Et si c'était ça, le bonheur?

Un beau roman mais qui ne m'a pas embarqué.

Suivre Olivia dans les rénovations de sa grande maison avec son lot de déboires ne m'a pas enthousiasmé.

Il y a eu des moments drôles qui m'ont fait sourire ou rire. Sinon je n'ai pas spécialement ressenti d'engouement pour cette aventure.

Ce roman ne traite pas seulement de rénovation mais également de la féminité à 50 ans. C'est bien traité, c'est bien écrit. Ça n'a pas touché mon coeur voilà tout.

Je vais être honnête : la lecture de ce roman à été ennuyante. À plusieurs moments, j'ai eu l'impression de lire un compte-rendu trop, mais vraiment trop détaillé d'un déménagement dans une maison en pleine rénovation.

Habitant l'Estrie (aussi désignée dans le roman par son appellation touristique, les Cantons de l'Est), j'ai été un peu chatouillée par certaines répliques du personnage. Disons que certains raccourcis ont été pris.

J'ai en ma possession tous les volumes de la trilogie. Étant donné que j'éprouve du respect pour la femme qu'est l'auteure et que j'apprécie ses talents de comédienne, je suis bien disposée à laisser une chance à ses talents d'écrivaine de me charmer. Je vais donc lire le deuxième tome.

J'ai trouvé ce roman plutôt long et sans grand intérêt même s'il est bien écrit. C'est peut-être parce que je suis trop éloignée, en âge et en situation, du personnage principal que je ne me suis pas sentie concernée par l'histoire.

Lecture divertissante à ses débuts mais vite affadie par les longueurs et redondance des thèmes abordés. Dommage car c'est superbement écrit.