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sur 424 notes
Visite d'une exposition au sein de la bibliothèque…. Bien sûr, certains livres sont mis en évidence par la bibliothécaire, bien sûr, j'ouvre un ouvrage et….. je m'envole, je ne suis plus avec les autres, je suis dans la boutique du libraire.

« Poudoupoudoupoudou », je suis entrée. Ah oui, ne pas confondre : « Pompompidou » susurré par la grande Marylin et « Poudoupoudoupoudou » bruit que fait la porte du libraire.
Je suis entrée, je me suis fondue dans le décor, j'ai regardé vivre le Libraire, je l'ai écouté.
Les livres et les tisanes nourrissent notre homme et les livres se nourrissent de son atmosphère, l'un ne va pas sans les autres. Chaque « Poudoupoudoupoudou » annonce l'entrée d'un client singulier, les clients pluriels, c'est-à-dire les couples « coupli, coupla !» ne sont pas admis dans son antre. Il se refuse à eux et peut se cacher sous son bureau pour ne pas les affronter. Il faut dire que c'est un tri-amoureux. « de toutes les femmes qui étaient tombées dans le piège de sa librairie, le libraire n'en avait aimé que trois qui lorsqu'il pensait à elles n'en formaient plus qu'une qui était devenue l'amour perdu du libraire ».
Les livres pour enfants sont disposés à leur hauteur, un microclimat règne au rayon des livres philosophiques, plusieurs éditions d'Anna Karina remplissent une seule étagère, un seul guide de voyage existe chez lui, le Dalaï lama vient lui rendre visite pour trouver le livre sur la vie. A la dame en noir avec sa faux, il donne un livre de poésie et elle devient la dame en blanc, mais hélas le « Poudoupoudoupoudou » de sortie lui rend sa couleur première. Les témoins de Jéhovah passent souvent chez lui proposer la joie et le bonheur, Dieu entre ou sort selon les invectives ou les mots gentils du Libraire. le Libraire s'offre une tisane après chaque client, il en choisit la plante selon humeur
S'il vous dit : « Il y a beaucoup de choses intéressantes à apprendre sur les icebergs », fuyez vous n'êtes pas ou plus le bienvenu !!
Régis de Sá Moreira, par l'absurde parle de l'amour du livre, de la lecture, de la mort, de Dieu…. Sa librairie me rappelle un sujet vu à la téloche. Une petite librairie où aucun livre n'était jeté et où il n'y avait qu'un passage entre deux murs de livres ; le libraire me fait penser à celui du bouquin.
Je ne sais pas comment parler de ce livre déjanté, qui n'a ni queue ni tête, seulement des pages, des livres, des clients, beaucoup d'empathie et de poésie. Un seul conseil, LISEZ-LE, relisez-le.
Encore un livre que je vais rendre à regret à la bibliothèque !

Lien : http://zazymut.over-blog.com..
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Les libraires constituent un peuple un peu particulier. Passionnés de livres, ils vivent en dehors de la réalité, dans leur monde. C'est aussi ainsi que vit le libraire de Régis de Sa Moreira. Être solitaire, il tient une boutique dans une grande ville qui compte déjà nombre de librairies. Mais le libraire (ainsi nommé dans le roman, il n'a pas de nom) n'est pas un commerçant ordinaire car il a choisit un créneau particulier : il « refusait de vendre de la merde ». En conséquence, notre ami lit tous les livres qu'il vend. D'ailleurs, certains rayons sont moins fournis que d'autres, comme celui des guides de voyages par exemple. Il faut dire que le libraire ne voyage pas beaucoup, tout occupé à garder sa librairie ouverte jour et nuit (vous imaginez si un client désespéré trouvait porte close en pleine nuit ? Quelle catastrophe !). En parlant de clientèle, on peut dire que la boutique attire une faune un peu particulière, notre libraire n'hésitant d'ailleurs pas à fuir les clients qu'il ne veut pas voir ou à les expulser volontairement.

Voilà posé le cadre de ce roman original. Sans véritable histoire, chacun des chapitres aborde un aspect de la personnalité du libraire ou s'attarde sur une catégorie de clients. En fait, ce roman me fait penser à une série télévisée où chaque épisode, s'il met en scène les mêmes protagonistes, n'en est pas moins différent et sans lien avec le précédent.

L'auteur nous immerge dans un monde magique où les livres ont une vie propre : ils dorment, se nourrissent et réagissent aux comportements des clients. Mais il semble que les rêveries du libraire ne sont qu'un prétexte pour parler de sujets qui nous touchent tous : Dieu, la religion, l'amour, l'amitié, la solitude ou la place de la littérature dans notre vie. le libraire, sans véritable attache, s'est construit un monde dans lequel les étagères de livres sont des remparts contre la solitude, où les devises et règles le rassurent et lui permettent de faire face à un monde qui lui est étranger.

