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"Tu fais une fixation" (FM). En effet, sur plus de la moitié de ce livre, elle attend qu'il lui dise "je t'aime". Mais il ne le dis pas. Et elle l'attend, l'attend, l'attend : être amoureuse du "Président" Mitterrand ; on croirait même qu'elle s'impatiente de son statut, il faut dire que c'est pas commun, outre que 50 ans les séparent ! Président, il n'en était pas moins homme finalement ; adolescent parfois, distant souvent, tendrement vieillissant. Et elle s'est accrochée. On se demande ce que chacun attendait de l'autre dans de telles conditions : il est réaliste, elle est séduisante quand ce n'est pas l'inverse, en résumé. Si tout est exact, je me demande si ce genre de livre sert ou non le personnage public ? C'est toujours intéressant de voir comment s'accommode le privé, l'intime, dans une fonction publique sous tous les projecteurs. Témoignage sensible de cette femme-secret certes mais qui ne bouleversera pas L Histoire. Et, en même temps, L Histoire s'en fou de ce type de témoignage : quelques beaux échanges mais pas suffisamment. Je pensais en apprendre davantage sur une fin de règne.
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Pendant les dernières années de sa vie, un vieil homme a une jeune maîtresse et amie de cinquante ans sa cadette. Celle-ci découvre d'ailleurs un jour qu'il a déjà une double vie, et une fille de cette union. Cette amie l'accompagne au soir de sa vie, une histoire somme toute banale, quand bien même ce vieil homme est François Mitterand.
Disons le très vite, cette lecture m'a déçue. Je ne sais pas à quoi je m'attendais, mais pas à ce récit plat d'une aventure entre un septuagénaire et une étudiante en droit. J'imaginais sans doute des échanges plus élevés, un partage plus intellectuel, une connivence, une complicité, voire de la tendresse, mais pas cette plate mise en forme d'extraits d'agendas et de messages téléphoniques sur répondeur. L'auteur est journaliste, peut-être qu'elle a eu l'impression de mener une grande enquête, mais il y manque le style, l'art et la manière. La présentation, d'ailleurs, est très aérée, la moitié des pages est blanche, vide, et cela n'ajoute aucune relief à la lecture, au contraire. On a toujours l'impression de lire les souvenirs d'une groupie avec son idole.
Avait-elle besoin de publier ? Sans doute.
Avais-je besoin de lire ? Sans doute pas.
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Solenn de Royer, grande reporter au « Monde », raconte dans un ouvrage paru chez Grasset le 6 octobre (cf. notre actu du 30 septembre) un pan inconnu de la vie du président François Mitterrand : sa relation amoureuse avec une très jeune femme prénommée Claire (prénom d'emprunt pour le livre) durant les huit dernières années de sa vie.

J'entends déjà les nombreuses remarques critiques sur ce livre… du voyeurisme sans intérêt. Certes on n'apprend rien sur Francois Mitterrand et son attrait pour les femmes, nombreuses dans sa vie, malgré la présence d'une femme officielle Danielle Mitterrand, dont on sait que ce n'était plus qu'un couple de façade.

L'histoire : 1984 - Claire, 18 ans, jeune femme issue de la bourgeoisie provinciale vient poursuivre ses études à Paris en faculté de droit. Son coeur penche à gauche, et avec un ami étudiant elle se met en tête de rencontrer le président de la république. Dès qu'elle le peut, elle cherche à se faire remarquer, fait le pied rue de Bièvres, dans les meetings, les inaugurations. Elle le fait si bien qu'elle finira par se faire remarquer et obtenir de Francois Mitterrand un petit déjeuner à l'Élysée en compagnie de son ami étudiant.

Il faudra attendre 1988, la réélection du Président pour que l'histoire prenne une autre tournure. Seule elle poursuite cette quête présidentielle et finira par entrer dans l'intimité du Président, jusqu'à devenir sa maitresse, la dernière. S'en suivront des rendez-vous secrets, (d'abord chez elle dans son studio, puis dans les appartements privés de l'Élysée), des appels téléphoniques quasi quotidiens, des disputes également (notamment lorsque la Presse révélera l'existence de Mazarine Pingeot).

Et cela durera jusqu'à ce matin du 8 janvier 1996 lorsqu'un officier de sécurité l'appellera pour lui annoncer le décès de l'ancien président, avenue Frédéric Leplay. Elle sera du voyage à Jarnac, pour l'enterrement de Francois Mitterrand, avec Danielle Mitterrand, Anne et Mazarine Pingeot, légèrement en retrait.

