu'il n'a jamais su être. Nicolas quitte l'entreprise avec comme seul bagage, un stage de coaching personnalisé et ses indemnités de chômage. Les mois passent, la confiance baisse, les amis se font rares, les relations de travail font partie du passé et la pression sociale se fait de plus en plus forte. On assiste à lente dégringolade d'un homme, à qui un jour on dit qu'il faisait partie des « âgés », dur à comprendre à 44 ans.

Tout ce dont on rêvait de François Roux, c'est une satire du monde actuel. de l'employé interchangeable, des certitudes qui s'ébranlent, de la perte de confiance en soi, de la reconnaissance sociale que nous vaut notre situation professionnelle. Ce roman aborde également des histoires de famille, de jalousie et de domination.

J'ai beaucoup aimé cette lecture et ai même été agréablement surprise par la façon dont a été abordé le sujet. Je m'attendais à lire un roman d'amour basé sur une histoire de jalousie et je me suis retrouvée plongée dans une histoire beaucoup plus profonde qui aborde plus d'un sujet de société.

A noter, la fragilité des personnages qui semblent chercher leur équilibre sur un fil que le vent ballote comme bon lui semble. Même les personnages secondaires ont des failles qui apportent encore de la profondeur à ce roman.
Lien : http://que-lire.over-blog.co..
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