J'attendais beaucoup de ce livre, je pensais que l'on y parlerait littérature et que je me retrouverais dans ce libraire passionné de livres. Pas du tout. Les quelques titres cités n'ont aucun intérêt et il est surtout question du rapport entre le libraire et sa clientèle extravagante. de plus, je n'ai pas réussi à sortir de la lecture au premier degré et le coté décalé/irréel de ce roman n'a pas réussi à me toucher. Cette lecture m'a placée dans une certaine tension, une attente qui n'a finalement pas été comblée par manque d'action.

Le premier chapitre du roman vous permettra de vous faire une idée personnelle…(sur le blog)
Lien : http://carnetdelecture.skyne..
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Un roman vite lu sur la vie un peu loufoque d'un libraire, sa cohabitation avec les livres, les clients, ses petites manies, névroses, etc. … Pas désagréable comme lecture mais pas transcendant non plus. Au vu des critiques que j'avais lu ici ou là, je m'attendais à mieux. En fait, je m'aperçois que je n'accroche pas trop avec ce style de littérature contemporaine dans laquelle il n'y a pas de réelle histoire racontée.
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Un petit bijou… J'ai découvert ce livre au hasard de mes déambulations, lors d'un salon du livre, l'auteur était présent et j'ai tout de suite été attiré par le titre et le 4ème de couverture.
Il parle d'un libraire complètement atypique qui passe sa vie à lire, j'y ai trouvé un formidable hommage à la lecture, mais je dirai qu'il est impossible de résumer ce livre, il faut le lire…
J'ai énormément aimé l'écriture et les situations cocasses mises en scène, un excellent moment de lecture et « il y a beaucoup de choses intéressantes à apprendre sur les icebergs »…
Un seul regret, qu'il soit si vite lu…
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Malheureusement ce livre n'a pas réussi à combler mes attentes, j'ai été assez déçue. le libraire dont il est question dans ce roman est plutôt antipathique et n'a pas grand chose d'un libraire, il passe ses journées à lire et à boire de la tisane 24h/24, 7j/7 sans vraiment s'occuper de ses clients. Il est même assez aigri. Tout ceci m'a un peu énervée au début puisque je ne l'ai absolument pas trouvé représentatif du métier de libraire. L'ambiance du livre en elle-même est assez étrange, rien n'est détaillé, le libraire n'a pas de nom, la ville, les clients non plus et on se demande si tout cela est bien réel. Tout est dit avec des termes simples et sans profondeur ce qui ne permet pas de s'y attacher. Finalement on le lit très vite et on tourne les pages sans retenir grand chose. Cela m'a laissé un grand sentiment de frustration puisque j'ai eu l'impression de ne pas avoir saisie toutes les subtilités du roman et je pense que l'auteur n'a pas suffisamment été au bout de ses idées. Je m'attendais à de vraies situations clients/ libraires ce qui n'est pas du tout le cas. Je ne recommande donc pas ce livre à quelqu'un qui veut découvrir ce qu'est vraiment le métier de libraire.
Pour conclure sur un point positif, il y a quand même une chose que j'ai aimée dans ce roman, c'est qu'il fait un très bel éloge de la lecture et des livres.
Lien : http://deliresetdeslivres.wo..
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Poudoupoudoupoudou… un client vient de rentrer dans la librairie. C'est le va et vient quotidien dans l'univers du livre de ce libraire. Il ne vend pas de la merde, lui, il ne vend que des livres qu'il a lu et qu'il aime. « Dès qu'il ouvrait un livre, le libraire était heureux. » Il ne fermait jamais sa librairie au cas où quelqu'un cherchait un livre désespérément en pleine nuit. « La librairie du libraire était ouverte jour et nuit, tous les jours de l'année, sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sans interruption, et cetera, et cetera. Ce que le libraire avait résumé en peignant simplement et définitivement sur la porte de sa librairie le mot « Ouvert ». » Parfois une femme nue passait, un fidèle dit Jacques le Fataliste qui fumait dans les locaux, une femme qui souhaite juste faire l'amour, une baronne qui veut des livres pour ces petits enfants, un chercheur de guide de voyages, des témoins de Jéhovah, Le Dalaï Lama et d'autres personnages haut en couleurs.

« - Bonjour, je cherche le rayon développement personnel.
- C'est de l'autre côté de la rue, juste en face…«

De l'autre côté de la rue, juste en face, c'est un bar.