Chacun est libre de penser ce qu'il veut de cette liaison cachée, amorale pour certains, troublante mais belle pour d'autres. Elle n'avait rien à attendre de lui et pourtant de 1988 à 1996, il entretient une relation avec elle, de cinquante ans sa cadette.

« Il était obsédé aussi par la maladie, la mort, et passionné par la transcendance ». le temps volé auprès de cette jeune femme de 22 ans ramène le vieux président à la vie, une vie déjà bien chargée : deux familles, l'Élysée, la fonction présidentielle. Elle le détourne de ses deux finalités, la fin du pouvoir et la fin de sa vie.

L'intérêt du livre ne réside pas tant dans l'histoire qui a lié cette jeune femme inconnue et un président de la république âgé, que dans ce qu'elle nous livre sur l'homme, ses secrets, sa vie compartimentée, une presse, et que la transparence d'aujourd'hui ne permettrait plus.

François Mitterrand aimait être entourée de femmes, et aimait les femmes tout le monde le sait. Relations amicales, politiques, personnelles, intellectuelles, issues de la résistance, on croise dans ce panthéon, Catherine Langeais (sa première fiancée officielle), Marguerite Duras, Yvette Roudy, Dalida, Édith Cresson, Ségolène Royal, Françoise Sagan, sans oublier sa deuxième famille Anne et Mazarine Pingeot, j'en oublie probablement de nombreuses. Il trouvait en elles une sensibilité, un sens de l'intuition qu'il ne ressentait pas chez les hommes.

Francois Mitterrand était l'homme de tous les secrets et compartimentait sa vie. Quelle soit publique ou privée. de manière étanche. Seul un premier cercle très restreint était au courant, joutant les hommes de l'ombre, assurant la logistique nécessaire.

Les années 90, c'est aujourd'hui un autre temps, un autre monde, celui d'une presse qui respectait encore un peu la vie privée ( c'est avec son accord que Paris Match révéla l'existence de Mazarine Pingeot ). En 2020 la presse est moins complaisante, les réseaux sociaux, les téléphones portables permettent à tout à chacun de voler des bribes de vies publiques et ou privées et de les poster (souvenez-vous … la photo de Francois Hollande en casque sur un scooter du temps de sa liaison cachée avec Julie Gayet).

Ce livre de Solenn de Royer apporte un éclairage de plus sur un homme aux multiples facettes, machiavel des relations humaines. Pour en arriver là, elle a dû apprivoiser Claire, lui donner confiance, crédibiliser par des preuves tangibles cette histoire hallucinante. Au début cette dernière se refusait à toute forme de livre, hantée par ce que lui avait dit un jour le Président : "toi aussi, tu écriras comme les autres". Une phrase un peu ambiguë comme toujours avec Mitterrand. Elle n'a jamais su s'il lui avait donné sa bénédiction ou si au contraire, c'était un reproche caché.

Il faut croire, plus de 20 ans après, qu'elle a décidé d'interpréter cette phrase comme un accord et non une interdiction.

