Heureux qui communique : Pour oser se dire et être entendu

Se rappeler la règle d'or de la communication : se respecter et être fidèle... à soi-même.

Qui n’a ressenti ce mal-être de ne savoir communiquer avec lui-même et d’entendre parfois la révolte de son corps quand il découvre que la violence des maux n’est que le reflet du silence des mots !

Il devient de plus en plus urgent d'apprendre à communiquer au quotidien de la vie.

Je ne peux pas changer mon passé mais je peux changer ma relation à ce passé.

L’humour est la forme la plus raffinée du désespoir.

Le piège à éviter c'est de transformer tout désir en demande.

Je laisse chez l'autre ou je rends à l'autre ce que je ressens colle "pas bon" pour moi.
"Quand tu m'as traitée de folle et d'inconséquente, lorsque je t'ai annoncé mon intention de changer de travail, je ne me suis pas reconnue. Aussi je te rends cette perception et cette image que tu as de moi, elles sont tiennes et je ne les fais pas miennes."
Je ne laisse pas rancoeurs, malentendus, ressentiments ou non-dits encrasser la "tuyauterie relationnelle".

Le besoin de partage et le désir d'autonomie ne veulent pas dire pour autant laisser faire ou démission.

Dans les échanges sociaux, les hiérarchies se renforcent, les contraintes et les rapports de force s'intensifient dans des systèmes relationnels qui se bureaucratisent, se rigidifient, perdent de leur souplesse et de cette mobilité qui sont nécessaires à la vie vivante.

La grande "habileté" des enfants est de remettre à jour, à out moment, l'ex-enfant qui est ne nous !