Il se nourrit des mots, chéri ces livres comme ces enfants. Il boit de la tisane toute la journée. Il a arrêté le café, trop excitant. « le libraire ne se nourrissait que de tisanes et de livres, et celui lui convenait très bien. Malgré ce régime, le libraire restait assez épais, et les fréquents allers et retours au premier étage de sa librairie que sa forte consommation de tisane lui imposait suffisaient à entretenir sa forme physique. » Il aime la musique, surtout Mozart. Il aime aussi la fleuriste à côté. Elle passe lui offrir un bouquet et lui, lui offre un livre s'effleurant les mains. Ses blessures au coeur, par les trois femmes de sa vie complique son envie d'investissement avec la charmante voisine. Et autre petite excentricité, il arrache des pages de livres qu'il envoie à ces frères et soeurs qui sont partout dans le monde, sans plus d'explication.

Un livre qui se dévore assez vite avec des courts chapitres.Une histoire? Pas vraiment, une succession de moments, d'absence, de tristesse, de solitude… J'ai adoré ce libraire, passionné des mots, que j'aimerai connaître. Je rêverais de passer chez lui, lui déposer un chocolat sur son bureau, une petite carte ou un marque page fais main. J'aimerais qu'il me parle de ces romans et que j'ai l'impatience de rentrer chez moi avec l'un d'entre eux, pour le dévorer sur mon canapé, sous une couverture avec un bon thé. Poudoupoudoupoudou…..
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"Ne désespérez pas [...] certains livres sont à retardement…" nous apprend sans motif apparent la quatrième de couverture. Assez rapidement toutefois, on comprend que ce conseil n'est pas anodin et qu'il a trait au Libraire.

L'ouvrage de Régis de Sá Moreira en est en effet l'incarnation parfaite du livre dit "à retardement". Bien qu'il soit extrêmement court et donc, qu'on en vienne vite à bout, il faut un certain temps pour le digérer.

La première lecture peut d'ailleurs ne pas être la bonne. La seconde non plus. En fait, le délai entre le moment où on le lit, l'aime et/ou le déteste (personnellement je suis passée par les deux phases) et le moment où on le "saisit" peut être plus ou moins long.

C'est donc une lecture peu commune avec pour effet secondaire une délicieuse confusion.

Comme son titre le suggère, le libraire évoque le quotidien d'une profession. A ceci près que le personnage principal, qui n'a ni nom ni prénom, est un libraire on ne peut plus singulier : il travaille nuit et jour, 7 jours sur 7, refuse de vendre, je cite, "de la merde", ne se nourrit que de tisanes et de livres et se cache quand des couples pénètrent dans sa librairie (la liste est non exhaustive mais cela vous donnera déjà une petite idée de l'hurluberlu dont traite ces quelques 190 pages).

Naturellement, l'auteur évoque également les différents clients auxquels est confronté le libraire. C'est donc essentiellement une sucession absurde de saynètes qui permettent d'en savoir peu à peu plus (bien que jamais trop non plus) sur le libraire, sa famille, ses histoires de coeur, ses pensées les plus profondes, ses oeuvres favorites etc. Chaque rencontre (ou altercation) est courte, volatile, insaisissable comme si Régis de Sá Moreira désirait capturer des bribes de vie, saisir l'instant.

Paradoxalement l'écriture est toutefois, elle, redondante ; d'une musicalité inouïe elle hypnotise totalement le lecteur qui, sans rien y comprendre (faut-il y voir une forme dérivée du réflexe de Pavlov ?) tourne irrémédiablement les pages. L'atmosphère qui émane du livre est qui plus est pour le moins étrange. le réel et l'imaginaire se rencontrent sans arrêt, au point de finir par cohabiter : en effet le libraire est confronté tant à la fleuriste et au témoin de Jéhovah qu'au Dalaï-lama, à la mort ou encore à la question.

Certains passages sont très drôles (les dialogues des couples retranscrits par des "coupli-coupla-couploplo") ou encore mystiques (l'utilisation de la phrase "Il y a beaucoup de choses intéressantes à apprendre sur les icebergs"). J'ai également trouvé l'idée que la poésie mène à l'orgasme (comme je le rejoins sur ce point !) très belle et son dialogue muet avec sa famille novateur : il déchire les pages des livres qui lui font penser à eux et il leur envoie, individuellement, sans rien ajouter.

Bien que j'ai longtemps été dans l'incapacité de dire si j'avais aimé ou non cette histoire (dénuée de toute histoire), j'ai fini par opter pour un oui, non sans réserve toutefois.

L'épilogue et le prologue m'ont par exemple complètement déroutée et à ce jour, je n'ai toujours pas compris leur utilité. Rêve ? Fruit d'une lecture ? de même pour le livre en lui-même. Pourquoi cette histoire ? Pourquoi cet ouvrage ? Qu'est-ce qui a pu motiver Régis de Sá Moreira ? Y a t-il une idée tacite ? Si oui, laquelle ? Autant de questions qui restent à mon grand dam sans réponse.