Bonne lecture

Pascal Francois
Lien : https://www.au-plaisir-de-li..
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Puis-je me permettre d'être d'accord avec Gérard Collard ? Voici un livre publié par une grande maison d'édition et ABSOLUMENT SANS INTERET ! Rien dans ce texte ne mérite l'attention que certains magazines à sensation auraient pu lui accorder ... creux, plutôt mal écrit, des éléments de "secret" à vérifier ... je n'arrive pas à croire qu'on puisse aujourd'hui encore publier quelque chose d'aussi vain ! Ecrire, pourquoi pas, quand on veut attirer l'attention sur soi ... pauvre lecteur, sois prudent, tu es vraiment la proie des opportunistes !
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Lu d'une traite (se lit vite, très vite : mauvais signe), ai refermé ce livre avec un goût amer. C'est assez rare de commencer et de terminer un ouvrage en ayant le sentiment que il n'apporte rien ou rien que de la vacuité béante et rien qu'un sentiment de malaise diffus et tenace.
Ce récit est juste une réelle imposture dont sont otages tous les potentiels lecteurs. Ne gaspillez pas votre temps et tournez-vous plutôt vers des ouvrages consistants et surtout dignes d'intérêt.
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Ce livre vient de paraître et j'entends déjà certaines critiques le juger tant sur la forme que sur le fond.
Bien sûr, d'aucuns pourront juger trouble, voire perverse, cette liaison entre un homme vieillissant et une très jeune femme.
Bien sûr, l'on pourra poser la question de la sincérité des sentiments. François Mitterrand se sachant déjà « âgé », a-t-il voulu tester son pouvoir de séduction ? A-t-il utilisé sa fonction et son prestige pour faire naître cette relation comme l'on irait s'abreuver à une fontaine de jouvence ? Nous ne le saurons sans doute jamais.
Pourtant, je dois bien avouer, et tant pis si cela relève d'une certaine naïveté, que ce n'est pas cette impression qui a dominé tout au long de cette lecture. le charme a opéré.
J'ai d'abord aimé l'écriture de Solenn de Royer, fluide et douce, elle nous offre une atmosphère qui donne envie d'entrer dans cette intimité hors du commun.
Puis, j'avoue aussi avoir été touchée par ce que je considère, envers et contre tous les stéréotypes, comme une véritable histoire d'amour. Atypique certes, déroutante souvent, dérangeante parfois, mais belle surtout. Et j'ai aimé la nature du lien qui s'est tissé entre ces deux êtres et qui m'a semblé, même s'il est très complexe , être surtout caractérisé par la fraîcheur et une certaine tendresse.
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Voilà bien un livre qu'on ne sait comment classer ni même s'il mérite d'être lu ... Et pourtant, parce que je rédige ces quelques mots, vous avez déjà ma réponse à la seconde question. Voyeurisme ou envie d'en savoir plus sur les dessous du pouvoir ? Je n'appréciais déjà pas beaucoup l'homme, héros d'une jeunesse socialiste au début des années 1980, ses parts d'ombre grignotant son aura ou sa lumière ... Je ne conserve rien de cette "lumière" (a-t-elle existé un jour ?), les errements de certains de ces choix passés (inutile de se relancer dans un débat politique) venant aggraver à une vagabonderie des sentiments...Ce n'est donc pas une double vie, mais une triple vie que le président déjà malade aurait mené au cours de son second septennant. Une abomination, puisque la belle brillait de sa vingtaine alors que lui se dégradait , se disloquait ...
On n'apprend rien des coulisses du pouvoir, si ce n'est que ce président là avait le temps de mener trois histoires en même temps, de lutter contre sa maladie et de ...diriger la France. On sourit à l'expression "agenda de ministre" ... On pardon JE m'effraie en revanche de la conception malsaine de l'existence consistant à privilégier l'excès à la raison, l'impatience à la prudence, ....
Un malaise, un sentiment de mépris;, et un regret, celui d'avoir succombé aux sirènes de cet essai, qui, il faut quand même le souligner, doit beaucoup au talent de la journaliste prête-plume ....
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Un journaliste prête sa plume à cette histoire d'amour entre François Mitterand et Claire et 50 ans sa cadette.
L'écriture est vide même si la lecture est facile. On se demande pourquoi cette femme d'aujourd'hui cinquante ans a écrit ( par plume interposée) un livre si privé. Cela me laisse dubitative. On peut se demander si le ressenti de Claire était juste face à cet homme qui consommait les femmes depuis toujours. le dernier amour d'un homme de pouvoir n'aurait-il pas dû rester dans l'ombre ?
Le contenu, si on occulte qu'il s'agit d'un vieux monsieur de quatre-vingts ans, politicien, qui ne semble pas éperdu d'amour, assez despotique, limite narcissique, cela reste un livre poétique qui se lit très vite.
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Aujourd'hui je vais évoquer le dernier secret enquête de Solenn de Royer sur une nouvelle face obscure de la vie de François Mitterrand. Dans cet ouvrage la journaliste révèle l'existence d'une dernière compagne du vieil homme demeurée cachée.
Le dernier secret est donc l'histoire de Claire (c'est un pseudonyme garantissant son anonymat) et de François Mitterrand. La jeune fille originaire d'une famille de droite de Limoges monte à Paris pour faire ses études de droit. Elle est la protagoniste mystère de cette enquête, la source principale des éléments divulgués. Solenn de Royer a eu accès à ses agendas, à des cassettes où étaient enregistrés des messages de Mitterrand sur le répondeur de la jeune fille. L'histoire commence ainsi : « elle avait 18 ans quand elle l'a vu la première fois, rue de Bièvre, en 1984. En quatre ans, ils se sont vus ou croisés une quinzaine de fois, un peu moins peut-être. » C'est en compagnie de Benoit, son ami, que, telle une groupie, elle guette le Président avec l'espoir de le voir et d'échanger quelques mots. Ils y parviennent et à force d'assiduité et de persévérance les deux jeunes gens sont invités à un petit-déjeuner à l'Élysée. C'est l'épisode princeps de ce qui va devenir pour Claire son secret intime. Mais l'histoire d'amour met du temps à démarrer réellement. Ils ont 50 ans d'écart d'âge, il est très occupé et marié (à l'époque sa double-vie n'est pas publique et connue). Des années après : « elle se souvient de tout. de leurs promenades le long des quais. de ses appels deux fois par jour, le matin et le soir, pendant huit ans. » le lecteur est fasciné de découvrir cette femme dont personne ne semblait connaitre l'existence. Pourtant : « Claire est partout. Dans les couloirs de l'Élysée, les tribunes officielles, les avions de la République. Mais personne ne la voit. Personne ne sait non plus qui elle est. A chaque fois elle se dérobe, insaisissable. Ce dernier amour, qui a duré huit ans, jusqu'à la mort de Mitterrand, est resté caché pendant trente ans. » Alors bien sûr le doute et l'affabulation sont possibles, mais le travail de la journaliste du Monde semble exemplaire. Elle croise les faits avec les agendas officiels, les déplacements présidentiels, sa relation de confiance avec cette femme lui permet de se faufiler dans les méandres de cet amour. Et tout coïncide. Avec ce récit ce sont les coulisses du pouvoir et des décisions du président qui sont scrutées. L'homme est vieillissant, il est malade et affaibli. Son portrait est celui d'un homme trouble et cachottier, d'un autre siècle, séducteur et manipulateur. Il ne dit jamais à Claire explicitement ses sentiments, elle apprendra son cancer après l'opération et aura connaissance de l'existence d'Anne Pingeot et de Mazarine par la presse. Dans ses réflexions relatives à la fin de leur amour tandis qu'il est mourant elle se dit : « quand elle imaginait la mort à venir, le vide qui s'annonçait, ceux sur qui elle pourrait compter, c'est au Ministre qu'elle pensait. Ce dernier se montre fuyant, décevant, comme souvent. Mais Charasse est là. Charasse est toujours là quand il s'agit de Mitterrand. ». Charasse est un personnage intriguant et central, le protecteur du secret qui sait se faire menaçant. Quant au Ministre dont le nom est tu il est fourbe et veule, courtisan au possible.
Le dernier secret est un récit à la fois rocambolesque et surprenant. En quelques décennies la société a totalement changé, aujourd'hui conserver un tel secret serait impossible. L'histoire est romanesque et contribue à ajouter un épisode à la vie dissimulatrice de Mitterrand. La protagoniste a hésité à se confier : « est-ce trahison de révéler notre histoire ? Je l'ignore. J'ai vu tellement de monde se disputer sa dépouille, son héritage, prétendre être celui ou celle qui a été le plus aimé. Je ne veux pas faire partie de tout cela. »
Voilà, je vous ai donc parlé du Dernier secret de Solenn de Royer paru aux éditions Grasset.