En résumé, un roman (très) particulier qui nécessite un lâcher prise total pour pouvoir être pleinement savouré.

Plus de détails -mes rubriques "n'hésitez pas si ; fuyez si ; le petit plus ; le conseil (in)utile, en savoir plus sur l'auteur- en cliquant sur le lien ci-dessous.
Lien : http://blopblopblopblopblopb..
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Poudoupoudoupoudou, faisait le carillon de la librairie du libraire.

Je viens de finir ce livre et vraiment je reste coi. Je serais dans l'incapacité de vous dire si j'ai aimé ou détesté cette histoire. J'ai tourné la dernière page de ce livre et je suis restée là à me demander pourquoi ? pourquoi un tel livre ?

Le truc, et c'est là que Régis de Sà Moreira frappe très fort, est que lorsqu'on commence on ne peut plus s'arrêter de lire ce livre, que j'ai acheté chez mon libraire dans ma librairie dans une ville où il y a beaucoup de librairies et beaucoup de libraires. Et oui c'est exactement le ton du livre. Cette librairie m'a fait penser à une grande église, froide, sombre, poussiéreuse, silencieuse et je sais de quoi je parle !!

Ce roman est bercé par les allés et venues des clients plus loufoques les uns que les autres et par les tisanes arômes laurier, sauge, muguet, que boit sans cesse ce libraire et qui me sont devenues indigestes à la fin du roman.

J'ai trouvé certains passages du livre lourdingues comme :

[…] Il portait cela dit des chaussures, un pantalon, une chemise et une veste, ainsi que pas mal de gens […]

Chouette et alors ?

[…] le libraire possédait aussi un chapeau qui était accroché à un portemanteau près de son bureau et dont il se couvrait de temps en temps […]

Waouh génial !…très excitant !…..mais encore …

[…] le libraire ne quittait jamais sa librairie parce qu'elle ne fermait jamais, ou bien était-ce la librairie du libraire qui ne fermait jamais parce que le libraire ne la quittait jamais […]

Heu !! Tu peux me la refaire s'il te plait ?

Jusqu'au bout je suis restée dans cette attente qu'il allait se passer quelque chose de merveilleux pour ce libraire. le Poudoupoudoupoudou ultime qui va enfin égayer le cours de sa vie. Je suis restée à chaque chapitre sur ma faim et fin. J'ai souffert à ses cotés. J'ai eu de l'empathie pour ce libraire dépressif en me disant il y a bien une belle blonde ou un beau brun qui va rentrer dans sa librairie et qu'il va enfin connaître les prémices de l'amour ?
Sa librairie est ouverte 24H/24, vit au rythme des Poudoupoudoupoudous tandis que lui lit et boit des tisanes du matin au soir.

COUCHEZ les livres !!!….ça suffit !!!

Bon un peu de sérieux ! J'aurais apprécié et trouvé intéressant qu'à chaque fois qu'il conseillait un livre, ou qu'il déchirait une page, on ait le titre et le nom l'auteur.
Malgré de beaux passages poétiques et de belles visites dans sa librairie, j'ai trouvé ce libraire frustrant, ennuyeux et triste à mourir. J'étais à deux doigts de foncer dans sa librairie et y mettre un peu de joie, de bonne humeur et de changer son vinyle de Wolfgang Amadeus Mozart que j'adore certes, contre celui de Earth Wind and Fire «September».

ATTENTION ! Poudoupoudoupoudou Cristina arrive !

J'irai bien refaire un tour du côté de chez manU :D
-Est ce que ce libraire perdu au fin fond de sa librairie a su toucher ton coeur ?
-As-tu trouvé les saveurs de ses tisanes et les Poudoupoudoupous à ton goût ?
J'attends avec impatience ton billet….. ;D

Un hommage à mon libraire dans sa libraire, Claude, qui depuis si longtemps m'accueille toujours avec le sourire et sait me dénicher le livre qui va embellir
ma journée.

C'était l'histoire d'un libraire dans sa librairie, poudoupoudoupoudou.........


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La vie d'un libraire pas comme les autres. Il ouvre sa librairie de jour comme de nuit. Il n'est heureux que lorsqu'il lit, se cachant même derrière son bureau lorsqu'il n'a pas envie de voir un client. Refusant de vendre “de la merde” il n'hésite pas à envoyer ses clients “en face” trouver ce qu'ils cherchent. de toute façon, il ne vend que les livres qu'il a lu. Des livres rangés et classés ? N'y pensez même pas.

Voici un roman insolite, surprenant avec parfois un côté absurde façon “ionesco”. Sans véritable histoire, on tourne les pages pour apprécier la poésie, les jeux de mots, l'univers décalé.
Lien : http://fromtheavenue.blogspo..
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Quelle poésie !
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