Lien : http://culture-tout-azimut.o..
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Le dernier secret de solenn de Royer
#document
Évidemment on connaît tous la réputation de Mitterand, mais
malgré les investigations de l'auteur, ses recherches et certaines « preuves » , je reste difficilement convaincu que cette liaison ait été aussi longue et profonde que puisse le dire Claire
Pourquoi révéler après tant d'années ce secret, quelle reconnaissance cherche t elle ? A t elle pensé au mal qu'elle va faire à Mazarine et Anne ?
De plus, la façon dont elle se décrit, raconte sa rencontre puis sa relation la rend irritante. Elle s'accroche tellement à Mitterand qu'elle en devient ridicule avec leur 50 ans de différence

« Est-ce vanité de rechercher, à mon tour, une forme de reconnaissance ? Est-ce trahison de révéler notre histoire ? Je l'ignore. J'ai vu tellement de monde se disputer sa dépouille, son héritage, prétendre être celui ou celle qui a été le plus aimé. Je ne veux pas faire partie de tout cela. »

Extrait de
Le dernier secret
Solenn de Royer

Je n'ai pas accroché du tout à ce livre sous forme de journal intime. C'est plat sans style. Dommage qu'une journaliste aussi excellente que de Royer ait prêté sa plume a ce roman.
Celui de Ariane Chemin une famille au secret m'a beaucoup plus touché.
Le grand amour de F Mitterand restera Anne Pingeot quoique que l'on puisse lire.

4ème de couverture : En 1988, Claire rencontre François Mitterrand.
Elle est étudiante en droit, il est président de la République.
Cinquante ans de vie les séparent.
Ils s'aimeront à huis-clos, jusqu'à la fin, en 1996.
Voici révélé le dernier secret du grand président.
A la fois récit amoureux et histoire d'un règne, ce livre exceptionnel mêle portraits, dialogues, souvenirs, déjeuners à l'Elysée, soirées, lectures, promenades sur les quais de la Seine, carnets, temps volé au temps.
Dans une langue magnifique et pure, au plus proche de ces deux êtres, comme un grand tableau au Louvre où se dessinent amour et mort, Solenn de Royer nous offre des pages intimes et politiques, qu'à votre tour vous n'oublierez jamais.
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